Sur un salon pour présenter son CFA en restauration
Il y est entré, enfin ! Ce bac pro hôtellerie-restauration, cela faisait longtemps que Bryan en rêvait. Depuis qu’à 10 ans, en regardant la télévision, il est tombé, fasciné, sur des documentaires consacrés à l’art culinaire. Un déclic. Une révélation.
Et cette nouvelle passion n’est pas passée inaperçue dans sa famille : "J’ai vite voulu cuisiner chez moi. J’ai commencé par de la pâtisserie, des gâteaux surtout, mais je dois admettre que ça n’était pas toujours une grande réussite", se souvient-il avec un large sourire.
Son projet professionnel était donc défini, mais il lui a fallu s’armer de patience. Pendant ses années de collège d’abord, puis le temps d’un détour par un BEP Comptabilité. "Je me suis laissé prendre par les délais et n’ai pas pu m’inscrire tout de suite après la troisième en hôtellerie-restauration. Je me suis rabattu sur la compta, mais ça ne m’a pas plu. L’aspect manuel qui m’attire beaucoup dans la cuisine me manquait vraiment !", raconte-t-il.
Et cette nouvelle passion n’est pas passée inaperçue dans sa famille : "J’ai vite voulu cuisiner chez moi. J’ai commencé par de la pâtisserie, des gâteaux surtout, mais je dois admettre que ça n’était pas toujours une grande réussite", se souvient-il avec un large sourire.
Son projet professionnel était donc défini, mais il lui a fallu s’armer de patience. Pendant ses années de collège d’abord, puis le temps d’un détour par un BEP Comptabilité. "Je me suis laissé prendre par les délais et n’ai pas pu m’inscrire tout de suite après la troisième en hôtellerie-restauration. Je me suis rabattu sur la compta, mais ça ne m’a pas plu. L’aspect manuel qui m’attire beaucoup dans la cuisine me manquait vraiment !", raconte-t-il.
Des qualités importantes pour réussir
Ce n’est donc qu’à la rentrée 2009 que Bryan, âgé de 17 ans, a enfin intégré la formation qu’il souhaitait au sein du CFA UTEC à Emerainville (Seine-et-Marne). Et depuis quelques mois, il est comme un poisson dans l’eau : "Je ne suis pas déçu. Ca me plaît beaucoup."
Concrètement, ses cours se partagent entre les matières générales (français, maths, science physique, etc.) et les cours pratiques. C’est ce que préfère Bryan : "D’un côté, il y a toute la partie qui consiste à apprendre à cuisiner : on réalise différents plats, on travaille sur le mélange des saveurs, etc. Et d’un autre côté, il y a tous les cours de «salle» pendant lesquels on nous enseigne les règles du service ou de la préparation des tables." Un apprentissage exigeant qui nécessite une bonne résistance physique, le goût du travail en équipe et d’importantes capacités d’adaptation.
Concrètement, ses cours se partagent entre les matières générales (français, maths, science physique, etc.) et les cours pratiques. C’est ce que préfère Bryan : "D’un côté, il y a toute la partie qui consiste à apprendre à cuisiner : on réalise différents plats, on travaille sur le mélange des saveurs, etc. Et d’un autre côté, il y a tous les cours de «salle» pendant lesquels on nous enseigne les règles du service ou de la préparation des tables." Un apprentissage exigeant qui nécessite une bonne résistance physique, le goût du travail en équipe et d’importantes capacités d’adaptation.
Des qualités que les élèves de l’UTEC peuvent continuellement éprouver puisqu’un restaurant est installé au sein de leur établissement. "On sert de vrais clients. Je trouve vraiment très bien qu’on puisse ainsi apprendre notre métier sur le terrain !", insiste Bryan.
Un secteur porteur pour l'emploi
S’il n’a pas encore décidé aujourd’hui s’il veut travailler en salle ou derrière les fourneaux, le jeune homme sait qu’il devra choisir l’une de ces deux voies dans le cadre de sa spécialisation en troisième année de bac pro. Ce diplôme en poche, il compte poursuivre son apprentissage par un BTS Hôtellerie-restauration, après quoi il se lancera sur le marché du travail.
"L’avantage de cette branche, c’est qu’il n’y a aucun problème d’emploi", souligne Amélie Boulanger, l’un de ses professeurs de «salle» à l’UTEC. Une facilité d'insertion professionnelle qui donne de grandes possibilités de mobilité, ce dont Bryan entend bien tirer parti : "Moi, je me vois bien aller travailler à l’étranger dans un premier temps, explique-t-il. Pourquoi pas en Espagne ou au Portugal ?"
"L’avantage de cette branche, c’est qu’il n’y a aucun problème d’emploi", souligne Amélie Boulanger, l’un de ses professeurs de «salle» à l’UTEC. Une facilité d'insertion professionnelle qui donne de grandes possibilités de mobilité, ce dont Bryan entend bien tirer parti : "Moi, je me vois bien aller travailler à l’étranger dans un premier temps, explique-t-il. Pourquoi pas en Espagne ou au Portugal ?"