Au départ de la course, il y avait 4 grandes villes françaises, et non des moindres : Bordeaux, Lyon, Toulouse et Marseille. Durant deux jours, les équipes de chaque ville ont défendu leurs couleurs et vanté leurs atouts. Identité latine et atlantique pour Bordeaux, énergie à Lyon, importance de la culture à Toulouse.
Mais c'est Marseille, deuxième ville de France, qui a finalement séduit "à l'unanimité" le jury composé de 7 personnalités françaises et de 7 autres européennes.
Marseille sera donc en 2013 la capitale européenne de la culture, aux côtés de la ville slovaque de Kosice. Elle s'est présentée comme "la ville la plus cosmopolite, la plus interculturelle" avec "une expérience de l'intégration par la culture".
Mais c'est Marseille, deuxième ville de France, qui a finalement séduit "à l'unanimité" le jury composé de 7 personnalités françaises et de 7 autres européennes.
Marseille sera donc en 2013 la capitale européenne de la culture, aux côtés de la ville slovaque de Kosice. Elle s'est présentée comme "la ville la plus cosmopolite, la plus interculturelle" avec "une expérience de l'intégration par la culture".
Un vrai pactole en perspective
Plus concrètement, Marseille ne s'est pas présentée seule mais en partenariat avec 80 communes de la région PACA. C'est d'ailleurs le projet "Marseille Provence" qui a gagné. La cité phocéenne veut en effet faire profiter sa région du pactole que représentera l'événement.
En 2004, Lille avait organisé 2500 événements culturels et reçu 8 millions de visiteurs. De quoi booster l'économie locale qui en a bien besoin. Lancé par le Conseil européen en 1985 afin de contribuer au rapprochement des peuples européens, le titre de capitale européenne de la culture assure en effet des retombées économiques non négligeables et donne l'occasion de développer de nombreuses infrastructures.
Le maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin (UMP), veut en profiter pour faire de sa ville une "cité radieuse" sur l'axe Europe-Méditerranée. Durant l'année 2013, il prévoit déjà d'organiser deux festivals internationaux, onze expositions et six "grands rassemblements populaires". Une méga teuf en perspective sur la Canebière.
En 2004, Lille avait organisé 2500 événements culturels et reçu 8 millions de visiteurs. De quoi booster l'économie locale qui en a bien besoin. Lancé par le Conseil européen en 1985 afin de contribuer au rapprochement des peuples européens, le titre de capitale européenne de la culture assure en effet des retombées économiques non négligeables et donne l'occasion de développer de nombreuses infrastructures.
Le maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin (UMP), veut en profiter pour faire de sa ville une "cité radieuse" sur l'axe Europe-Méditerranée. Durant l'année 2013, il prévoit déjà d'organiser deux festivals internationaux, onze expositions et six "grands rassemblements populaires". Une méga teuf en perspective sur la Canebière.