Dans un monde très médicalisé, qui dit aux jeunes filles et aux femmes qu'elles peuvent suivre jour après jour le déroulement de leur cycle de fertilité ?
Rien de compliqué ou de sale, mais un peu d'attention à soi-même, à son humeur, ses sécrétions intimes, ses sensations, tout cela peut aider à mieux vivre sa féminité... Et à être mieux dans sa peau.
De leur cycle, la plupart d'entre nous ne repèrent en effet que les règles. "Pendant longtemps, mon cycle menstruel s’est limité à une battle tampax-spasfon", témoigne ainsi une jeune femme auteur du blog cyclenaturel.fr. C’est seulement de nombreuses années après mes premières règles que j’ai vraiment compris ce qui se tramait chaque mois dans mon bas-ventre. Et faut reconnaître que c'est assez dingue".
Et oui : une auto-observation toute simple peut vous indiquer l'arrivée des jours fertiles, l'approche de l'ovulation, puis le retour aux jours infertiles... Un vrai livre de vie que l'on peut apprendre à lire chaque mois.
"L'auto-observation m'a aidé à comprendre ce qui se passe en moi, explique Chloé, 19 ans. j'ai compris pourquoi j'avais des règles, pourquoi j'étais nerveuse ou que j'avais de petites douleurs certains jours. Je crois que cela m'a aidé à prendre confiance en moi".
Vidéo : une sexologue explique
Cela vous intéresse ? Commencez par écouter Thérèse Hargot, sexologue spécialiste de cette observation des rythmes naturels. Elle compare les périodes du cycle féminin aux quatre saisons.
Rien de compliqué ou de sale, mais un peu d'attention à soi-même, à son humeur, ses sécrétions intimes, ses sensations, tout cela peut aider à mieux vivre sa féminité... Et à être mieux dans sa peau.
De leur cycle, la plupart d'entre nous ne repèrent en effet que les règles. "Pendant longtemps, mon cycle menstruel s’est limité à une battle tampax-spasfon", témoigne ainsi une jeune femme auteur du blog cyclenaturel.fr. C’est seulement de nombreuses années après mes premières règles que j’ai vraiment compris ce qui se tramait chaque mois dans mon bas-ventre. Et faut reconnaître que c'est assez dingue".
Et oui : une auto-observation toute simple peut vous indiquer l'arrivée des jours fertiles, l'approche de l'ovulation, puis le retour aux jours infertiles... Un vrai livre de vie que l'on peut apprendre à lire chaque mois.
"L'auto-observation m'a aidé à comprendre ce qui se passe en moi, explique Chloé, 19 ans. j'ai compris pourquoi j'avais des règles, pourquoi j'étais nerveuse ou que j'avais de petites douleurs certains jours. Je crois que cela m'a aidé à prendre confiance en moi".
Vidéo : une sexologue explique
Cela vous intéresse ? Commencez par écouter Thérèse Hargot, sexologue spécialiste de cette observation des rythmes naturels. Elle compare les périodes du cycle féminin aux quatre saisons.
Reprenons les éléments décrits par Thérèse Hargot avec quelques schémas.
Le signe qui annonce l'ovulation : la glaire cervicale
La glaire est sécrétée par des cryptes, sortes de replis, à l'intérieur du col de l'utérus et s'écoule dans le vagin sous l'action des oestrogènes
C'est le signe le plus simple à observer. La glaire cervicale est sécrétée par le col (cervix en latin, d'où le mot "cervical") de l'utérus, sous l'influence des oestrogènes, hormones féminines produites par les ovaires. Elle coule le long du vagin et est ressentie ou vue par la femme au niveau de la vulve (on la repère par exemple dans le fond des sous-vêtements).
La glaire est un signe de fertilité. Elle commence à apparaître environ une semaine avant l'ovulation. Son rôle est en effet de protéger, de nourrir les spermatozoïdes (éventuellement déposés lors d'un rapport sexuel) et de les transporter à travers les voies génitales féminines à la rencontre de l'ovule dans la trompe.
Sans glaire, les spermatozoïdes déposés dans le vagin, milieu acide, meurent rapidement. Dès que la glaire apparaît, la période fertile de la femme débute.
La glaire est un signe de fertilité. Elle commence à apparaître environ une semaine avant l'ovulation. Son rôle est en effet de protéger, de nourrir les spermatozoïdes (éventuellement déposés lors d'un rapport sexuel) et de les transporter à travers les voies génitales féminines à la rencontre de l'ovule dans la trompe.
Sans glaire, les spermatozoïdes déposés dans le vagin, milieu acide, meurent rapidement. Dès que la glaire apparaît, la période fertile de la femme débute.
Quand la glaire est collante
glaire cervicale collante et infertile
Après les règles, la femme n'observe en général aucune sécrétion : elle ne voit rien et se sent parfaitement sèche. Cette période est donc infertile, mais sa durée est très variable d'un cycle à l'autre et d'une femme à l'autre.
Puis, la glaire que l'on commence à observer est souvent blanche et collante. Elle est encore peu favorable aux spermatozoïdes mais son arrivée annonce tout de même le début de la période fertile. Au microscope électronique, elle ressemble à un filet aux mailles assez serrées dans lesquelles les spermatozoïdes ont du mal à circuler.
Parfois, on ne voit pas cette glaire collante, mais on se sent brusquement humide : c'est le signe d'un léger écoulement de glaire liquide, qui annonce aussi le début de la période fertile.
Puis, la glaire que l'on commence à observer est souvent blanche et collante. Elle est encore peu favorable aux spermatozoïdes mais son arrivée annonce tout de même le début de la période fertile. Au microscope électronique, elle ressemble à un filet aux mailles assez serrées dans lesquelles les spermatozoïdes ont du mal à circuler.
Parfois, on ne voit pas cette glaire collante, mais on se sent brusquement humide : c'est le signe d'un léger écoulement de glaire liquide, qui annonce aussi le début de la période fertile.
Quand la glaire devient filante et transparente
La glaire est sécrétée par des cryptes, sortes de replis, à l'intérieur du col de l'utérus et s'écoule dans le vagin sous l'action des oestrogènes
Puis la glaire évolue de jour en jour : de blanche, elle devient transparente. De collante, elle devient filante. On peut l'étirer légèrement entre deux doigts, ce qui forme un filament ou un voile. Parfois, certaines femmes n'arrivent pas à recueillir de glaire entre leurs doigts mais ressentent une sensation d'humidité à plusieurs reprises dans la journée.
Tout ceci est caractéristique de la période fertile. Ces signes indiquent que l'ovulation approche. En effet, ce sont les oestrogènes sécrétés par les ovaires qui rendent ainsi la glaire liquide et filante, et ce sont aussi ces hormones qui font mûrir les follicules contenant les ovules à l'intérieur de l'ovaire : le corps se prépare en différents endroits pour le même événement.
Tout ceci est caractéristique de la période fertile. Ces signes indiquent que l'ovulation approche. En effet, ce sont les oestrogènes sécrétés par les ovaires qui rendent ainsi la glaire liquide et filante, et ce sont aussi ces hormones qui font mûrir les follicules contenant les ovules à l'intérieur de l'ovaire : le corps se prépare en différents endroits pour le même événement.
Le jour sommet : le plus fertile du cycle
Glaire cervicale filante et transparente très favorable aux spermatozoïdes
Enfin, la glaire devient de plus en plus filante et transparente. La femme peut ressentir carrément la sensation d'être mouillée ou lubrifiée (comme si elle avait de l'huile). Ce moment du cycle est tellement caractéristique que la plupart des femmes le remarquent sans savoir forcément ce qu'il signifie.
Cette période correspond au moment de plus grande fertilité. Au microscope, les mailles de la glaire sont très écartées et les spermatozoïdes y circulent très rapidement. Pourquoi ? Parce que l'ovulation est imminente ou en train de se produire. Cela correspond à un pic de sécrétion d'oestrogènes, suivi d'une brusque chute.
Le lendemain, la deuxième hormone du cycle prend le relais et est sécrétée en quantité : c'est la progestérone qui fait coaguler la glaire et monter légèrement la température. Résultat : la glaire disparaît brusquement, ou redevient blanche et collante. La période fertile est finie : on entre dans la période infertile post-ovulatoire qui dure 14 jours jusqu'aux règles suivantes.
Cette période correspond au moment de plus grande fertilité. Au microscope, les mailles de la glaire sont très écartées et les spermatozoïdes y circulent très rapidement. Pourquoi ? Parce que l'ovulation est imminente ou en train de se produire. Cela correspond à un pic de sécrétion d'oestrogènes, suivi d'une brusque chute.
Le lendemain, la deuxième hormone du cycle prend le relais et est sécrétée en quantité : c'est la progestérone qui fait coaguler la glaire et monter légèrement la température. Résultat : la glaire disparaît brusquement, ou redevient blanche et collante. La période fertile est finie : on entre dans la période infertile post-ovulatoire qui dure 14 jours jusqu'aux règles suivantes.
Les signes qui confirment que l'ovulation a eu lieu
La température basale s'élève et se stabilise en hauteur
C'est en général le lendemain que l'on repère avec certitude le "jour sommet". En effet, après ce jour de glaire très filante (ou de sensation mouillée), le brusque changement (glaire collante ou plus de glaire, ou sècheresse) est le signe que l'ovulation a bien eu lieu. La femme ressent qu'elle entre dans la dernière partie du cycle : la période infertile postovulatoire.
Un autre signe permet de confirmer, de façon encore plus sûre, que l'ovulation a bien eu lieu : c'est l'élévation de la température basale. Pour l'observer, la femme doit prendre sa température chaque matin dès la fin dès règles, si possible à la même heure, et avant d'avoir mis le pied par terre. Il est aussi conseillé de noter chaque jour la température observée sur un graphique. Dans la première partie du cycle (phase folliculaire), la température évolue autour d'un niveau moyen, puis en quelques jours elle s'élève de 3 à 5 dixièmes de degrés vers le haut et se stabilise finalement sur un niveau plus haut, en plateau (c'est la phase lutéale).
Le moment de l'élévation indique que l'ovulation est en train de se produire. Quand la température est stabilisée en hauteur depuis trois jours, la femme est sûre que l'ovulation est passée. Comme il ne peut y avoir qu'une ovulation par cycle, l'infertilité est certaine jusqu'aux règles. (lire Comment faire sa courbe de température ?)
Un autre signe permet de confirmer, de façon encore plus sûre, que l'ovulation a bien eu lieu : c'est l'élévation de la température basale. Pour l'observer, la femme doit prendre sa température chaque matin dès la fin dès règles, si possible à la même heure, et avant d'avoir mis le pied par terre. Il est aussi conseillé de noter chaque jour la température observée sur un graphique. Dans la première partie du cycle (phase folliculaire), la température évolue autour d'un niveau moyen, puis en quelques jours elle s'élève de 3 à 5 dixièmes de degrés vers le haut et se stabilise finalement sur un niveau plus haut, en plateau (c'est la phase lutéale).
Le moment de l'élévation indique que l'ovulation est en train de se produire. Quand la température est stabilisée en hauteur depuis trois jours, la femme est sûre que l'ovulation est passée. Comme il ne peut y avoir qu'une ovulation par cycle, l'infertilité est certaine jusqu'aux règles. (lire Comment faire sa courbe de température ?)
S'observer, pour quoi faire ?
C'est une connaissance de soi très précieuse que l'on peut démarrer dès l'adolescence, même si l'on n'a pas de relations sexuelles. A cet âge, cela peut aider à prendre confiance en soi, à découvrir et à apprivoiser son "capital de fertilité" et à préparer sa future vie de couple. Concrètement, une fille qui sait repérer son ovulation peut à un jour près prévoir l'arrivée de ses règles, ce qui est bien pratique.
Comprendre ce qui se passe en soi est aussi source de pacification : les jeunes qui apprennent à s'observer voient souvent leurs cycles devenir plus réguliers.
Pour les femmes qui vivent en couple et ont des relations sexuelles, l'observation des périodes fertiles et infertiles peut aussi être utilisée comme méthode de régulation des naissances : soit pour éviter une naissance (en n'ayant des relations que dans les périodes infertiles), soit pour favoriser la conception d'un enfant (en en ayant dans la période la plus fertile). On parle alors de "méthodes naturelles" ou "méthodes d'auto-observation" (MAO) comme il est expliqué plus bas.
Pour les femmes qui veulent avoir un enfant, l'observation de la température basale est un des premiers signes qui permettent de savoir que l'on est enceinte.
C'est une connaissance de soi très précieuse que l'on peut démarrer dès l'adolescence, même si l'on n'a pas de relations sexuelles. A cet âge, cela peut aider à prendre confiance en soi, à découvrir et à apprivoiser son "capital de fertilité" et à préparer sa future vie de couple. Concrètement, une fille qui sait repérer son ovulation peut à un jour près prévoir l'arrivée de ses règles, ce qui est bien pratique.
Comprendre ce qui se passe en soi est aussi source de pacification : les jeunes qui apprennent à s'observer voient souvent leurs cycles devenir plus réguliers.
Pour les femmes qui vivent en couple et ont des relations sexuelles, l'observation des périodes fertiles et infertiles peut aussi être utilisée comme méthode de régulation des naissances : soit pour éviter une naissance (en n'ayant des relations que dans les périodes infertiles), soit pour favoriser la conception d'un enfant (en en ayant dans la période la plus fertile). On parle alors de "méthodes naturelles" ou "méthodes d'auto-observation" (MAO) comme il est expliqué plus bas.
Pour les femmes qui veulent avoir un enfant, l'observation de la température basale est un des premiers signes qui permettent de savoir que l'on est enceinte.
Une période fertile, deux périodes infertiles
Les périodes infertiles et la période fertile du cycle féminin
Finalement la femme voit revenir une succession d'événements toujours dans le même ordre :
- les règles (en rouge sur le schéma)
- la période infertile de durée variable (de 0 à x jours) avant l'ovulation (en marron),
- la période fertile avant et pendant l'ovulation (qui dure une huitaine de jours), (en blanc)
- la période infertile post-ovulatoire (qui dure 14 jours) (à nouveau en marron)
Et à nouveau :
- les règles...
Ce cycle comprend donc une période fertile, et deux périodes infertiles.
Et durant les règles ? Cela dépend. Si la femme a un cycle très court, l'ovulation peut avoir lieu juste après les règles ou seulement 2-3 jours après. Dans ce cas, la sécrétion de glaire démarre pendant les règles, mais elle est recouverte par le sang. La femme peut donc être fertile. Hormis ces cycles courts, la femme est infertile pendant cette période où les ovaires sont au repos.
- les règles (en rouge sur le schéma)
- la période infertile de durée variable (de 0 à x jours) avant l'ovulation (en marron),
- la période fertile avant et pendant l'ovulation (qui dure une huitaine de jours), (en blanc)
- la période infertile post-ovulatoire (qui dure 14 jours) (à nouveau en marron)
Et à nouveau :
- les règles...
Ce cycle comprend donc une période fertile, et deux périodes infertiles.
Et durant les règles ? Cela dépend. Si la femme a un cycle très court, l'ovulation peut avoir lieu juste après les règles ou seulement 2-3 jours après. Dans ce cas, la sécrétion de glaire démarre pendant les règles, mais elle est recouverte par le sang. La femme peut donc être fertile. Hormis ces cycles courts, la femme est infertile pendant cette période où les ovaires sont au repos.
Un guide pour aller plus loin
Vous souhaitez vraiment apprendre à vous observer pour découvrir votre cycle ? En complément de nos articles, nous vous proposons de télécharger un guide de 40 pages qui vous accompagne pas à pas au fil de votre cycle.
Que faut-il observer et quand ? Comment noter ce qu'on observe ? Emotions, petites douleurs, pertes... Apprenez à comprendre les signaux de votre corps.
Le guide est un fichier PDF que vous pouvez télécharger pour 3,50 euros. La vente des guides permet de financer une partie de ce site dont tous les articles sont gratuits : www.reussirmavie.net/downloads/Un-guide-pour-apprendre-a-observer-son-cycle
Les méthodes d'auto-obsersation (MAO) : un moyen de contraception ?
L'auto-observation du cycle peut permettre de réguler les naissances
Un couple peut tout à fait utiliser cette observation des signes de fertilité pour éviter la venue d'un bébé. Il faut pour cela une période d'apprentissage pour bien repérer les signes (glaire), et pour les interpréter correctement. Il faut aussi respecter des règles précises pour déterminer le début et la fin de la période fertile (par exemple compter 4 jours après le jour sommet, etc).
Il est donc nécessaire de suivre une méthode ou de s'adresser à une association pour obtenir l'adresse d'une consultation ou d'une monitrice, notamment pour commencer. Ensuite, l'efficacité repose sur la continence périodique : le couple doit éviter les relations sexuelles pendant la période fertile s'il ne veut pas de bébé. C'est donc un choix de vie qui concerne l'homme comme la femme. Si tout cela est possible, l'efficacité est très bonne.
Ces MAO ou méthodes naturelles de régulation des naissances ont le grand avantage d'être "bio" et de respecter totalement le cycle de la femme. Elles peuvent aussi être utilisées pour favoriser l'arrivée d'un bébé en aidant à repérer la période la plus fertile. C'est leur grande différence avec la contraception classique : la fertilité naturelle est conservée, on "utilise" simplement son rythme.
Il est donc nécessaire de suivre une méthode ou de s'adresser à une association pour obtenir l'adresse d'une consultation ou d'une monitrice, notamment pour commencer. Ensuite, l'efficacité repose sur la continence périodique : le couple doit éviter les relations sexuelles pendant la période fertile s'il ne veut pas de bébé. C'est donc un choix de vie qui concerne l'homme comme la femme. Si tout cela est possible, l'efficacité est très bonne.
Ces MAO ou méthodes naturelles de régulation des naissances ont le grand avantage d'être "bio" et de respecter totalement le cycle de la femme. Elles peuvent aussi être utilisées pour favoriser l'arrivée d'un bébé en aidant à repérer la période la plus fertile. C'est leur grande différence avec la contraception classique : la fertilité naturelle est conservée, on "utilise" simplement son rythme.
Des associations pour apprendre l'auto-observation
- L'association Billings diffuse la méthode Billings (du nom du docteur Billings, médecin australien qui l'a mise au point), basée entièrement sur l'observation de la glaire cervicale. Rens. : www.methode-billings.com/
- Le C.L.E.R, (Centre de liaisons des équipes de recherche) enseigne en France une méthode utilisant plusieurs signes (glaire et température).
Rens. : www.methodes-naturelles.fr/
- La Fondation Sympto Therm (www.symptotherm.ch), basée en Suisse, enseigne le même type de méthode dans une approche écologiste.
- Le système Fertility Care (www.fertilitycare.fr/) mis au point par un médecin américain, propose des outils standardisés pour une observation très précise du cycle féminin notamment pour les couples qui ont des difficultés à concevoir (On parle alors de NaProTechnologie)
- Le C.L.E.R, (Centre de liaisons des équipes de recherche) enseigne en France une méthode utilisant plusieurs signes (glaire et température).
Rens. : www.methodes-naturelles.fr/
- La Fondation Sympto Therm (www.symptotherm.ch), basée en Suisse, enseigne le même type de méthode dans une approche écologiste.
- Le système Fertility Care (www.fertilitycare.fr/) mis au point par un médecin américain, propose des outils standardisés pour une observation très précise du cycle féminin notamment pour les couples qui ont des difficultés à concevoir (On parle alors de NaProTechnologie)
Article remis à jour le 13 avril 2015. Les commentaires antérieurs ont été conservés