C'est un très bon plan pour voir du pays sans se ruiner et vivre une expérience internationale. D'autant que depuis 2015, les destinations ouvertes aux Français se sont sacrément étoffées grâce à la signature de nouveaux accords bilatéraux.
Le Japon, la Nouvelle-Zélande, le Canada, l'Australie, puis l'Argentine, la Corée du Sud, la Russie et Hong Kong sont les premiers à avoir signé de tels accords avec la France. La Colombie et le Chili ont suivi en 2015. Puis, en août 2016 ont démarré des PVT France-Taïwan et France-Uruguay.
Et en mars 2018, l'accord signé avec le Brésil en 2013 (!) est enfin entré en vigueur, avec la possibilité effective pour des jeunes Français ou des Brésiliens de demander leur visa vacances-travail. Les Français ont donc le choix entre 13 destinations, toutes lointaines et très attrayantes.
Le Japon, la Nouvelle-Zélande, le Canada, l'Australie, puis l'Argentine, la Corée du Sud, la Russie et Hong Kong sont les premiers à avoir signé de tels accords avec la France. La Colombie et le Chili ont suivi en 2015. Puis, en août 2016 ont démarré des PVT France-Taïwan et France-Uruguay.
Et en mars 2018, l'accord signé avec le Brésil en 2013 (!) est enfin entré en vigueur, avec la possibilité effective pour des jeunes Français ou des Brésiliens de demander leur visa vacances-travail. Les Français ont donc le choix entre 13 destinations, toutes lointaines et très attrayantes.
Une formule idéale pour faire un long séjour sans se ruiner
Car les programmes vacances-travail ont l'avantage de permettre de longs séjours grâce à un visa "sur mesure", plus long qu'un visa tourisme, et d'autoriser les jobs ou emplois temporaires.
Entre 18 et 30 ans, on a 1000 raisons de vouloir voyager. Après un master d'informatique, Damien ne voulait pas embrayer tout de suite sur une vie de jeune pro. Linda, elle, manquait de motivation pour commencer des études et avait besoin de "mûrir". Quant à Juliette, elle avait toujours rêvé de découvrir l'Australie...
Mais on n'a pas toujours les moyens de faire du tourisme au long cours, même en mode routard, alors la possibilité de pouvoir travailler sur place est idéale pour bien des Pvtistes.
Entre 18 et 30 ans, on a 1000 raisons de vouloir voyager. Après un master d'informatique, Damien ne voulait pas embrayer tout de suite sur une vie de jeune pro. Linda, elle, manquait de motivation pour commencer des études et avait besoin de "mûrir". Quant à Juliette, elle avait toujours rêvé de découvrir l'Australie...
Mais on n'a pas toujours les moyens de faire du tourisme au long cours, même en mode routard, alors la possibilité de pouvoir travailler sur place est idéale pour bien des Pvtistes.
Tout sur le PVT ou le VVT
Qui peut bénéficier d'un PVT ?
En vertu des accords conclus par la France, tout jeune Français de 18 à 30 ans, quel que soit son niveau de diplôme ou de langues ! Pour le Canada, le départ est possible jusqu'à 35 ans.
Si vous n'êtes pas français, il faut voir si votre pays a conclu des accords de PVT : il s'agit en effet d'accords bilatéraux conclus entre deux pays.
Quelles sont les les conditions à remplir pour partir ?
Il faut acheter un billet d'avion, souscrire une assurance privée qui pourra prendre en charge vos frais de santé et risques d'accidents, et partir avec une somme d'argent minimum pour pouvoir subvenir à ses besoins durant les trois premiers mois. Cette somme doit être par exemple de 2500 dollars canadiens pour le Canada, de 3100 euros pour le Japon, de 2500 euros pour la Corée, de 5000 dollars australiens pour l'Australie...
Il faut aussi fournir un certificat médical et certains pays peuvent exiger une visite médicale (Australie, Canada, Nouvelle-Zélande, Hong Kong)
Mais la première condition est d'obtenir le fameux "visa" ou "working holiday visa" (WHV) auprès de l'ambassade du pays visé.
Le nombre de visas PVT est-il limité ?
Cela dépend des pays. L'Australie et la Nouvelle-Zélande ne limitent pas du tout le nombre de visas Vacances-Travail qu'elles accordent : en effet, ces pays ont besoin de main d'oeuvre, en particulier dans l'agriculture. En Australie, on peut même demander un deuxième visa Vacances-Travail si l'on a déjà travaillé trois mois dans les emplois saisonniers agricoles (récoltes) ou dans la pêche, la tonte des moutons, la boucherie et la sylviculture. En Nouvelle-Zélande, on peut aussi être prolongé de trois mois sous certaines conditions.
Les autres pays accordent un nombre limité de visas, mais ce nombre est rarement atteint. Le seul pays pour lequel le nombre de visas accordé est inférieur aux demandes est le Canada. Pour ce pays, il faut donc postuler dès l'ouverture du programme sur le site de l'ambassade, en général à partir de novembre.
En vertu des accords conclus par la France, tout jeune Français de 18 à 30 ans, quel que soit son niveau de diplôme ou de langues ! Pour le Canada, le départ est possible jusqu'à 35 ans.
Si vous n'êtes pas français, il faut voir si votre pays a conclu des accords de PVT : il s'agit en effet d'accords bilatéraux conclus entre deux pays.
Quelles sont les les conditions à remplir pour partir ?
Il faut acheter un billet d'avion, souscrire une assurance privée qui pourra prendre en charge vos frais de santé et risques d'accidents, et partir avec une somme d'argent minimum pour pouvoir subvenir à ses besoins durant les trois premiers mois. Cette somme doit être par exemple de 2500 dollars canadiens pour le Canada, de 3100 euros pour le Japon, de 2500 euros pour la Corée, de 5000 dollars australiens pour l'Australie...
Il faut aussi fournir un certificat médical et certains pays peuvent exiger une visite médicale (Australie, Canada, Nouvelle-Zélande, Hong Kong)
Mais la première condition est d'obtenir le fameux "visa" ou "working holiday visa" (WHV) auprès de l'ambassade du pays visé.
Le nombre de visas PVT est-il limité ?
Cela dépend des pays. L'Australie et la Nouvelle-Zélande ne limitent pas du tout le nombre de visas Vacances-Travail qu'elles accordent : en effet, ces pays ont besoin de main d'oeuvre, en particulier dans l'agriculture. En Australie, on peut même demander un deuxième visa Vacances-Travail si l'on a déjà travaillé trois mois dans les emplois saisonniers agricoles (récoltes) ou dans la pêche, la tonte des moutons, la boucherie et la sylviculture. En Nouvelle-Zélande, on peut aussi être prolongé de trois mois sous certaines conditions.
Les autres pays accordent un nombre limité de visas, mais ce nombre est rarement atteint. Le seul pays pour lequel le nombre de visas accordé est inférieur aux demandes est le Canada. Pour ce pays, il faut donc postuler dès l'ouverture du programme sur le site de l'ambassade, en général à partir de novembre.
Les droits accordés par le visa Vacances-Travail
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Une fois sur place, vous avez donc le droit d'exercer un emploi temporaire (en général limité à une durée de 6 mois chez un même employeur) : selon les pays, et d'après les témoignages de ceux qui sont partis, vous trouvez aisément du travail dans l'hôtellerie et la restauration, le tourisme, les emplois agricoles saisonniers (récoltes).
Pensez simplement à bien préparer votre séjour et à faire votre CV en anglais avant de partir. Vous pouvez occuper différents jobs dans plusieurs villes ce qui vous permet de découvrir le pays, ou passer un certain temps à voyager. Certains "PVtistes" donnent priorité au travail pour gagner de l'argent dès le début de leur séjour avant de finir par un grand "road-trip", d'autres privilégient la découverte et ne font que de petits jobs...
Une chose est sûre comme le prouvent les témoignages de l'excellent site internet PVtistes.net : l'expérience est intéressante, car elle permet à la fois de voyager, de perfectionner son anglais, d'enrichir son CV d'une expérience à l'étranger, et pour certains, de tâter le terrain pour une expatriation future.
Pensez simplement à bien préparer votre séjour et à faire votre CV en anglais avant de partir. Vous pouvez occuper différents jobs dans plusieurs villes ce qui vous permet de découvrir le pays, ou passer un certain temps à voyager. Certains "PVtistes" donnent priorité au travail pour gagner de l'argent dès le début de leur séjour avant de finir par un grand "road-trip", d'autres privilégient la découverte et ne font que de petits jobs...
Une chose est sûre comme le prouvent les témoignages de l'excellent site internet PVtistes.net : l'expérience est intéressante, car elle permet à la fois de voyager, de perfectionner son anglais, d'enrichir son CV d'une expérience à l'étranger, et pour certains, de tâter le terrain pour une expatriation future.
Comment demander son visa Vacances-Travail ?
Pour chaque pays, la demande se fait via l'ambassade ou le consulat du pays concerné.
- La demande se fait en ligne pour l'Australie, le Canada, et la Nouvelle-Zélande
- Pour l'Argentine : par courrier et en se présentant en personne à l'ambassade
- Pour les autres pays : il faut en général envoyer le double de son dossier par courrier et se présenter ensuite en personne au consulat avec l'original de son dossier où l'on vous donne un rendez-vous.
- La demande se fait en ligne pour l'Australie, le Canada, et la Nouvelle-Zélande
- Pour l'Argentine : par courrier et en se présentant en personne à l'ambassade
- Pour les autres pays : il faut en général envoyer le double de son dossier par courrier et se présenter ensuite en personne au consulat avec l'original de son dossier où l'on vous donne un rendez-vous.