Remise de diplômes à Paris Sud
Réalisée entre décembre 2011 et avril 2012, cette troisième enquête nationale sur l'insertion professionnelle des diplômés de l'université a porté sur les diplômés qui ont obtenu en 2009 leur DUT, licence professionnelle ou master.
Ses résultats (publiés le 13 novembre 2012) confirment ce que montraient déjà la même enquête les deux années précédentes : les jeune diplômés de l'université n'ont rien à envier à ceux des grandes écoles pour trouver un emploi à la fin de leurs études. En effet, neuf diplômés sur dix en 2009 avaient un emploi 30 mois plus tard.
Un résultat positif "dans un contexte économique avec 9,3% de taux de chômage en France métropolitaine au dernier trimestre 2011", souligne l'étude.
Ses résultats (publiés le 13 novembre 2012) confirment ce que montraient déjà la même enquête les deux années précédentes : les jeune diplômés de l'université n'ont rien à envier à ceux des grandes écoles pour trouver un emploi à la fin de leurs études. En effet, neuf diplômés sur dix en 2009 avaient un emploi 30 mois plus tard.
Un résultat positif "dans un contexte économique avec 9,3% de taux de chômage en France métropolitaine au dernier trimestre 2011", souligne l'étude.
Bonne insertion pour les licences professionnelles
L'enquête ne se contente toutefois pas de demander aux jeunes diplômés s'ils ont un emploi : elle évalue la part d'emplois de cadres ou de professions intermédiaires, la part d'emplois en CDI, et la part d'emplois à temps plein.
Elle a été réalisée université par université et filière par filière : les résultats donnent donc une appréciation très intéressante de la professionnalisation des divers diplômes et nous vous conseillons grandement de la consulter avant de vous engager dans des études universitaires.
Premier enseignement : c'est en licence professionnelle que les conditions d'embauche sont les plus favorables, avec un emploi stable (en CDI) pour 80% de ses titulaires (contre 73% en master, 71% en DUT). Un bon point pour la licence pro, diplôme de niveau bac+3 qui vise la professionnalisation et l'entrée directe sur le marché du travail.
Elle a été réalisée université par université et filière par filière : les résultats donnent donc une appréciation très intéressante de la professionnalisation des divers diplômes et nous vous conseillons grandement de la consulter avant de vous engager dans des études universitaires.
Premier enseignement : c'est en licence professionnelle que les conditions d'embauche sont les plus favorables, avec un emploi stable (en CDI) pour 80% de ses titulaires (contre 73% en master, 71% en DUT). Un bon point pour la licence pro, diplôme de niveau bac+3 qui vise la professionnalisation et l'entrée directe sur le marché du travail.
Concernant le niveau d'emploi, logiquement, les titulaires de masters (bac+5) sont en tête : 88% occupent un emploi de cadre, 73% des licences pro et 57% des DUT.
Des résultats qui encouragent donc à poursuivre des études, mais attention à choisir la bonne filière.
Des résultats qui encouragent donc à poursuivre des études, mais attention à choisir la bonne filière.
Les littéraires un peu moins bien lotis
En effet, toutes les filières n'ont pas les mêmes performances pour l'insertion. Si les masters de sciences et techniques conduisent 9 diplômés sur 10 à un emploi de cadre, les scores sont moins bons pour les littéraires : "Les diplômés de droit-économie-gestion (DEG) et technologies-sciences-santé (TSS) bénéficient de conditions d'embauche nettement plus favorables que ceux de sciences humaines et sociales (SHS) et de lettres-langues-arts (LLA)", précise l'étude, avec à la fois un taux d'insertion plus élevé et des emplois plus souvent stables, à temps plein et de niveau cadre ou profession intermédiaire.
Là encore, il est intéressant d'aller apprécier ces chiffres université par université (sur le site du ministere) et filière par filière : vous trouverez ci-joint (en pdf) les résultats par spécialité par les DUT et licences pro, et pour les masters, ainsi que l'analyse de toute l'enquête.
L'étude a été réalisée en décembre 2011 par le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche et les universités françaises publiques, sauf Paris Dauphine et Paris II, auprès de 85.700 jeunes ayant obtenu en 2009 leur diplôme de master, DUT ou licence professionnelle.
Lire aussi :
Grandes écoles : l'insertion des jeunes diplômés de 2011 a progressé
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L'étude a été réalisée en décembre 2011 par le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche et les universités françaises publiques, sauf Paris Dauphine et Paris II, auprès de 85.700 jeunes ayant obtenu en 2009 leur diplôme de master, DUT ou licence professionnelle.
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Insertion-par spécialité de DUT et de licence pro.pdf
(18.88 Ko)
Insertion-pour-les-masters.pdf (16.7 Ko)
Insertion-resultats-généraux.pdf (24.73 Ko)
Insertion-pour-les-masters.pdf (16.7 Ko)
Insertion-resultats-généraux.pdf (24.73 Ko)