Le génie climatique et énergétique : ça souffle fort !
Chauffages, appareils sanitaires, chaufferies, systèmes de climatisation... Avec l'élévation du niveau de confort et les nouvelles exigences environnementales pour économiser l'énergie, ce secteur est en plein boom mais il manque de recrues qualifiées. Du niveau CAP à bac +5, il offre donc une série de formations en apprentissage dans les entreprises du secteur. La maintenance a de gros besoins, mais il faut aussi des commerciaux passionnés par ces questions d'énergie et d'environnement. Vous pouvez préparer par exemple :
- le BTS technico-commercial spécialité énergie et environnement (après un bac STI),
- la licence professionnelle gestion et maintenance des installations énergétiques (après un BTS fluides énergie ou électrotechnique ou maintenance, un DUT industriel, une L2 scientifique..)
- le diplôme d'ingénieur Fluides, énergies, réseaux, environnement (après un BTS ou DUT) en partenariat avec le Cnam et l'Ecole des mines.
www.afanem.fr
- le BTS technico-commercial spécialité énergie et environnement (après un bac STI),
- la licence professionnelle gestion et maintenance des installations énergétiques (après un BTS fluides énergie ou électrotechnique ou maintenance, un DUT industriel, une L2 scientifique..)
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L'agro-alimentaire ne connaît pas la crise
Premier secteur industriel en France, l'agro-alimentaire a été peu touché par le ralentissement économique : il nous faut continuer à manger tous les jours...
Ce sont les sites de production qui ont les plus gros besoins de main d'oeuvre. Pour conduire les lignes de production automatisées de bouteilles de sodas, ou de boites de conserve, il faut des techniciens capables de piloter des machines, de gérer des équipes, de respecter les normes d'hygiène.
- le diplôme de base, très recherché, est le bac pro Pilotage de systèmes de production automatisée.
Mais on peut aussi préparer plusieurs BTS ou BTSA (agricoles) comme le BTSA Industries agroalimentaires option Industrie alimentaire (après un bac S ou STAV ou STL). D'autres formations sont axées sur la qualité ou la sécurité alimentaire.
Au programme de ces études : la biochimie alimentaire, les procédés de fabrication, les machines industrielles, la qualité, l'hygiène, la réglementation... Avis aux élèves issus des filières agricoles, aux passionnés de biologie, de chimie. Le milieu de travail est cependant industriel.
www.ifria-apprentissage.fr
Ce sont les sites de production qui ont les plus gros besoins de main d'oeuvre. Pour conduire les lignes de production automatisées de bouteilles de sodas, ou de boites de conserve, il faut des techniciens capables de piloter des machines, de gérer des équipes, de respecter les normes d'hygiène.
- le diplôme de base, très recherché, est le bac pro Pilotage de systèmes de production automatisée.
Mais on peut aussi préparer plusieurs BTS ou BTSA (agricoles) comme le BTSA Industries agroalimentaires option Industrie alimentaire (après un bac S ou STAV ou STL). D'autres formations sont axées sur la qualité ou la sécurité alimentaire.
Au programme de ces études : la biochimie alimentaire, les procédés de fabrication, les machines industrielles, la qualité, l'hygiène, la réglementation... Avis aux élèves issus des filières agricoles, aux passionnés de biologie, de chimie. Le milieu de travail est cependant industriel.
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L'hôtellerie-restauration : en cuisine ou en salle ?
Voilà une filière ouverte à tous les profils et qui recrute en permanence, à plus forte raison depuis la baisse du taux de TVA accordée au secteur. Si vous avez le goût de l'accueil, du service, de la gastronomie ou des vins, les formations en apprentissage sont légion du niveau CAP au BTS.
- Dès la fin de troisième, on peut préparer un CAP "restaurant" (pour faire le service) ou un CAP "cuisine" ou "patissier" (pour préparer les desserts). Egalement le BEP hôtellerie-restauration (un des seuls BEP conservés en 2009-2010 malgré la réforma du bac pro). Ces formations courtes vous donnent déjà des compétences appréciés des restaurateurs (savoir découper un poisson, flamber un dessert, conseiller les vins) : grâce à ces compétences, vous pouvez devenir maître d'hôtel ou chef de rang. Rien ne vous empêche ensuite de poursuivre la formation avec une "mention complémentaire" (MC) "barman" ou "sommelier". A moins que vous ne choisissiez d'aller jusqu'au bac pro.
- Le bac pro hôtellerie-restauration est le diplôme le plus courant à préparer en trois ans après la troisième ou un BEP ou un CAP, en apprentissage dans la plupart des régions. Vous vous spécialisez progressivement soit en cuisine soit en service. Vous pouvez aussi poursuivre en BTS .
- Le BTS hôtellerie-restauration complète votre formation notamment sur le plan comptabilité et gestion. Cela peut vous permettre d'ouvrir un jour un restaurant, de rentrer chez une "grande table" ou de devenir cadre dans un groupe. Il est réservé aux titulaires du bac pro hôtellerie, mais on peut faire une année de "mise à niveau" si l'on a un autre bac, et en apprentissage comme au CFA UTEC de Seine-et-Marne (77)
- La liste des métiers et des formations : Union patronale de l'industrie hôtellière
- Un gros employeur : le Groupe Flo
- le témoignage de Bryan, 17 ans, en bac pro hôtellerie
- Dès la fin de troisième, on peut préparer un CAP "restaurant" (pour faire le service) ou un CAP "cuisine" ou "patissier" (pour préparer les desserts). Egalement le BEP hôtellerie-restauration (un des seuls BEP conservés en 2009-2010 malgré la réforma du bac pro). Ces formations courtes vous donnent déjà des compétences appréciés des restaurateurs (savoir découper un poisson, flamber un dessert, conseiller les vins) : grâce à ces compétences, vous pouvez devenir maître d'hôtel ou chef de rang. Rien ne vous empêche ensuite de poursuivre la formation avec une "mention complémentaire" (MC) "barman" ou "sommelier". A moins que vous ne choisissiez d'aller jusqu'au bac pro.
- Le bac pro hôtellerie-restauration est le diplôme le plus courant à préparer en trois ans après la troisième ou un BEP ou un CAP, en apprentissage dans la plupart des régions. Vous vous spécialisez progressivement soit en cuisine soit en service. Vous pouvez aussi poursuivre en BTS .
- Le BTS hôtellerie-restauration complète votre formation notamment sur le plan comptabilité et gestion. Cela peut vous permettre d'ouvrir un jour un restaurant, de rentrer chez une "grande table" ou de devenir cadre dans un groupe. Il est réservé aux titulaires du bac pro hôtellerie, mais on peut faire une année de "mise à niveau" si l'on a un autre bac, et en apprentissage comme au CFA UTEC de Seine-et-Marne (77)
- La liste des métiers et des formations : Union patronale de l'industrie hôtellière
- Un gros employeur : le Groupe Flo
- le témoignage de Bryan, 17 ans, en bac pro hôtellerie
Le secteur des assurances : remplacer les départs en retraite
Comme le secteur bancaire, celui des assurances doit remplacer des centaines de salariés qui partent en retraite. L'Ecole nationale des assurances (ENASS) propose donc des parcours de formation en alternance du niveau bac + 3 à bac +5. Gros avantage : elles sont ouvertes à tous les profils (littéraires, scientifiques, techniques, universitaire ou non), du moment que vous avez le niveau de diplôme demandé.
Les deux formations principales :
- la licence professionnelle d'assurances : accessible à partir d'un bac+2 (par exemple BTS ou L2), on la prépare en douze mois en alternance pour entrer tout de suite sur le marché du travail comme agent général, gestionnaire de contrats, manager de proximité, etc.
- la formation au diplôme de l'ENASS de niveau bac +5 (master 2) : on peut la démarrer après un diplôme de niveau bac +3 (par exemple une licence universitaire d'économie, mais aussi d'histoire, de lettres, de chimie...). On entre alors en M1 puis en M2. Les deux années peuvent se faire en apprentissage (une semaine de cours / 3 semaines en entreprise). Après deux ans de classes préparatoires, on peut faire ce cursus en trois ans en commençant par une L3 préparatoire (pas en alternance).
Débouchés : chargé d'études en stratégie, courtier,consultant... 100% des diplômés trouvent un emploi en moins de trois mois. Salaire annuel moyen : 35000 euros/an.
www.enass.fr www.enass.fr
Les deux formations principales :
- la licence professionnelle d'assurances : accessible à partir d'un bac+2 (par exemple BTS ou L2), on la prépare en douze mois en alternance pour entrer tout de suite sur le marché du travail comme agent général, gestionnaire de contrats, manager de proximité, etc.
- la formation au diplôme de l'ENASS de niveau bac +5 (master 2) : on peut la démarrer après un diplôme de niveau bac +3 (par exemple une licence universitaire d'économie, mais aussi d'histoire, de lettres, de chimie...). On entre alors en M1 puis en M2. Les deux années peuvent se faire en apprentissage (une semaine de cours / 3 semaines en entreprise). Après deux ans de classes préparatoires, on peut faire ce cursus en trois ans en commençant par une L3 préparatoire (pas en alternance).
Débouchés : chargé d'études en stratégie, courtier,consultant... 100% des diplômés trouvent un emploi en moins de trois mois. Salaire annuel moyen : 35000 euros/an.
www.enass.fr www.enass.fr
Les commerces de l'alimentation : de belles perspectives d'évolution
Pour qui a la fibre du commerce, une bonne présentation, ne veut pas faire d'études longues, mais veut pouvoir accéder à des postes de responsabilités en magasin, les commerces de l'alimentation offrent des formations en apprentissage qui peuvent déboucher à coup sûr sur l'emploi.
-Le CAP Employé de vente spécialisé vous forme à la connaissance d'un type de produit pour devenir par exemple caviste, crémier-fromager, vendeur en fruits et légumes... L'attrait pour le produit est important dans les motivations.
-Le CAP Employé de commerce multispécialités, peut vous ouvrir les portes d'un supermarché pour devenir à terme responsable de rayon.
-Le bac pro commerce, en trois ans après la troisième, est une formation plus large, qui peut permettre de poursuivre en BTS ou de travailler, en petit commerce, en libre-service ou en hypermarché.
Avantage : ces métiers offrent de belles perspectives d'évolution. "J'ai commencé comme vendeur en boucherie, j'ai fini chef de secteur en grande surface, un poste de cadre pour lequel les hypermarchés embauchent des bac+5.", indique le responsable du CFA CIFCA.
A savoir : les rayons fromagerie et les fruits et légumes peinent à trouver des candidats.
Centre interprofessionnel de formation des commerces de l'alimentation : www.cifca.fr
-Le CAP Employé de vente spécialisé vous forme à la connaissance d'un type de produit pour devenir par exemple caviste, crémier-fromager, vendeur en fruits et légumes... L'attrait pour le produit est important dans les motivations.
-Le CAP Employé de commerce multispécialités, peut vous ouvrir les portes d'un supermarché pour devenir à terme responsable de rayon.
-Le bac pro commerce, en trois ans après la troisième, est une formation plus large, qui peut permettre de poursuivre en BTS ou de travailler, en petit commerce, en libre-service ou en hypermarché.
Avantage : ces métiers offrent de belles perspectives d'évolution. "J'ai commencé comme vendeur en boucherie, j'ai fini chef de secteur en grande surface, un poste de cadre pour lequel les hypermarchés embauchent des bac+5.", indique le responsable du CFA CIFCA.
A savoir : les rayons fromagerie et les fruits et légumes peinent à trouver des candidats.
Centre interprofessionnel de formation des commerces de l'alimentation : www.cifca.fr
Ingénieur commercial TIC
Une école privée, Euridis, propose à des diplômés de niveau bac+2 de devenir les commerciaux dont le secteur des télécoms et de l'informatique a besoin.
La formation en apprentissage de deux ans débouche sur un titre professionnel de niveau bac +4 qui n'est pas un diplôme d'Etat mais vous ouvre les portes de l'emploi pour deux raisons :
- les télécoms se portent toujours bien en France
- les deux années d'apprentissage vous donne déjà une bonne expérience.
La formation est dédiée au commerce, au marketing et à la connaissance du secteur des nouvelles technologies. Elle débouche sur des postes "d'ingénieur commercial" qui consistent à vendre des offres à des entreprises, à suivre des budgets, à conquérir de nouveaux clients, soit chez les grands leaders des télécoms (SFR, Bouyges), soit dans des sociétés de services informatiques. Salaire annuel : 30 à 35 K euros.
Quatités à avoir : le goût des nouvelles technologies, et un bon sens commercial.
Euridis est présent à Paris, Lille, Lyon, Rennes et Libourne. www.euridis-ecole.com.
Le site du CFA : www.cfa-ite.fr
La formation en apprentissage de deux ans débouche sur un titre professionnel de niveau bac +4 qui n'est pas un diplôme d'Etat mais vous ouvre les portes de l'emploi pour deux raisons :
- les télécoms se portent toujours bien en France
- les deux années d'apprentissage vous donne déjà une bonne expérience.
La formation est dédiée au commerce, au marketing et à la connaissance du secteur des nouvelles technologies. Elle débouche sur des postes "d'ingénieur commercial" qui consistent à vendre des offres à des entreprises, à suivre des budgets, à conquérir de nouveaux clients, soit chez les grands leaders des télécoms (SFR, Bouyges), soit dans des sociétés de services informatiques. Salaire annuel : 30 à 35 K euros.
Quatités à avoir : le goût des nouvelles technologies, et un bon sens commercial.
Euridis est présent à Paris, Lille, Lyon, Rennes et Libourne. www.euridis-ecole.com.
Le site du CFA : www.cfa-ite.fr
Des valeurs sûres : BTP, informatique, formations commerciales
- le secteur du bâtiment et travaux publics (BTP) continue à offrir de multiples formations en alternance du CAP au diplôme d'ingénieur en passant les BTS bâtiment ou travaux publics. Les métiers du gros oeuvre (maçon, coffreurs, grutiers) sont particulièrement recherchés, et ceux de la maintenance d'engins de travaux. On peut préparer par exemple le bac pro maintenance de matériel de travaux publics et manutention et le BTS associé : "Il faut aimer la mécanique, aimer bouger de chantier en chantier", indique un formateur.
Sur toutes les formations en apprentissage du bâtiment : www.ccca-btp.fr
- Tous les BTS de commerce et gestion-comptabilité peuvent être préparés en apprentissage : le BTS management des unités commerciales (MUC), négociation relations clients (NRC), assistant de gestion PME /PMI. Après un BTS, on peut préparer en un an une formation d'assistant(e) ressources humaines. Nombreuses formations dans toute région. A Paris : www.imc-vedior.com
En comptabilité où les débouchés sont nombreux, on peut préparer des diplômes en apprentissage depuis le BTS, jusqu'au DSCG (bac +5) en passant par le DCG (bac +3). www.cfa-igefi.fr
- Le groupe privé IGS propose des formations pour devenir technicien informatique. Formations en apprentissage du niveau bac pro à bac +5 à l'Institut de Poly-Informatique (IPI).
Après un bac STG compta et gestion, et deux années de droit ("ça ne me plaisait pas du tout !"), Salima prépare un bac+2 de technicien en maintenance informatique et fait son apprentissage dans une hot-line informatique. Elle espère poursuivre jusqu'au bac+4 pour pouvoir développer des logiciels et administrer des réseaux. Gros avantage : les entrées en formation à l'IPI se font à tout moment de l'année. www.inspi.fr
Sur toutes les formations en apprentissage du bâtiment : www.ccca-btp.fr
- Tous les BTS de commerce et gestion-comptabilité peuvent être préparés en apprentissage : le BTS management des unités commerciales (MUC), négociation relations clients (NRC), assistant de gestion PME /PMI. Après un BTS, on peut préparer en un an une formation d'assistant(e) ressources humaines. Nombreuses formations dans toute région. A Paris : www.imc-vedior.com
En comptabilité où les débouchés sont nombreux, on peut préparer des diplômes en apprentissage depuis le BTS, jusqu'au DSCG (bac +5) en passant par le DCG (bac +3). www.cfa-igefi.fr
- Le groupe privé IGS propose des formations pour devenir technicien informatique. Formations en apprentissage du niveau bac pro à bac +5 à l'Institut de Poly-Informatique (IPI).
Après un bac STG compta et gestion, et deux années de droit ("ça ne me plaisait pas du tout !"), Salima prépare un bac+2 de technicien en maintenance informatique et fait son apprentissage dans une hot-line informatique. Elle espère poursuivre jusqu'au bac+4 pour pouvoir développer des logiciels et administrer des réseaux. Gros avantage : les entrées en formation à l'IPI se font à tout moment de l'année. www.inspi.fr
50 grandes entreprises qui font de l'alternance
Pour trouver la formation qui vous convient vous pouvez aussi consulter les sites de recrutement des grandes entreprises qui ont signé avec le gouvernement une convention pour s'engager à recruter 24000 apprentis de plus en 2009-2010. Il y en a 50 et non des moindres ! Certains de ses groupes, comme Veolia Environnement, ont leur propre CFA : le mieux est donc de visiter leur site à la rubrique formation-recrutement.
La liste des entreprises :
Accor, Air Liquide, Alcatel-Lucent, Allianz, Alstom, Ania (Association des industries alimentaires), Areva, Axa, BNP Paribas, Bouygues, Crédit Agricole, Capgemini, Carglass, Carrefour, Casino, Coca Cola, Danone, Dassault, EADS, Eiffage, EDF, Elior, Essilor, France Telecom, GDF-Suez, GSK Glaxo-SmithKline, Lafarge, Loréal, La Poste, Louvre Hotel, Michelin, Microsoft, Pernod Ricard, Peugeot, Pierre Fabre, Publicis, RATP, Renault, St Gobain, Sanofi Aventis, Scheider Electric, SFR, Siemens, SNCF, Société Générale, Spie, Suez, Total, Veolia Environnement, Vinci, Vivendi.
La liste des entreprises :
Accor, Air Liquide, Alcatel-Lucent, Allianz, Alstom, Ania (Association des industries alimentaires), Areva, Axa, BNP Paribas, Bouygues, Crédit Agricole, Capgemini, Carglass, Carrefour, Casino, Coca Cola, Danone, Dassault, EADS, Eiffage, EDF, Elior, Essilor, France Telecom, GDF-Suez, GSK Glaxo-SmithKline, Lafarge, Loréal, La Poste, Louvre Hotel, Michelin, Microsoft, Pernod Ricard, Peugeot, Pierre Fabre, Publicis, RATP, Renault, St Gobain, Sanofi Aventis, Scheider Electric, SFR, Siemens, SNCF, Société Générale, Spie, Suez, Total, Veolia Environnement, Vinci, Vivendi.