Des courses futées
Cabas recyclable sous le bras et porte-monnaie en poche, pour que vos courses riment avec économies, suivez le guide.
- Ne faîtes pas vos courses le ventre vide. Non pas que l'exercice demande la préparation d'un marathonien, mais affamé, vous serez plus tenté d'acheter des produits superflus… dont vous pouvez vous passer. Une boîte de biscuits, un paquet de chips, un sachet de chocolats. Tant de petites tentations qui comptent lors du passage en caisse… et parfois sur la balance.
- Les produits "premiers prix" offrent des tarifs très avantageux. Prudence néanmoins quant à leur qualité et leur composition. Au banc d’essai, foncez les yeux fermés sur les aliments de base : farine, sucre, beurre, les laitages nature, les œufs, les pâtes et le riz. Un bon point également pour les biscuits secs, les soupes en sachet et les confitures. Quant aux charcuteries, plats préparés ou fruits et légumes, à vous de jauger et de lire les étiquettes. Pour rappel, la part de lipides (les graisses) ne doit pas dépasser 30% de la composition d’un produit.
- Pas de supermarché lowcost dans votre quartier, penchez vous sur les produits des marques distributeurs. Entre les aliments "premiers prix" et les grandes marques, ils sont le bon compromis pour le jambon et la viande, les poissons surgelés, les jus de fruits, les fromages, les légumes et les pâtes à tarte. Si vous êtes amateurs, foncez également sur leurs légumes en conserve.
- Soyez organisés ! Avant de partir tête baissée dans les rayons, devant votre frigo, faites une liste de ce dont vous avez besoin. C'est LA méthode qui a fait ses preuves pour gagner du temps et gérer les dépenses alimentaires. Encore mieux, essayez de prévoir quelques menus de la semaine. Lundi midi, pâtes bolognèse, mardi soir, gratin de courgettes… A chaque recette ses ingrédients.
- Vous avez un congélateur ? Il va devenir votre nouvelle tirelire. En effet, pour les produits comme la viande et le poisson, pensez à acheter des quantités plus importantes mais moins chères qu'au détail, que vous congelez une fois à la maison. Vous réalisez des économies significatives et avez des réserves au frais pour quelques repas d’avance
- Ne faîtes pas vos courses le ventre vide. Non pas que l'exercice demande la préparation d'un marathonien, mais affamé, vous serez plus tenté d'acheter des produits superflus… dont vous pouvez vous passer. Une boîte de biscuits, un paquet de chips, un sachet de chocolats. Tant de petites tentations qui comptent lors du passage en caisse… et parfois sur la balance.
- Les produits "premiers prix" offrent des tarifs très avantageux. Prudence néanmoins quant à leur qualité et leur composition. Au banc d’essai, foncez les yeux fermés sur les aliments de base : farine, sucre, beurre, les laitages nature, les œufs, les pâtes et le riz. Un bon point également pour les biscuits secs, les soupes en sachet et les confitures. Quant aux charcuteries, plats préparés ou fruits et légumes, à vous de jauger et de lire les étiquettes. Pour rappel, la part de lipides (les graisses) ne doit pas dépasser 30% de la composition d’un produit.
- Pas de supermarché lowcost dans votre quartier, penchez vous sur les produits des marques distributeurs. Entre les aliments "premiers prix" et les grandes marques, ils sont le bon compromis pour le jambon et la viande, les poissons surgelés, les jus de fruits, les fromages, les légumes et les pâtes à tarte. Si vous êtes amateurs, foncez également sur leurs légumes en conserve.
- Soyez organisés ! Avant de partir tête baissée dans les rayons, devant votre frigo, faites une liste de ce dont vous avez besoin. C'est LA méthode qui a fait ses preuves pour gagner du temps et gérer les dépenses alimentaires. Encore mieux, essayez de prévoir quelques menus de la semaine. Lundi midi, pâtes bolognèse, mardi soir, gratin de courgettes… A chaque recette ses ingrédients.
- Vous avez un congélateur ? Il va devenir votre nouvelle tirelire. En effet, pour les produits comme la viande et le poisson, pensez à acheter des quantités plus importantes mais moins chères qu'au détail, que vous congelez une fois à la maison. Vous réalisez des économies significatives et avez des réserves au frais pour quelques repas d’avance
Affiche de la rencontre nationale des épiceries solidaires.
- Guettez les "étiquettes jaunes" des produits qui approchent de leur date de péremption. Economies assurées, si bien sûr vous ne les oubliez pas au fond du frigo.
- Connaissez-vous les épiceries solidaires qui pratiquent des prix modiques sur les denrées du quotidien ? Réservées aux étudiants aux faibles revenus - moins de 7,20 euros par jour toutes charges soustraites - elles permettent de dépanner pour les fins de mois difficiles, que vous soyez boursier ou non. Plus qu'un magasin, ces structures sont aussi des lieux de partage conviviaux et d’échange. Retrouvez les sur www.epiceries-solidaires.org
- Attendez la fin du marché. Fruits et légumes bradés, prix imbattables sur les produits un peu trop mûrs ou abîmés, les aubaines sont toujours au rendez-vous. N'hésitez pas à négocier et apprenez à connaitre les producteurs, ils se souviendront de vous la semaine suivante.
- Connaissez-vous les épiceries solidaires qui pratiquent des prix modiques sur les denrées du quotidien ? Réservées aux étudiants aux faibles revenus - moins de 7,20 euros par jour toutes charges soustraites - elles permettent de dépanner pour les fins de mois difficiles, que vous soyez boursier ou non. Plus qu'un magasin, ces structures sont aussi des lieux de partage conviviaux et d’échange. Retrouvez les sur www.epiceries-solidaires.org
- Attendez la fin du marché. Fruits et légumes bradés, prix imbattables sur les produits un peu trop mûrs ou abîmés, les aubaines sont toujours au rendez-vous. N'hésitez pas à négocier et apprenez à connaitre les producteurs, ils se souviendront de vous la semaine suivante.
Secrets de cuisine
Une fois le frigo rempli, sortez votre tablier. C'est en vous mettant aux fourneaux que vous pourrez manger bon… et pas cher.
- La flemme est souvent l'excuse numéro un pour se commander un repas tout fait, dépense que vous regrettez plus tard. Envie de cuisiner ? Préparez des plats qui se gardent. Pas besoin de faire compliqué, une quiche, un gratin, une soupe peuvent se garder deux ou trois jours au frais. De quoi avoir un bon plat dans son frigo et donc éviter de passer de l'argent dans une pizza livrée ou le fast-food d’à côté.
- Limitez les plats tout préparés, au moins pour des recettes simples. Très pratiques certes, ils sont pour la plupart beaucoup plus chers et moins équilibrés que la version maison. Le meilleur exemple : une barquette de carottes râpées à 2 euros dans le commerce coûte environ 30 centimes à réaliser soi-même. Idem pour les quiches, les gratins, les "pasta box", les gâteaux que vous pouvez facilement troquer contre vos versions "home made".
- Investissez dans les Tupperware. Si vous n’avez pas de congélateur, vous avez un frigo pour garder les restes de vos repas. Aucun gaspillage en vue et un repas emballé et facilement transportable à la fac.
- Fana de fruits et légumes, cuisinez de saison ! Un geste économique mais aussi écologique. Les oranges l'hiver, les courgettes l’été, à chaque mois son fruit et son légume. Pour vous aider, rendez-vous sur www.fruits-legumes.org/. Un calendrier vous y est proposé mais également des idées de recette : les choux en plein hiver, les figues à l'automne pour changer des pommes.
- On redécouvre les soupes et les compotes pour passer les fruits et légumes abîmés que vous pouvez négocier à petit prix à la fin des marchés. Une casserole d'eau, un cube de bouillon et vos légumes, un coup de mixer et le tour est joué pour une soupe. Pour vos desserts, pensez à faire cuire les fruits avec un peu d'eau, de sucre et pourquoi pas des épices comme la cannelle, la vanille ou le gingembre. Des recettes anti-gaspillage bonnes et réconfortantes pour l'hiver.
- La flemme est souvent l'excuse numéro un pour se commander un repas tout fait, dépense que vous regrettez plus tard. Envie de cuisiner ? Préparez des plats qui se gardent. Pas besoin de faire compliqué, une quiche, un gratin, une soupe peuvent se garder deux ou trois jours au frais. De quoi avoir un bon plat dans son frigo et donc éviter de passer de l'argent dans une pizza livrée ou le fast-food d’à côté.
- Limitez les plats tout préparés, au moins pour des recettes simples. Très pratiques certes, ils sont pour la plupart beaucoup plus chers et moins équilibrés que la version maison. Le meilleur exemple : une barquette de carottes râpées à 2 euros dans le commerce coûte environ 30 centimes à réaliser soi-même. Idem pour les quiches, les gratins, les "pasta box", les gâteaux que vous pouvez facilement troquer contre vos versions "home made".
- Investissez dans les Tupperware. Si vous n’avez pas de congélateur, vous avez un frigo pour garder les restes de vos repas. Aucun gaspillage en vue et un repas emballé et facilement transportable à la fac.
- Fana de fruits et légumes, cuisinez de saison ! Un geste économique mais aussi écologique. Les oranges l'hiver, les courgettes l’été, à chaque mois son fruit et son légume. Pour vous aider, rendez-vous sur www.fruits-legumes.org/. Un calendrier vous y est proposé mais également des idées de recette : les choux en plein hiver, les figues à l'automne pour changer des pommes.
- On redécouvre les soupes et les compotes pour passer les fruits et légumes abîmés que vous pouvez négocier à petit prix à la fin des marchés. Une casserole d'eau, un cube de bouillon et vos légumes, un coup de mixer et le tour est joué pour une soupe. Pour vos desserts, pensez à faire cuire les fruits avec un peu d'eau, de sucre et pourquoi pas des épices comme la cannelle, la vanille ou le gingembre. Des recettes anti-gaspillage bonnes et réconfortantes pour l'hiver.
Bons plans resto
Une occasion à fêter, une envie de sortie… un bon repas au restaurant n'est pas forcément synonyme de diète pour votre carte de crédit.
- Si vous avez le choix, préférez le déjeuner au dîner pour aller au restaurant. Les formules proposées par la plupart des établissements sont très avantageuses le midi. Un même menu peut passer de 20 à 14 euros.
-De plus en plus de restaurants proposent des tarifs très attractifs sur Internet via des plateformes comme www.lafourchette.com , www.restobookings.fr, www.tableonline.fr. Deux menus pour le prix d'un, une entrée offerte, un dessert gratuit. C'est l'occasion de se faire plaisir sans y laisser son tablier. Une seule contrainte, réserver en ligne. Mais c'est à votre portée non ?
-Les écoles d’hôtellerie pratiquent des prix défiant toute concurrence pour des repas de grande qualité… puisque les élèves sont évalués dessus. Un bon point en plus, le service, qui est également irréprochable. Pour 15 euros en moyenne le menu complet, c'est plutôt avantageux et délicieux de jouer au cobaye. Cherchez les restaurants d'application des lycées hôteliers proches de chez vous… et pensez à réserver !
- Anniversaire, repas de promo, pot de fin d’année. Pour ces événements, vous pouvez essayer de discuter l'addition finale, en amont. Pas toujours évident de négocier ? Pourtant c'est une pratique plutôt courante pour les grandes tablées et qui à l’heure de l’addition donne le sourire à vos convives. Pensez à vous faire aider par un ami, un parent si vous n'êtes pas à l'aise.
- Si vous avez le choix, préférez le déjeuner au dîner pour aller au restaurant. Les formules proposées par la plupart des établissements sont très avantageuses le midi. Un même menu peut passer de 20 à 14 euros.
-De plus en plus de restaurants proposent des tarifs très attractifs sur Internet via des plateformes comme www.lafourchette.com , www.restobookings.fr, www.tableonline.fr. Deux menus pour le prix d'un, une entrée offerte, un dessert gratuit. C'est l'occasion de se faire plaisir sans y laisser son tablier. Une seule contrainte, réserver en ligne. Mais c'est à votre portée non ?
-Les écoles d’hôtellerie pratiquent des prix défiant toute concurrence pour des repas de grande qualité… puisque les élèves sont évalués dessus. Un bon point en plus, le service, qui est également irréprochable. Pour 15 euros en moyenne le menu complet, c'est plutôt avantageux et délicieux de jouer au cobaye. Cherchez les restaurants d'application des lycées hôteliers proches de chez vous… et pensez à réserver !
- Anniversaire, repas de promo, pot de fin d’année. Pour ces événements, vous pouvez essayer de discuter l'addition finale, en amont. Pas toujours évident de négocier ? Pourtant c'est une pratique plutôt courante pour les grandes tablées et qui à l’heure de l’addition donne le sourire à vos convives. Pensez à vous faire aider par un ami, un parent si vous n'êtes pas à l'aise.
Sur le campus
Pour les étudiants, grosse journée et manque de temps riment souvent avec dépenses à l'heure du repas.
- On a beau le répéter, le resto U est le meilleur moyen de manger chaud, plutôt bon et équilibré le midi si vous êtes étudiant. Pour 3 euros en moyenne, la formule terrasse toute concurrence.
- Dans un monde parfait, vous auriez le temps et le courage de vous préparer votre petit plat ou votre jambon-beurre le matin avant les cours. Or, c'est plus souvent à la boulangerie du coin qui vous finissez, mort de faim avant un lourd après-midi en amphi. La bonne astuce : achetez votre sandwich dans les superettes. Ils sont moins chers qu’en boulangerie. Et pour les courageux ou les plus exigeants sur la qualité du pain, prenez une demi-baguette à la boulangerie et le jambon à l’épicerie.
- Envie de fast food, certains Mac do, Quick ou Subway proposent des formules étudiantes. A vous de les repérer…
-Vous connaissez peut être les AMAP, ces associations de quartier qui permettent aux producteurs de vendre leurs légumes de saison directement aux consommateurs, sans intermédiaires et donc moins cher. L'initiative a sa déclinaison à l'université : les AMAP étudiantes comme par exemple asso-zest.org à Toulouse, www.facverte-tours.fr/ à Tours ou lespaniersdegaston.blogspot.com à Marseille. Le principe est simple, en vous inscrivant, vous récupérer un petit panier de produits par semaine, pour un prix défiant toute concurrence. Des initiatives citoyennes en or pour redécouvrir les fruits et légumes de saison bien sûr, mais aussi consommer de bons produits moins chers et rencontrer des gens.
- On a beau le répéter, le resto U est le meilleur moyen de manger chaud, plutôt bon et équilibré le midi si vous êtes étudiant. Pour 3 euros en moyenne, la formule terrasse toute concurrence.
- Dans un monde parfait, vous auriez le temps et le courage de vous préparer votre petit plat ou votre jambon-beurre le matin avant les cours. Or, c'est plus souvent à la boulangerie du coin qui vous finissez, mort de faim avant un lourd après-midi en amphi. La bonne astuce : achetez votre sandwich dans les superettes. Ils sont moins chers qu’en boulangerie. Et pour les courageux ou les plus exigeants sur la qualité du pain, prenez une demi-baguette à la boulangerie et le jambon à l’épicerie.
- Envie de fast food, certains Mac do, Quick ou Subway proposent des formules étudiantes. A vous de les repérer…
-Vous connaissez peut être les AMAP, ces associations de quartier qui permettent aux producteurs de vendre leurs légumes de saison directement aux consommateurs, sans intermédiaires et donc moins cher. L'initiative a sa déclinaison à l'université : les AMAP étudiantes comme par exemple asso-zest.org à Toulouse, www.facverte-tours.fr/ à Tours ou lespaniersdegaston.blogspot.com à Marseille. Le principe est simple, en vous inscrivant, vous récupérer un petit panier de produits par semaine, pour un prix défiant toute concurrence. Des initiatives citoyennes en or pour redécouvrir les fruits et légumes de saison bien sûr, mais aussi consommer de bons produits moins chers et rencontrer des gens.
Vous avez tous les ingrédients pour soigner vos papilles et votre porte-monnaie. A table !
Lire aussi :
Fatigue, stress, blues : les aliments qui nous sauvent
Etudiants : comment éviter la mal-bouffe ?
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