"En terminale ES, je savais que je voulais monter des projets, partir à l'étranger, découvrir de nouvelles cultures, raconte Adrien en revenant sur son parcours. J'étais attiré par le commerce international, mais je ne me sentais pas prêt à me spécialiser tout de suite, donc j'ai choisi de faire une prépa."
Il met donc le cap sur une "classe préparatoire aux grandes écoles" (CPGE) commerciale, mais prend le temps de faire le choix qui lui convient : "j'ai postulé dans plusieurs lycées que j'ai tous été visiter car je savais qu'il y aurait beaucoup de travail et je voulais que l'ambiance de la prépa soit bonne". C'est ainsi qu'il élimine un lycée parisien pour choisir un établissement plus proche de son domicile de banlieue, à Meaux, en Seine-et-Marne.
Il met donc le cap sur une "classe préparatoire aux grandes écoles" (CPGE) commerciale, mais prend le temps de faire le choix qui lui convient : "j'ai postulé dans plusieurs lycées que j'ai tous été visiter car je savais qu'il y aurait beaucoup de travail et je voulais que l'ambiance de la prépa soit bonne". C'est ainsi qu'il élimine un lycée parisien pour choisir un établissement plus proche de son domicile de banlieue, à Meaux, en Seine-et-Marne.
En prépa, j'ai appris à travailler vite et bien
"En prépa, c'est vrai que la pression est forte et beaucoup se découragent : on a commencé l'année à 30 dans la classe et on a fini à 19, raconte Adrien. Les profs mettent des notes très basses, tout le monde a 3/20, puis on arrive à 4, 5, 6..." Adrien, lui, a su "tenir le coup" : "Par rapport aux notes, j'ai fini par prendre ça avec humour, il faut se dire que le but n'est pas d'avoir de bonnes notes, mais de préparer un concours et les profs nous évaluent par rapport aux meilleurs".
Aujourd'hui, surtout, il se félicite de l'acquis : "la prépa m'a appris à travailler vite et bien. En terminale, par exemple, je m'inquiétais quand j'avais à faire une dissertation pour la semaine suivante. En prépa, j'en avais parfois 4 à faire du jour au lendemain : j'en faisais deux la veille au soir, une le matin même avant de partir et une dans le train pendant mes 30 minutes de trajet !"
Aujourd'hui, surtout, il se félicite de l'acquis : "la prépa m'a appris à travailler vite et bien. En terminale, par exemple, je m'inquiétais quand j'avais à faire une dissertation pour la semaine suivante. En prépa, j'en avais parfois 4 à faire du jour au lendemain : j'en faisais deux la veille au soir, une le matin même avant de partir et une dans le train pendant mes 30 minutes de trajet !"
J'ai réussi 15 écoles et j'ai fait le tour de France pour les oraux
Durant ces deux années de travail intensif, Adrien ne perd pourtant pas de vue son projet final : j'avais déjà repéré l'ISC Paris, une école qui m'intéressait parce qu'elle avait une spécialisation tourisme et permettait de partir à l'étranger". Mais prudemment, il présente beaucoup d'écoles aux concours : "Finalement, j'ai réussi les écrits de 15 écoles dont l'ICS Paris et j'ai voulu passer tous les oraux pour voir chaque école et être sûr de faire le bon choix. J'ai donc fait un vrai tour de France : j'ai commencé par le Nord à Amiens, puis je suis parti à Dijon, St-Etienne, Marseille et j'ai fini par Montpellier et la Normandie."
Finalement, Adrien choisit bien l'ISC Paris : "Pour travailler dans le tourisme international, j'ai préféré avoir le diplôme d'une école située à Paris, et puis j'ai apprécié l'ambiance de l'ISC et le fait que l'école propose de se spécialiser de façon assez poussée en deuxième et troisième années".
Finalement, Adrien choisit bien l'ISC Paris : "Pour travailler dans le tourisme international, j'ai préféré avoir le diplôme d'une école située à Paris, et puis j'ai apprécié l'ambiance de l'ISC et le fait que l'école propose de se spécialiser de façon assez poussée en deuxième et troisième années".
Mon CDD à Walt Disney World en Floride a été un vrai bonheur
Un premier stage chez Eurodisney à Marne-la-Vallée, un deuxième à Disney Word en Floride.
En fin de première année, il choisit de faire son stage à Disneyland Paris, dans la gestion des boutiques. Expérience positive. "Cela a confirmé mon projet de me spécialiser dans le tourisme. Et en deuxième année, en guise de stage de deuxième semestre, j'ai obtenu un CDD en Floride à Walt Disney World. Là, j'étais chargé de la gestion des attractions et des parades."
Cette fois, c'est carrément l'enthousiasme : "Cette expérience a été un véritable épanouissement personnel. Je pouvais tout vivre à la fois : découvrir une autre culture, exercer un travail qui me plaît. C'est vrai que je travaillais beaucoup, de 45 à 55 heures par semaine et je ne voyais pas le temps passer !"
Fin septembre 2009, il attaque donc sa troisième et dernière année en choisissant la spécialisation tourisme, l'un des 20 proposées par l'école. "Les enseignements de spécialisations représentent 430 heures sur l'année, ce qui est beaucoup par rapport à d'autres écoles. Mais ça permet d'être vraiment opérationnel quand on arrive sur le marché du travail".
Cette fois, c'est carrément l'enthousiasme : "Cette expérience a été un véritable épanouissement personnel. Je pouvais tout vivre à la fois : découvrir une autre culture, exercer un travail qui me plaît. C'est vrai que je travaillais beaucoup, de 45 à 55 heures par semaine et je ne voyais pas le temps passer !"
Fin septembre 2009, il attaque donc sa troisième et dernière année en choisissant la spécialisation tourisme, l'un des 20 proposées par l'école. "Les enseignements de spécialisations représentent 430 heures sur l'année, ce qui est beaucoup par rapport à d'autres écoles. Mais ça permet d'être vraiment opérationnel quand on arrive sur le marché du travail".
J'aimerais travailler dans l'univers des croisières
Pour Adrien, les choses vont aller très vite : "je soutiens ma soutenance de mémoire en juillet et je commence ensuite à travailler". Des idées et des souhaits pour son premier emploi ? "Je suis attiré par l'univers des bateaux de croisière gérés par de grosses compagnies, aux Etats-Unis ou en Europe", répond Adrien, qui a déjà pris des contacts dans ce secteur.
Mais il y a mieux : "En fait, dit-il, j'ai déjà deux offres d'emploi car nous déposons nos CV sur le site de l'école et des employeurs m'ont contacté". A six mois de la fin de ses études, ce n'est pas mal : "Disney me refait une proposition pour travailler aux Etats-Unis et j'ai aussi une offre de la part d'un grand hôtel parisien sur les Champs Elysées". Toujours prudent, aimant peser toutes les options comme il l'a fait durant toutes ses études, Adrien n'a pas encore fait son choix : "d'autres offres vont sans doute venir, et je préfère me donner du temps pour réfléchir."
Un bel itinéraire qui doit sans doute autant à la grande école de management qu'à la détermination d'Adrien qui a su bâtir son projet professionnel pas à pas.
www.iscparis.com
Mais il y a mieux : "En fait, dit-il, j'ai déjà deux offres d'emploi car nous déposons nos CV sur le site de l'école et des employeurs m'ont contacté". A six mois de la fin de ses études, ce n'est pas mal : "Disney me refait une proposition pour travailler aux Etats-Unis et j'ai aussi une offre de la part d'un grand hôtel parisien sur les Champs Elysées". Toujours prudent, aimant peser toutes les options comme il l'a fait durant toutes ses études, Adrien n'a pas encore fait son choix : "d'autres offres vont sans doute venir, et je préfère me donner du temps pour réfléchir."
Un bel itinéraire qui doit sans doute autant à la grande école de management qu'à la détermination d'Adrien qui a su bâtir son projet professionnel pas à pas.
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