En terminale, je ne savais pas trop quoi faire
Au lycée, j'ai fait un bac S, car j'aimais tout ce qui était scientifique en particulier les maths et la physique. Cela dit, j'ai quand même passé mon bac deux fois, car à l'époque, je n'étais pas un gros travailleur : je comprenais tout en cours, mais je n'étais pas sérieux à la maison...
Après le bac, je ne savais pas trop ce que je voulais faire. Comme j'aimais les sciences, j'ai finalement choisi de poursuivre à la fac. J'ai commencé un DEUG SM, sciences de la matière, à l'université de Cergy-Pontoise : en première année, on faisait des maths, de la physique, un peu de géologie mais pas de biologie car je n'en voyais alors pas l'intérêt (ce serait différent aujourd'hui...)
Après le bac, je ne savais pas trop ce que je voulais faire. Comme j'aimais les sciences, j'ai finalement choisi de poursuivre à la fac. J'ai commencé un DEUG SM, sciences de la matière, à l'université de Cergy-Pontoise : en première année, on faisait des maths, de la physique, un peu de géologie mais pas de biologie car je n'en voyais alors pas l'intérêt (ce serait différent aujourd'hui...)
Le choix de l'IUP et de l'informatique industrielle
A la fin de ma première année de DEUG, on nous a proposé un choix : je pouvais soit poursuivre mon cursus en deuxième année de DEUG (aujourd'hui on parle de deuxième année de licence ou L2) en sciences de la matière, soit entrer à l'IUP Génie électrique et informatique industrielle (GEII) de l'université de Cergy. C'est ce que j'ai choisi, car j'étais attiré par les nouvelles technologies.
Je n'ai pas regretté mon choix de l'IUP. L'enseignement se fait en classe de 30. Les TP sont plus intéressants car plus ciblés qu'à la fac. C'était surtout beaucoup plus tourné vers le monde professionnel et les nouvelles technologies. J'ai malheureusement dû redoubler ma première année d'IUP pour me mettre à niveau en électronique : au lycée et à la fac, je n'avais fait que des maths et de la physique, et jamais d'électronique contrairement à beaucoup d'autres. Cela a été dur sur le coup mais finalement mon redoublement a été bénéfique. Je me dis aujourd'hui qu'une année n'est pas grand chose dans une vie... J'ai bien fait de m'accrocher.
Je n'ai pas regretté mon choix de l'IUP. L'enseignement se fait en classe de 30. Les TP sont plus intéressants car plus ciblés qu'à la fac. C'était surtout beaucoup plus tourné vers le monde professionnel et les nouvelles technologies. J'ai malheureusement dû redoubler ma première année d'IUP pour me mettre à niveau en électronique : au lycée et à la fac, je n'avais fait que des maths et de la physique, et jamais d'électronique contrairement à beaucoup d'autres. Cela a été dur sur le coup mais finalement mon redoublement a été bénéfique. Je me dis aujourd'hui qu'une année n'est pas grand chose dans une vie... J'ai bien fait de m'accrocher.
Un master pour former des experts des systèmes embarqués
J'ai donc fait mes trois ans d'IUP. Avant la réforme LMD, l'IUP délivrait à bac + 4 un diplôme d'ingénieur-maître. Depuis la réforme, ce diplôme n'existe plus mais on nous prépare à des masters professionnels. Personnellement, j'ai choisi le master "Systèmes intelligents et communicants" toujours à Cergy Pontoise, mais en dehors de l'IUP, sur le site de Saint-Martin. Cette fois, il y a moins d'électronique, mais toujours beaucoup d'informatique. Je découvre à nouveau beaucoup de matières nouvelles : traitement d'images, intelligence artificielle, réseaux de neurones (c'est là que je repense à l'intérêt de la biologie...), c'est passionnant. On fait aussi beaucoup de travaux pratiques : on réalise des programmes d'intelligence artificielle qu'on teste sur des robots. Le but est de réaliser des systèmes embarqués qui pourront être installés sur des véhicules, des voitures, des avions, mais aussi dans la télévision numérique ou la téléphonie mobile. Pour l'instant, c'est assez dur car il y a beaucoup de nouvelles matières à intégrer, mais le travail me passionne.
J'aimerais concevoir des systèmes embarqués pour l'automobile ou l'aérospatiale
Je ne suis pas inquiet du tout pour mon avenir. D'abord, je fais mon master en alternance. A partir de décembre, je vais alterner un mois en entreprise, un mois à la fac, et finir l'année par plusieurs mois de stage. J'ai trouvé mon stage dans une entreprise qui fait des logiciels sur téléphone mobile pour les banques.
Je vais également réaliser un projet de fin d'année qui va demander beaucoup de travail : mon groupe et moi devons concevoir les systèmes embarqués (GPS, Wifi...) pour un drone aérien, un hélico, que l'on pourra entièrement commander à distance. A travers ce type de projet, on apprend énormément : on fait de la technique, de la gestion de projet, du travail d'équipe... Par la suite j'aimerais me diriger vers l'automobile ou l'aérospatiale : je suis passionné par tous les systèmes intelligents qui permettent d'assister le conducteur. On sait maintenant concevoir des voitures qui peuvent rouler sans conducteur !
Je sais en tout cas que ma formation m'ouvre pas mal de possibilités, les salaires sont intéressants, et le secteur des nouvelles technologies très motivant.
Je vais également réaliser un projet de fin d'année qui va demander beaucoup de travail : mon groupe et moi devons concevoir les systèmes embarqués (GPS, Wifi...) pour un drone aérien, un hélico, que l'on pourra entièrement commander à distance. A travers ce type de projet, on apprend énormément : on fait de la technique, de la gestion de projet, du travail d'équipe... Par la suite j'aimerais me diriger vers l'automobile ou l'aérospatiale : je suis passionné par tous les systèmes intelligents qui permettent d'assister le conducteur. On sait maintenant concevoir des voitures qui peuvent rouler sans conducteur !
Je sais en tout cas que ma formation m'ouvre pas mal de possibilités, les salaires sont intéressants, et le secteur des nouvelles technologies très motivant.