Attiré par les métiers de l'entreprise, Alban, comme des milliers de bacheliers chaque année, a d'abord tenté les concours d'entrée en écoles de commerce postbac. "Mais j'ai échoué, raconte-t-il, et je suis aussi resté sur liste d'attente pour une classe prépa". Il allait alors se tourner sans enthousiasme vers la fac quand une amie lui parle d'une université privée spécialisée en droit et économie, la FACO Paris
"Après mes échecs, ça été un réconfort et surtout, j'y ai trouvé un cadre qui me convient bien : je ne suis pas très scolaire, mais j'ai besoin d'être encadré. Ici, j'étudie le droit, la gestion, des matières plus proches de l'entreprise qui me plaisent bien. En fin de première année, on doit faire un stage de deux mois en entreprise. Je l'ai fait au service trésorerie d'une entreprise de chimie, j'ai appris à faire des manipulations simples de trésorerie, c'était concret." Un apprentissage d'autant plus appréciable qu'Alban caresse le projet de créer un jour son entreprise.
"Après mes échecs, ça été un réconfort et surtout, j'y ai trouvé un cadre qui me convient bien : je ne suis pas très scolaire, mais j'ai besoin d'être encadré. Ici, j'étudie le droit, la gestion, des matières plus proches de l'entreprise qui me plaisent bien. En fin de première année, on doit faire un stage de deux mois en entreprise. Je l'ai fait au service trésorerie d'une entreprise de chimie, j'ai appris à faire des manipulations simples de trésorerie, c'était concret." Un apprentissage d'autant plus appréciable qu'Alban caresse le projet de créer un jour son entreprise.
Une promo de 13 étudiants seulement
"Comme dans toutes les facs, on alterne les cours magistraux et les travaux dirigés, raconte l'étudiant, sauf qu'ici, nous sommes en petit effectif : nous sommes 13 seulement dans ma promo cette année. Du coup, les profs sont proches de nous, très à l'écoute. On est évalué par contrôle continu et on a des galops d'essai réguliers pour nous permettre de progresser".
Alban parle aussi d'un BDE et de "petits locaux", situés à quelques mètres d'universités publiques prestigieuses. Assas, la fac de droit publique (Paris II) n'est qu'à quelques pas et le cursus de droit de la FACO suit d'ailleurs ses programmes. Mais ici, même en droit, les promotions ne dépassent pas 40 étudiants. "La fac à taille humaine, ça change tout ! On se connaît tous et l'on est bien suivi pour réussir".
Après la licence, Alban garde son cap : "Je compte dès cette année passer le concours de l'EDHEC, puis le concours Passerelle pour rentrer en première année d'école de commerce". Son projet de création d'entreprise, lui, n'est pas encore cerné : "Je sais que j'ai envie d'entreprendre, c'est tout, et qu'il y a plusieurs voies pour y parvenir : faire une grande école, ou poursuivre en master, je verrai"...
Alban parle aussi d'un BDE et de "petits locaux", situés à quelques mètres d'universités publiques prestigieuses. Assas, la fac de droit publique (Paris II) n'est qu'à quelques pas et le cursus de droit de la FACO suit d'ailleurs ses programmes. Mais ici, même en droit, les promotions ne dépassent pas 40 étudiants. "La fac à taille humaine, ça change tout ! On se connaît tous et l'on est bien suivi pour réussir".
Après la licence, Alban garde son cap : "Je compte dès cette année passer le concours de l'EDHEC, puis le concours Passerelle pour rentrer en première année d'école de commerce". Son projet de création d'entreprise, lui, n'est pas encore cerné : "Je sais que j'ai envie d'entreprendre, c'est tout, et qu'il y a plusieurs voies pour y parvenir : faire une grande école, ou poursuivre en master, je verrai"...