Bonjour karinette et les autres,
Cela faisait longtemps que je n'étais plus sur le forum. Je me rends compte que le manque de confiance est vraiment un problème pour tout le monde. Karinette, j'apprécie tes encouragements mais tu vois même avec un concours en poche, on n'a pas une garantie de réussir. Je fais actuellement un stage dans l'éduc nationale et je me rends compte que tout mon travail, mon investissement partent en fumée. On va probablement me faire redoubler alors que j'assurais un service à temps complet dans mon établissement et ce sans formation!! J'avais au départ de la prestance dans mes classes et petit à petit, j'ai perdu confiance; ceux qui me notaient et transmettaient leurs rapport au rectorat me rabaissaient en me disant avant les inspections que j'allais perdre. En fait je me suis laissée rabaissée et je n'ai pas très bien réussi mes inspections (même si les élèves se sont bien tenus). On me disait que les élèves se plaignaient, que tout le monde se plaignaient de moi, que j'étais dans ma bulle, que je disait que tous les élèves étaient gentils alors que je l'ai jamais dit, que mon directeur avait tout fait remonter alors qu'en réalité son jugement sur moi était excellent,. Tout ça était des balivernes car les rapports écrits se sont avérés positifs . On est même allé dire à mes élèves des informations personnelles me concernant, aujourd'hui ils se sont mis contre moi alors qu'au départ on soulignait un bon rapport avec les jeunes, de l'autorité. Là au moment où je vous écris, je verse les larmes de mon corps, je me demande si je vais pas me flinguer car j'ai désiré toute ma vie faire ce métier, j'ai échoué plusieurs fois au concours. J'essaie d'évaluer objectivement ma situation: est-ce le fruit de la jalousie des gens ou est-ce qu'on a cherché à m'aider? Le fait est que je n'ai plus d'emprise sur mes élèves. J'ai TOUT PERDU! Mon chef est le seul qui soit resté de mon côté mais il voit bien que je n'ai plus de force avec certaines classes. Il m'aperçoit dans les couloirs et je vois son regard qui montre bien sa tristesse en voyant ma situation. J'aurais voulu que tout le monde soit humain comme lui mais ça se compte sur les doigts d'une main. J'ai donc pris la décision de démissionner. Je me console en me disant que je ne suis pas la seule à qui ça arrive; beaucoup sont dans ma situation. Mais je prendrai quand même la décision de démissionner
Aurélie

Bonjour karinette et les autres,
Cela faisait longtemps que je n'étais plus sur le forum. Je me rends compte que le manque de confiance est vraiment un problème pour tout le monde. Karinette, j'apprécie tes encouragements mais tu vois même avec un concours en poche, on n'a pas une garantie de réussir. Je fais actuellement un stage dans l'éduc nationale et je me rends compte que tout mon travail, mon investissement partent en fumée. On va probablement me faire redoubler alors que j'assurais un service à temps complet dans mon établissement et ce sans formation!! J'avais au départ de la prestance dans mes classes et petit à petit, j'ai perdu confiance; ceux qui me notaient et transmettaient leurs rapport au rectorat me rabaissaient en me disant avant les inspections que j'allais perdre. En fait je me suis laissée rabaissée et je n'ai pas très bien réussi mes inspections (même si les élèves se sont bien tenus). On me disait que les élèves se plaignaient, que tout le monde se plaignaient de moi, que j'étais dans ma bulle, que je disait que tous les élèves étaient gentils alors que je l'ai jamais dit, que mon directeur avait tout fait remonter alors qu'en réalité son jugement sur moi était excellent,. Tout ça était des balivernes car les rapports écrits se sont avérés positifs . On est même allé dire à mes élèves des informations personnelles me concernant, aujourd'hui ils se sont mis contre moi alors qu'au départ on soulignait un bon rapport avec les jeunes, de l'autorité. Là au moment où je vous écris, je verse les larmes de mon corps, je me demande si je vais pas me flinguer car j'ai désiré toute ma vie faire ce métier, j'ai échoué plusieurs fois au concours. J'essaie d'évaluer objectivement ma situation: est-ce le fruit de la jalousie des gens ou est-ce qu'on a cherché à m'aider? Le fait est que je n'ai plus d'emprise sur mes élèves. J'ai TOUT PERDU! Mon chef est le seul qui soit resté de mon côté mais il voit bien que je n'ai plus de force avec certaines classes. Il m'aperçoit dans les couloirs et je vois son regard qui montre bien sa tristesse en voyant ma situation. J'aurais voulu que tout le monde soit humain comme lui mais ça se compte sur les doigts d'une main. J'ai donc pris la décision de démissionner. Je me console en me disant que je ne suis pas la seule à qui ça arrive; beaucoup sont dans ma situation. Mais je prendrai quand même la décision de démissionner
Aurélie

J'ai peur de réussir ce que j'entreprend. Si je dois effectuer un stage , j'ai toujours cette angoisse panique de me dire que je n'y arriverait pas, de me sentir inutile, d'être nulle, que je ralentirait les autres et que l'on ne me garderas pas... Bref je pense à des scénarios catastrophes bien avant d'avoir commencer!! Je n'ai pas confiance en moi et cela me fait beaucoup pleurer, si bien que je suis sous anti-dépresseurs... Pourtant je veux m'en sortir et que l'on me donne ma chance!! Je sais que j'ai des qualités, mais ce manque de confiance et d'assurance m’empêche d'avancer!! Je voudrait VRAIMENT m'en sortir et ne plus avoir peur d'affronter la vie ni les autres!!

cc moi c mariemad je réside au caleroun(yaoundé) et j'aimerais rencontrer des personnes ki vive la mm situation de mal ètre coe moi pour en discuter. merci voici mon skype. (jeny.boss). rejoignez moi

Bonjour =)
Je sors enfin ( doucement mais surement ) de 18 ans de timidité et de dénigrement de moi même... En primaire je pleurais avant d'aller à l'école, les spectacles de noël et de fin d'année étaient pour moi l'occasion de semaines d'angoisses et on ne m'a jamais vue autrement qu'en larme devant les parents des autres élèves... Bref un calvaire. Mes parents m'ont mise face à un psy alors que j'avais seulement 10 ans. Bien loin de m'aider je me suis encore plus renfermée sur moi même et les années de collèges et de lycée ont été encore pire que la primaire. Je longeais les murs au sens propre du terme pour éviter la compagnie des autres, leur regards, leur moqueries (car forcément j'étais LA cible idéale de tous). Je me suis rapidement réfugiée derrière internet, ne parlant qu'a des inconnus, c'était mon seul refuge.
Prendre la parole en public m'était impossible, parler avec de simples personnes même que je connaissait me faisait devenir écarlate...
Mon rêve étant de devenir journaliste je me suis retrouvée l'an dernier devant le fait accompli... Le bac en poche et inscrite dans une école de journalisme bien loin de chez moi, seule, en ville alors que j'ai grandis en campagne...
L'angoisse est revenue, cent fois plus forte, limite dépression... Nouveau refuge sur le net
C'est là que je suis tombée sur un livre qui a changé ma vie ( pas encore totalement mais qui me la change grandement en tout cas). Un livre qui m'a permis de mieux comprendre les autres ( qui étaient alors un grand mystère pour moi) et surtout de mieux me comprendre moi et qui m'a donné les moyens de faire face à ma timidité au fait que je me dévalorisait tout le temps... J'ai encore quelques difficultés : je me surprend encore de temps en temps a rougir alors que je parle a des gens que je connais, j'ai encore de temps a autre des poussées de stress et je me laisse encore être trop bonne trop conne ( pardonnez moi l'expression ) de temps en temps.... Mais je viens de finir ma première année en école de journalisme en étant une des meilleures en prise de parole en public, je stresse de moins en moins et je prend le temps de me mettre en valeur physiquement mais aussi psychologiquement.
Je vous souhaite à toutes et tous de trouver votre petit déclencheur, ce petit pas pour l'humanité mais si grand pas pour vous.
Je ne sais que trop que j'ai perdu trop de temps dans cet état, et je le regretterai toujours... J'espère que vous arriverez à surmonter ce réel handicap afin de profiter de la vie à 250% ( les 150 de plus c'est pour rattraper le temps perdu ;) )
Bisoux à tous

cerise, va fair la fete avec tes amies sa fait du bien, et tourne la page tres tres vite car plus tu te morfon et plus sa va etre dur de te remètre, tu n est pas un dechet tu va avoir du mal a refair confiance en un homme, mes tu fera des chose que tu ne faisait pas avant courage

Bonsoir à tous!!

J'ai un sérieux probleme par rapport à mon manq de confiance en moi.

1)J ai le permis depuis 6ans et peux compter le nombre d fois que j ai conduis une voiture
2)On me trouve belle,charmante,gentille (en gros on me complimente souvent)malheureusement j n y crois pas .
3)Lorsque j prends la parole en public j n arrive pas à m'exprimer convenablement et je le dis .Je n'arrive à m'exprimer lorsque je discute avec mon petit ami,je bloque et lui explique Et pourtant face à mes amis(es) ,mes proches j'y arrive sans probleme.C'est un handicap pour moi!!
Je ne sais pas comment faire j'ai un blocage!!

bjr , c'est Mina 22 ans , j'ai plus de confiance en moi ! le blème que j'étais pas comme sa avant ! au contraire avant j'avais pas peur de faire des engagements quoi que se soi le domaine ! mainant , je suis pas du tout naturel ! pourtant je sais que je suis une bonne personne et j'ai bcp d choses a montrer au autres ! sa m dérange ! je n'arrive pas a avancer ! je n'arrive mem pas a m'exprimer d'une manière correcte ! si quelqu'un me pose une question je lui réponds d'une façon défensive ! meme avec les mecs ! je suis très artificiel et c'est pour sa je n'arrive pas a réussir dans une relation ! sa m dégoute !

Bonjour à tous,
Je m'appelle Jérome et j'ai 18ans. Je vous écris sur ce forum aujourd'hui car je n'ai pas confiance en moi, je me sens bloqué, paralisé.
Ce bloquage dure maintenant depuis la reprise des cours en septembre, bien que je pense que mon manque de confiance en moi ne soit pas un phénomène nouveau. J'ai toujours eu des difficultés à aller vers les autres, à oser de nouvelles choses ou encore à me sentir à l'aise dans le milieu qui m'entourrent. Dans les nombreux témoignages que j'ai pu lire, je me suis bien souvent retrouvé par certains aspects de ma personnalité. J'ai tendance à me voir moins bien et moins intéressant que les autres et comme Mélanie l'expliquait plus haut, moi aussi mes primaires et par la suite le collège et le lycée ont été un vrai calvère pour moi le stresse a été et est toujours sans cesse présent en moi (chaque expression orale ou encore spectacle, ou quoi que ce soit qui me mettait en avant était une réelle épreuve pour moi, par ex j'ai toujours rêvé de faire du théatre mais cela m'est trop dure à gérer). Bien que la vie m'ait obligé à souvent devoir m'adapter et à faire face (divorce de mes parents, de nombreux déménagements, voyages linguistiques qui a mal tourné, etc...) à chaque fois je le fit sous la contraite sans jamais réellement trouver ma place. Cependant j'ai réussi ma terminale comme je le pouvais. Je dois aussi dire que depuis février dernier j'ai avoué mon homosexualité à mes parents ainsi qu'à ma famille car j'ai rencontré quelqu'un qui est toujours la pour moi actuellement bien qu'il habite loin de chez moi. Jusque la j'avais l'impression d'encore gérer plus ou moins ce que j'étais même si toutes choses étaient une nouvelles difficultées à passer.
Tout c'est compliqué à la rentrée de septembre, première année universitaire pour moi (j'avais choisi le droit). Bien que cela me donnait envie je possédais et je possède toujours une appréhension de ne pas y arrivé, tout me semblait insurmontable. De plus étant quelqu'un qui ne cesse d'avoir peur de ce que peuvent penser les autres je n'ai jamais réussi de créer de réelles relations stables et s'insères, je me suis retrouvé seul à l'université éffrayé par de nombreuses choses et avec la peur d'aller vers les autres. C'est à partir de là qu'a commencé une dégringolade que je ne peux maitriser. Je ne pouvais m'empêcher de douter de moi, de mes aptitudes, de ma personne. Je suis tombé dans une sorte de dépression, de mutisme avec une constante vision péssimiste de la vie. Ne sachant pas comment réagir j'ai décidé de changer de filière, de droit je suis passé en communication et information, toujours éffrayé je suis retourné en droit bien que cela ne me plaisait pas. J'ai éssayé de me rendre aux services d'orientation sans qu'il soit possible de dire ce que je désirais (car je ne sais même plus ce que je désire). Selon les conseilles de mes parents et de ces services, je suis retourné en communication (me sentant complètement perdu et ne sachant pas comment me dégager de tout cela). Malgrès les efforts que je manifestais et l'envie de me retrouver en paix avec moi-même (retrouver la situation précédente que j'arrivais à gérer) je ne me sentais pas à ma place, je sentais que je ne tenais plus et que je m'éffondrais (je me suis même dis qu'il aurait peut etre été préférable que je m'arrête un an pour tenté de me retrouver, d'allé travailler mais cela était inenvisageable pour mes parents qui me poussaient à faire un choix et de m'y tenir durant une année même si je devais au final rater). Maintenant je me sens complètement perdu, mal dans ma peau et je vois de plus en plus mes parents ainsi que mon copain être impuissant et également perdu face à ma détresse (de nombreuses disputes ont éclaté). Je cherche à m'en sortir sans réellement savoir comment et me sentant écrasé par le poids des études qui me semblent ingérable dans l'état d'esprit qui est le miens actuellement. J'ai demandé à parler avec un psychologue mais cela prend du temps (le rendez-vous est dans 2semaines). Je ne sais plus quoi faire, j'ai l'impression de me faire terriblement souffrir mais également les personnes qui me sont chères et qui m'aiment profondément. Que dois-je faire? Partir... continué à m'accrocher cette année même si la détresse ne cesse de me saisir dés que je me retrouve face à tout cela (de plus mes changements m'ont fais prendre un retard considérable sur la matière qu'il faut que je rattrape).

J'avais besoin d'en parler à quelqu'un même si j'ai honte moi-même de tout cela.
Merci de m'avoir lu.

Jérome