j'ai peur de tout j'ai un copain que j'aime beaucoup et il le sais je lui est dit de se marie avec moi il refuse sous pretexe il doit finir son
etude cette anne et cherche dutravil alors que je lui est tout donne mon corp tout il ne donne rien comme argent et il a une exce copine qui lui appele et il lui appele aussi chaque foi

pour qu'elle reson que tu t'aime pas se n'estpas juste les yeux, et pour les fille si tu n'arive pas a t'aprocher d'elle et bien lesse les venir a toi, ses domage la vie est telement courte que tu ne va pas en profite tu as 21ans ta tes amis, ton entourage alors aide toi de sa tu peu profité que tu sois avec tes amis pour te sentir moi timid envers les fille et sutou avoir 1peu plus confiance car des con est a plusieur on se sens plus fort aller courage

Bonsoir,

J'ai 19 ans. J'ai décide de publier ce message pour peut-être trouver une réponse à mes questions.

Je suis quelqu'un qui se dévalorise en permanence et cela en vient même à embêter mes amies. Je me définirais comme timide car j'ai beaucoup d'appréhension à prendre la parole, j'ai du mal à improviser pour des travaux en cours par exemple, je n'aime pas embêter les gens, je ne cesse de réfléchir et de m'angoisser pour des choses en apparences banales (quelqu'un qui m'aurait telle chose, est-ce que je l'ai bien interprété?, ce genre de choses). Je suis très sensible et angoissée par ailleurs. Ce qui fait une combinaison fantastique.
Le pire, c'est que lorsque je me sens en confiance avec des personnes je parle très bien. Le problème est davantage axé sur les garçons. J'ai le sentiment que si je m'ouvre un peu, je vais être 'enbobinée', qu'on va vouloir profiter de ma gentillesse, et que si on s'intéresse à moi ce n'est pas pour mes beaux yeux car j'ai une image très négative de moi. Je fais un énorme blocage avec ça. Envisager une relation avec quelqu'un me tétanise. Mais je crois au Prince charmant, paradoxalement. Je pense que j'ai une image trop parfaite de l'amour, et malheureusement en décalage avec la réalité.

Je voudrais savoir comment dans mon cas vaincre mon manque de confiance en moi, m'aimer plus, et surtout accepter l'éventualité d'une relation avec un garçon. Quant aux origines, je ne sais pas vraiment. Il est vrai que j'ai eu des échecs qui m'ont renforcé dans le sentiment de 'nulité', et pour ce qui est des garçons, j'ai une image négative de la gente opposée car j'ai été plusieurs fois effrayée disons par eux, mais rien de grave (juste que se faire suivre plusieurs fois traumatise légèrement une petite fille).

J'aimerais m'ouvrir, m'intéresser, car c'est un cercle vicieux. C'est problèmatique dans ma vie quotidienne et pour mes études. J'ai déjà essayer de faire du théâtre, avec même quelques improvisations, mais rien y fait, j'ai l'impression que c'est encore pire, que je suis nulle, que je ne peux intéresser personne car de toute manière je n'ai pas de personnalité (voilà le genre de choses que je me dis).

J'espère sincèrement que quelqu'un pourra m'aider sur ce manque de confiance et cette timidité étouffante.

bonjour g appelle aicha ce dernier temps g ai mal ou dos et la ventre kelke jour apres g fais un raport un homme et g sais si g ss enceinte en plus g ai peur mes parents donc comment g peux connaitre ke g ss enceinte

slt,richard c'est ton amie sara ecoute...ne crois jamais que la confiance en soie est inée jamais...et puisque tu es sur terre et tu existe toujours tu peux cahnger bon voici mon adresse mail oranysara@hotmail.fr....pour quand puisse discuter j'espere bien que ja vais pouvoir t'aider

salut je suis une fille marocaine,ainsi que pas mal de gens qui vous ont confier leur etat d ame je suis malheureusement une personne qui manque gravement de confiance en elle j ai alhamdoliah pris mon bac l annee derniere et j etais admise dans une tres bonne ecole francaise , mes parents ont beau essaye de me convaicre pour y aller mais moi je voyais que moulay driss ( des classesprepa au maroc) etait le meilleur des choix que je pourrais faire donc j ai laisse tomber l ecole francaise , maintenant je ressens du regre de n avoir pas adherer a mes parents d avoir suivi les avis d autrui et d etre comparee a l autre , je suis convaincu qu il n existe pas et n exitera jamais une personne qui qui pourra se donner la peine de m aimer ainsi que mes parents , les gens sont tout le temps jalous et se veullent toujours du bien plus que les aures qu ils soient leurs amis ou memes leurs proches , maintenant je suis entrain d essuyer les deboirs que je n ai amais essuye avant j etais une tres bonne eleve depuis mon enfance toujours brillante mes professeurs m aimaient ma famille m honorait enfin je me sentais avoir vraiment un surplus etre une personne avantagee et meme unique , voila maintenant que je m ouvre sur une nouvelle societe un nouveau monde , les etudes superieurs , j ai passe un trimestre plein de douleurs de larmes et de defaites j avais tout le temps de mauvaisnotes je n arrivais pas a me concentrer , parfois a la maison meme dans ma chambre fermee et sur mon bureau je trouvais du mal a travailler a resoudre un probleme et meme il y a des jours ou je passait des apres midi presque vide je travaille mais en fait je ne travaille pas , quand au devoirs quoique je bosse et quels soient les efforts que je fournisse je panique , je fais des fautes d inattention des fautes betes et je perds presque tous il y avait des moment ou j etais heureuse car parfois alhamdolialh j ai reussi a avoir de bonnes notes cela me rassurait un peu , vraiment je suis dans un etat critique auquel je ne trouve ^pas d explication je veux savoir pourquoi j ai perdu d un seul coup confiance en moi pourquoi je suis si fragile si impuissante , pourquoi n ai je pas l audace et le courage d affronter toutes ces difficultes afin de pouvoir refleter ma vraie personnalite mon vrai niveau enfin paraitre la vraie salma que je connaissais depuis toujours,le choix de moulay driss n etait certe pas un mauvaix choix c est un tres bon lycee mais moi comme je voulais avec force etre une eleve de m prime etre sembleble a des dens qui m ont devance voila que ca m est devenu une obssesion , c mje craignais l autrui et tout ce qui va venir d autrui , aujourd hui je ne pense plus a ce qu on va dire a propos de moi car je pense que mes etudes sont une une cause suffisante pour me faire de la peine sans pour autant s ajouter les commentaires des gens, je suis vraiment fatiguee de l etat ou je suis et je veux absolument le changer vers le mieux j aimerai bien s organiser a nouveau etre autonome et capable, une personne qui a du gout pour l avenir pour le travail , une personne active et productive, je veux me sentir avoir la valeur que j avait avant je veux redonner a ma vie le gout et la saveur de vivre de continuer , je veux tre heureuse , je veux me creer des amis une bonne famille debonnes compagnies un bon entourage , je veu x etre parmis les premiers etre aimee par mes profs e^t priviligiee parmis les eleves de moulay driss j aimerai enfin avoir une confience en moi etre solide et caoable d affronter toutes sorte de difficultes quelles soit l heure l endoit ou les circonstances ,bref malgre tout ce qui s est arive je garde un tres grand espoir pour l avenir je sais que je suis entrain de vivre une situation diffcicile mais j ai la conviction que ca va changer vers le positif je sais que ca viendra avec le temps a avec le travail car a force de forger on devient forgeron , je suis toujours optimiste et j ai une tres forte volonte de coniuer et de reussir dans mes prochains ds malgre tous les obstacles qui me font face et qui cherchent a me faire perdre l equilible , en somme je sais qu apres la pluie viendra le beau temps et que la vie fleurira un jour , il suffit donc de se donner l occasion de deguster sa saveur et de profiter de ses beaux moments

salut tt le monde ,
je suis une jeune ado , j 'ai ce problème de manque de confiance en soi , pck , k on j'étais ptite , j'étais po la petite bélle fille de ses parents , pck 1/ i y avait déjà avant moi 3 soeurs et un frère , puis 2/ mes parents voulaient avoir un gars po une fille , méme si j'étais ptite j'ai bien senti ke j'étais indésirable , piis mon père disait toujour ke j'étais moche , mais d'après les compliments des gens c'est tootalement le contraire , enfin j'ai aquis ce mauvais sentiment dès mon enfance , j'ai toujours vécu de la soufrance à cause de ça
puis y en a bcp de raisons pour ça , entre eux, mon père nous frappé tjr juste pour étre tjjr le leader de qui on a tjr peur , pis ma mère ne faisait rien ,...
et mnt s'est trooop ce sentiment a vrmnt augmenté, PCK j'ai changé de pays , j'ai pluus d'ami , i fauut faire d'autre , et je les vrmnt foirré vec tous ceux ki m'ont dis des compliments , et ceux ki voullaient étre mes amis , (car j'avais peur d'eux )je saiis vrmnt po kwa faire , je pleuure tt le temps .
Et j ai tjjjr peuur de n'importe kwa , et n'importe ki , pis je me sens tjjr mal , et toute seule , ....
Bàààh , tt ca , ce sont des raisons , mnt j'en ai rien à foutre avec le passé , je vx juste se changer , et premièrement avoir une confiance en soi , et ne pluuuus avoir peuur de quoique se soit ou quiconque , et etre heureuse dans ma vie
SVVVVp , aidezz mwa j'en ai vrmt besoin d'aide j'en pxx pluuuus sinnon je vais essayer de voir l'autre monde (snif , snif) , svvvvvvvp , et à bientot

Bonjour, je pense avoir perdu confiance en moi. Et ce depuis que j'ai redoublé pour la première fois ma première année à la fac. J'étais assez bonne en langues depuis j'ai l'impression d'avoir perdu toutes mes capacités et j'ai tout le temps peur de rater encore mon année car j'aime bien faire les choses correctement. Je ne suis pas spécialement perfectionniste mais j'aime quand je travaille obtenir les résultat que j'attends pourtant à la fac c'est tellement aléatoire que je suis toujours stressée. A chaque fois que j'essaie de faire quelques chose et que ça ne marche pas ça me laisse un goût amer au point de ne plus jamais recommencer. En plus, je n'aime pas que l'on s'éloigne de moi. Et j'ai toujours l'impression que les gens avec lesquels je suis sont trop bien pour être avec moi et bien meilleur que moi j'ai l'impression d'être une vrai attardée à côté d'eux, à part certaine qualités je ne vois ce que j'ai de plus que les autres. Et le pire c'est que je le pense vraiment.

Bonjour, c'est cool qu'on puisse s'exprimer ici. Avant d'exprimer ce qu'on ressent on voit que pleins de gens très différents ressentent un sentiment d'écroulement finalement assez proche, et les réponses qu'on leur fait pourrait presque s'adresser à soi-même. Et puis des fois, il y a des situations qui se ressemblent beaucoup,ou pas...

Je me sens pas bien du tout, je suis très angoissée, je doute de moi, de mes choix, de mes capacités, de mon quotidien et de mon laisser-aller. J'ai bientôt 22 ans, depuis que je suis sortie du lycée, à 18, j'enchaine les formations et les travails (et les fotes d'orthographe). A chaque fois je plaque tout, soit parsqu'un aspect de ce qu'on me demande me déplait hautement, soit parsque je me sens trop médiocre pour accomplir ce que j'admire de près. J'ai l'impression de ne jamais rien finir, j'ai le sentiment que, plus qu'innacomplie, je suis un gros gâchis. Quand je viens de plaquer quelque chose, je suis euphorique, contente, je me sens libre et avec des tas d'opportunités qui s'ouvrent à moi. Puis j'en choisis une, je m'engage à nouveau, à fond; puis je déchante, je déprime quelques mois et je pete les plombs.

En ce moment je suis dans une phase stagnante, littéralement je végète (d'où mon pseudo). ça m'est déjà arrivé, pendant d'assez grosses périodes. je n'arrête pas d'essayer de justifier mes choix à mes yeux, aux regards de mes proches et des gens que je cotoie plus superficiellement, mais au fond, je me sens insatisfaite, et surtout, j'ai la vague impression de chercher ma perte, de me réfugier dans une apparence de touche à tout, eclectique. Une apparence finallement superficielle et égocentrée, alors que les valeurs que j'ai le plus à coeur sont la ténacité, le courage, la création, l'ouverture aux autres , la solidarité.

En m'écoutant déblatérer mes conneries je me sens alternativement nulle, révoltée, trahie, lâche. Je pense être à peu près aussi exigeante avec les autres qu'avec moi-même. Résultat les autres comme moi-même je trouve ça déprimant. (arggh). là X j'ai effacé toute une digression sur ma vision de la société parsque c'était des lieux communs pessimistes voire insultants. la conclusion de ça c'est que j'ai l'impression d'avoir une mauvaise (sur)estime de moi.

Résultat je sais pas comment me positionner. Je formule pleins de projets pour faire du lien social, pour créer, observer, rechercher, lutter... et je reste dans le fond de mon lit en oubliant de gérer les choses les plus élémentaires. Mon compagnon amoureux a du mal à ne pas être contaminé par ma déprime-dépression, mes matinées voire mes journées entières passées à pleurer dans le fond de mon pieu, mon incapacité à m'acquitter des tâches ménagères communes les plus élémentaires. Il refuse de les prendre en charge à ma place - et je trouve qu'il a raison ! - mais du coup nous vivons tout deux dans un dépottoir.

Chaque soir je me dis que c'est bon, demain je re-prend en main tout ça, et le matin en voyant tout ça ça me fout l'moral en l'air, je n'arrive pas à m'y mettre. Je déprime sur ce refrain la pendant au moins 3h, puis je m'en veux de ne pas avoir fait ce que j'avais à faire, puis je m'en veux du retard que ça m'a fait prendre dans tout le reste, puis de l'effet de ma déprime sur mon amoureux et son propre quotidien, bref, je vous passe la boucle infernale qui n'arrête pas de tourner dans ma tête, toute la journée jusqu'à tard le soir.

Le déroulement de cette bande est tellement habituel et immuable qu'au final je me demande si ce n'est pas en partie hormonal ou physiologique. Des fois quand je fais quelque chose que j'avais absolument à faire je me mets à paniquer, angoisser, fondre en larmes, pour finallement fuire. J'ai fait des tests (ma mère a un sérieux problème dans ce genre, au niveau endocrinien), mais on a rien trouvé. le problème est dans ma tête, ma tonicité ou j'sais pas quoi.

Je suis allée voire une médecin, qui m'a écouté et ça m'a fait du bien sur le moment. Face à ce qui ressemble beaucoup à une dépression elle m'a d'abord recommandé vers des medecins-psy pour que je suive éventuellement un traitement, ce que j'ai refusé car certains de mes proches ont eu de très mauvaises expériences avec des médicaments et que ça m'effraie.

J'ai ensuite cherché à contacter un psy (chanalyste ou chologue, je sais plus), et je suis mal tombée, enfin à mon sens. J'en suis sortie plus déprimée qu'en rentrant. Ce monsieur était un véritable stéréotype ambulant, quand j'ai commencé à lui parler j'ai failli oublier mes problèmes tellement c'était frappant. Il ressemblait à Freud, avec la barbe de Freud, le fauteuil à Freud, le divan itou, les tentures persannes qui vont avec. Je me suis ressaisie et je lui ai décrit globalement mon problème: mon manque de confiance en moi me fait tellement déprimer que je ne fais plus rien. Il me demande depuis quand, et je sais pas pourquoi je lui ai dit 'depuis que je suis libre, indépendante et que j'ai mon chez moi et mes parents à 700 bornes'. trépignations exultantes du barbu: 'ah oui parlez moi de votre famille'.

un mot là-dessus. la famille. j'ai retourné le problème dans pleins les sens, et je pense que comme bon nombre d'autres douteux d'soi, la famille n'y est pas pour rien. dans mon cas je suis assez perfectionniste, et du coup dure, et je sais d'ou je tiens ça. mais je n'ai vraiment pas l'impression que c'est de là que vient le problème. surtout que j'en ai déjà parlé calmement aux intéressés, ils ont quand même eu l'impression que je leur faisait un procès.

mon problème c'est que maintenant je me laisse aller alors que je ne cesse de me juger ou d'imaginer des choses idéales. au delà de mon impression morale immédiate, ça a de sérieuses répercussions sur le déroulement des mes journées, mon rythme biologique, ma capacité à travailler, mon budget, mes études, mon conjoint, mon logement, et mêmes mes relations familiales. ça me paume completement. foutre tout le poids de mon comportement sur le dos de ma famille ça permet de déculpabiliser, de se prendre pour cosette 10 minutes mais ça change pas la famille ni les habitudes bien ancrées, encore moins les problèmes quotidiens.

ce type m'écoutait avec un quasi total manque d'expression, ponctués de quelques 'poursuivez', j'avais l'impression de parler de plus en plus à une marionnette, et moi d'être une sorte de machine à parler sur elle-même. à la fin de la séance c'est moi qui me trouvait completement ridicule.

moins ridicule par contre, l'addition. je n'ai pas une bonne couverture sociale, je n'ai plus d'argent car je ne travaille plus car je suis déprimée, qu'est-ce qu'il me fallait de plus ? une facture salée !

j'ai entendu parler des centres médico psychologiques mais je ne sais pas si c'est adapté à mon cas. vous avez une idée ? à qui pourrais-je m'adresser ?

comment pourrais-je voire une issue à ce problème ?

en tout cas merci de votre attention si vous m'avez lu. je vous souhaite une bonne journée, de l'amour de la gloire de l'amitié... et une bonne estime de vous.
bisous.