"Dans ton soupir, je ressens ton désir, je garde ton odeur, sur moi pendant des heures"... Ocean Drive, dans son titre Somepeople diffusé quotidiennement sur les ondes, nous gratifie de ces paroles sur un rythme électro.
La musique, mais aussi le cinéma, la publicité, tout nous rappelle sans cesse et parfois à notre insu que nous sommes des êtres de désir ; au point que nous pouvons avoir l’impression d'être bombardés d’émotions sans rien pouvoir y faire. Coeur, corps, rêves et pensées mènent parfois en nous une drôle de danse et pourtant, pas de panique... ces désirs peuvent être apprivoisés.
La musique, mais aussi le cinéma, la publicité, tout nous rappelle sans cesse et parfois à notre insu que nous sommes des êtres de désir ; au point que nous pouvons avoir l’impression d'être bombardés d’émotions sans rien pouvoir y faire. Coeur, corps, rêves et pensées mènent parfois en nous une drôle de danse et pourtant, pas de panique... ces désirs peuvent être apprivoisés.
Comment surgit le désir ?
Première étape : apprendre à mieux se connaître. Le désir sexuel nous rappelle que notre corps est fait pour l'Amour, mais d'où vient-il ?
Les sens sont parmi ses premiers stimulants :
- le toucher des organes génitaux ou des zones dites "érogènes", ces parties du corps sensibles à la stimulation sexuelle (le plus souvent, il s’agit du pénis, des lèvres, de la langue, du bout des seins, du lobe des oreilles, …) ;
- la vue d'un corps nu ou d'une attitude, de vêtements suggestifs, d'une scène érotique photographiée ou filmée ;
- l'odeur de certains parfums ou de celui de la personne aimée ;
- le son de certaines voix au timbre sensuel, de musiques, de paroles séductrices, de la respiration de l’autre.
Mais l'excitation sexuelle peut aussi naître de situations où les émotions sont intenses (peur, gêne, angoisse, admiration). L’imagination et les rêves peuvent aussi être déclencheurs. Tous ces stimuli parviennent au cerveau qui y reconnaît (ou pas) une situation érotique. Le cerveau est donc notre premier organe sexuel !
Notez que ceci dépend de notre culture, nos souvenirs, notre sensibilité personnelle. Une personne pourra être stimulée sexuellement par une situation qui en laissera une autre de marbre, ce qui montre bien que le désir concerne tout notre être et que nous ne sommes pas des machines.
Les sens sont parmi ses premiers stimulants :
- le toucher des organes génitaux ou des zones dites "érogènes", ces parties du corps sensibles à la stimulation sexuelle (le plus souvent, il s’agit du pénis, des lèvres, de la langue, du bout des seins, du lobe des oreilles, …) ;
- la vue d'un corps nu ou d'une attitude, de vêtements suggestifs, d'une scène érotique photographiée ou filmée ;
- l'odeur de certains parfums ou de celui de la personne aimée ;
- le son de certaines voix au timbre sensuel, de musiques, de paroles séductrices, de la respiration de l’autre.
Mais l'excitation sexuelle peut aussi naître de situations où les émotions sont intenses (peur, gêne, angoisse, admiration). L’imagination et les rêves peuvent aussi être déclencheurs. Tous ces stimuli parviennent au cerveau qui y reconnaît (ou pas) une situation érotique. Le cerveau est donc notre premier organe sexuel !
Notez que ceci dépend de notre culture, nos souvenirs, notre sensibilité personnelle. Une personne pourra être stimulée sexuellement par une situation qui en laissera une autre de marbre, ce qui montre bien que le désir concerne tout notre être et que nous ne sommes pas des machines.
Homme-femme quelles différences?
L'homme et la femme ont des schémas de réactions sexuelles comparables mais qui présentent tout de même des différences importantes.
L'homme est particulièrement sensible à la vue du corps féminin et au toucher de ses zones érogènes. Le plus souvent l'excitation provoque rapidement chez lui une érection. Il s'agit d’une action réflexe et involontaire qui peut d'ailleurs survenir dans un rêve ou être provoquée de façon mécanique par une situation non sexuelle (pression de la vessie le matin, anesthésie). S'il ne peut empêcher l'érection, il peut par contre décider de stopper l'excitation en exerçant sa volonté : ne pas prolonger une rêverie érotique du matin par exemple.
Si par contre les stimulations sexuelles se prolongent, l’excitation augmente et il lui devient impossible de contrôler la pulsion : la tension est telle qu’elle conduit presque inévitablement à l'orgasme et l'éjaculation, source de plaisir intense comme on le voit sur cette courbe :
L'homme est particulièrement sensible à la vue du corps féminin et au toucher de ses zones érogènes. Le plus souvent l'excitation provoque rapidement chez lui une érection. Il s'agit d’une action réflexe et involontaire qui peut d'ailleurs survenir dans un rêve ou être provoquée de façon mécanique par une situation non sexuelle (pression de la vessie le matin, anesthésie). S'il ne peut empêcher l'érection, il peut par contre décider de stopper l'excitation en exerçant sa volonté : ne pas prolonger une rêverie érotique du matin par exemple.
Si par contre les stimulations sexuelles se prolongent, l’excitation augmente et il lui devient impossible de contrôler la pulsion : la tension est telle qu’elle conduit presque inévitablement à l'orgasme et l'éjaculation, source de plaisir intense comme on le voit sur cette courbe :
Chez la femme, l'apparition du désir n'est pas aussi flagrante. Elle peut néanmoins sentir le bout de ses seins durcir, sa vulve s'humidifier et sa peau se couvrir d'un effet "chair de poule". A savoir : du fait des sécrétions hormonales qui rythment le cycle féminin, le désir est plus fort au moment de l'ovulation et durant les jours qui précèdent, au moment où elle est la plus fertile. Le désir d'enfant, conscient ou inconscient, peut s'inviter dans l'envie sexuelle, provoquant parfois certains oublis de pilule.
Il faudra des caresses ciblées et/ou un rituel amoureux propre à chaque couple, pour que la femme arrive à un niveau de désir aussi fort que celui qui s’exprime chez l'homme par l’érection. Autre différence importante, la femme peut avoir un rapport sexuel sans connaître d'orgasme contrairement à l'homme (comme on le voit sur le schéma ci-dessous dans la situation 1). Ou bien il lui faut, en général, un peu plus de temps que l'homme pour atteindre ce pic de plaisir comme on le voit sur la courbe 2.
Il faudra des caresses ciblées et/ou un rituel amoureux propre à chaque couple, pour que la femme arrive à un niveau de désir aussi fort que celui qui s’exprime chez l'homme par l’érection. Autre différence importante, la femme peut avoir un rapport sexuel sans connaître d'orgasme contrairement à l'homme (comme on le voit sur le schéma ci-dessous dans la situation 1). Ou bien il lui faut, en général, un peu plus de temps que l'homme pour atteindre ce pic de plaisir comme on le voit sur la courbe 2.
Quelques conseils pour adapter ses comportements à ces constats :
Pour l'homme :
- Si on ne veut ou on ne (peut) pas aller jusqu'à l'acte sexuel, éviter les stimulations, les images érotiques, détourner le regard à temps, interrompre des caresses...
- Comprendre qu'il existe une vulnérabilité chez la femme liée au cycle et aux variations hormonales…
Pour la femme :
- Ne pas exciter les hommes de son entourage pour ne pas "allumer" inutilement : avoir conscience de l’effet produit par certaines attitudes, tenues ou gestes.
- Comprendre la vulnérabilité de l'homme liée au fonctionnement de ses organes génitaux
- Si on ne veut pas "aller jusqu'au bout", ne pas exciter trop longtemps l'autre qui ne pourra pas se maîtriser indéfiniment. Le risque : regretter d’être allés trop vite !
Pour les deux :
Prendre conscience que l'autre ne réagit pas de la même façon
Ne pas se culpabiliser inutilement mais poser des mots sur les émotions, les sensations.
Pour l'homme :
- Si on ne veut ou on ne (peut) pas aller jusqu'à l'acte sexuel, éviter les stimulations, les images érotiques, détourner le regard à temps, interrompre des caresses...
- Comprendre qu'il existe une vulnérabilité chez la femme liée au cycle et aux variations hormonales…
Pour la femme :
- Ne pas exciter les hommes de son entourage pour ne pas "allumer" inutilement : avoir conscience de l’effet produit par certaines attitudes, tenues ou gestes.
- Comprendre la vulnérabilité de l'homme liée au fonctionnement de ses organes génitaux
- Si on ne veut pas "aller jusqu'au bout", ne pas exciter trop longtemps l'autre qui ne pourra pas se maîtriser indéfiniment. Le risque : regretter d’être allés trop vite !
Pour les deux :
Prendre conscience que l'autre ne réagit pas de la même façon
Ne pas se culpabiliser inutilement mais poser des mots sur les émotions, les sensations.
Couple : se dire jusqu'où on veut aller
Pour ceux qui sortent ensemble régulièrement, le meilleur moyen d'éviter le stress est encore d’être vrai avec l’autre et de pouvoir lui dire très clairement assez vite ce qu’on veut vivre. Cela peut lui éviter de se faire des idées et lui épargner la souffrance de la déception et de la frustration. Mieux vaut aussi éviter les situations embarrassantes, du style - passer une nuit ensemble dans une chambre à un seul lit si on ne veut pas faire l'amour ! Si mon ami accepte ainsi les limites que je lui pose, le respect qu'il me témoigne est une preuve tangible de la qualité de son amour pour moi.
Il peut certes être agréable de se laisser emporter par le désir mais rappelez-vous qu'un rapport sexuel n’est pas sans conséquences, physiques (la conception d’un enfant est toujours possible !) ou psychiques. On pourrait comparer l'union d’un homme et d’une femme à deux feuilles de carton qu’on aurait collées ensemble : si on les sépare, chacune garde sur elle une trace de l'autre. Cette ardoise là ne pourra jamais s’effacer.
Si l’un des deux n’est pas prêt pour "faire l’amour", on peut donc cultiver l’amour d’autres façons, la tendresse, les activités de détente ensemble, le dialogue. Un jeune couple témoigne : "Quand Merryl m'a dit qu'elle ne voulait pas avoir de relations sexuelles avant d'être mariée, raconte Benoit, j'ai rigolé. Mais finalement grâce à ça on a eu beaucoup de temps pour parler. Cela nous a permis d'apprendre à nous connaître et avoir confiance l'un en l'autre. L'avantage de ne pas avoir de relations sexuelles à ce moment-là, c'est que ce n'est pas le langage sexuel seulement qui parle, mais le langage de l'amour."
Il peut certes être agréable de se laisser emporter par le désir mais rappelez-vous qu'un rapport sexuel n’est pas sans conséquences, physiques (la conception d’un enfant est toujours possible !) ou psychiques. On pourrait comparer l'union d’un homme et d’une femme à deux feuilles de carton qu’on aurait collées ensemble : si on les sépare, chacune garde sur elle une trace de l'autre. Cette ardoise là ne pourra jamais s’effacer.
Si l’un des deux n’est pas prêt pour "faire l’amour", on peut donc cultiver l’amour d’autres façons, la tendresse, les activités de détente ensemble, le dialogue. Un jeune couple témoigne : "Quand Merryl m'a dit qu'elle ne voulait pas avoir de relations sexuelles avant d'être mariée, raconte Benoit, j'ai rigolé. Mais finalement grâce à ça on a eu beaucoup de temps pour parler. Cela nous a permis d'apprendre à nous connaître et avoir confiance l'un en l'autre. L'avantage de ne pas avoir de relations sexuelles à ce moment-là, c'est que ce n'est pas le langage sexuel seulement qui parle, mais le langage de l'amour."
Et pour les solos ?
"Je n’ai pas de petite amie mais je suis tout le temps excité ? Comment gérer ça ?" demande KEV83 dans un forum destiné à la sexo des ados.
Le plus simple semble être d'assouvir ses désirs par la masturbation. Face aux nombre de sollicitations érotiques et pornographiques sur Internet, le risque est toutefois réel de s'enfermer dans ces pratiques et de devenir un peu "addict" comme le confirme le sexologue Olivier Florant du cabinet Saint-Paul à Paris qui aide des personnes à sortir de ce piège : "On peut finir par être replié sur soi-même et par construire sa sexualité dans son imaginaire, explique-t-il. La réalité devient alors souvent décevante, alors qu’elle peut être bien plus belle."
Les spécialistes soulignent aussi qu'une pratique régulière de la masturbation peut par la suite favoriser des problèmes sexuels en couple : chez l'homme des blocages ou des éjaculations précoces très rapides qui empêchent d'attendre sa partenaire. Pour les femmes, le risque est l’incapacité à vivre un orgasme autrement que par la caresse du clitoris et la tentation de penser que l'on n'est "jamais mieux servie que par soi-même". Or la sexualité n'est-elle un des moyen d'aller vers l'autre pour lui donner et recevoir du plaisir ? "Il y a un chemin à vivre avec l’autre en l'aidant à nous satisfaire" affirme le consultant. De ce point de vue l'auto-érotisme n'aide pas à prendre ce chemin. Il nous libère de nos pulsions, mais n'épanouit pas vraiment le désir sexuel qui comporte l'envie d'aller vers une autre personne.
Que faire ?
- Fuir la pornographie, détourner le regard face à un décolleté, une publicité, éviter les rêves éveillés ou en sortir le plus rapidement possible, enlever la télé de sa chambre, …
- Etre transparent : mettre son ordinateur dans un lieu familial commun pour ne pas être tenté, ou télécharger un programme du type "covenant eye" qui permet de recevoir régulièrement des rapports de ses visites Internet ;
- Ne pas se culpabiliser à l'excès dit le site Pass-amour.org car cela peut vous faire perdre votre confiance en vous ;
- S'engager dans des activités culturelles, sportives, sociales… Cela permet de faire des choses utiles et valorisantes qui renforcent l’estime de soi car il faut s'aimer pour croire qu'une autre personne peut vous aimer. C'est surtout l’occasion d'apprendre à se tourner vers les autres et à se détourner de sa propre recherche de bien-être. Or "c'est la relation à l'autre qui nous prépare à la rencontre amoureuse", explique Nathalie Loevenbruck, éducatrice à la vie et intervenante dans les lycées sur les questions sexuelles. "C'est toujours la relation qui est première, c'est là que l'autre me révèle à moi-même".
Le plus simple semble être d'assouvir ses désirs par la masturbation. Face aux nombre de sollicitations érotiques et pornographiques sur Internet, le risque est toutefois réel de s'enfermer dans ces pratiques et de devenir un peu "addict" comme le confirme le sexologue Olivier Florant du cabinet Saint-Paul à Paris qui aide des personnes à sortir de ce piège : "On peut finir par être replié sur soi-même et par construire sa sexualité dans son imaginaire, explique-t-il. La réalité devient alors souvent décevante, alors qu’elle peut être bien plus belle."
Les spécialistes soulignent aussi qu'une pratique régulière de la masturbation peut par la suite favoriser des problèmes sexuels en couple : chez l'homme des blocages ou des éjaculations précoces très rapides qui empêchent d'attendre sa partenaire. Pour les femmes, le risque est l’incapacité à vivre un orgasme autrement que par la caresse du clitoris et la tentation de penser que l'on n'est "jamais mieux servie que par soi-même". Or la sexualité n'est-elle un des moyen d'aller vers l'autre pour lui donner et recevoir du plaisir ? "Il y a un chemin à vivre avec l’autre en l'aidant à nous satisfaire" affirme le consultant. De ce point de vue l'auto-érotisme n'aide pas à prendre ce chemin. Il nous libère de nos pulsions, mais n'épanouit pas vraiment le désir sexuel qui comporte l'envie d'aller vers une autre personne.
Que faire ?
- Fuir la pornographie, détourner le regard face à un décolleté, une publicité, éviter les rêves éveillés ou en sortir le plus rapidement possible, enlever la télé de sa chambre, …
- Etre transparent : mettre son ordinateur dans un lieu familial commun pour ne pas être tenté, ou télécharger un programme du type "covenant eye" qui permet de recevoir régulièrement des rapports de ses visites Internet ;
- Ne pas se culpabiliser à l'excès dit le site Pass-amour.org car cela peut vous faire perdre votre confiance en vous ;
- S'engager dans des activités culturelles, sportives, sociales… Cela permet de faire des choses utiles et valorisantes qui renforcent l’estime de soi car il faut s'aimer pour croire qu'une autre personne peut vous aimer. C'est surtout l’occasion d'apprendre à se tourner vers les autres et à se détourner de sa propre recherche de bien-être. Or "c'est la relation à l'autre qui nous prépare à la rencontre amoureuse", explique Nathalie Loevenbruck, éducatrice à la vie et intervenante dans les lycées sur les questions sexuelles. "C'est toujours la relation qui est première, c'est là que l'autre me révèle à moi-même".
Le sex friend, une solution ?
Certains pensent enfin pouvoir cloisonner leur vie en vivant des relations uniquement sexuelles avec un ou des amis plus ou moins proches. Dans ce "jeu", pas de dîner en amoureux, pas de mots doux, enfin pas d’Amour quoi. Le but est d’éviter la blessure puisque pas d’engagement, pas de promesse. C’est ce que choisissent de vivre Emma et Adam dans la comédie romantique Sex Friends d'Ivan Reitman.
Sauf que le désir investi dans une relation met toujours à nu notre vulnérabilité. Résultat : ce "non couple" finit par vivre ce qu'il voulait éviter, et ils tombent amoureux…
Dans la réalité les "sex friends" témoignent souvent d'expériences mitigées. L'amitié, caractérisée par l'absence de gestes sexuels entre deux êtres qui s'apprécient, y résiste rarement à long terme. Nathalie Loevenbruck se souvient d'un garçon de 16 ans lui disant, les larmes aux yeux :"J'avais une copine, une très bonne amie. Nous n'étions pas amoureux, mais à une fête où on avait bu, nous avons eu une relation sexuelle, et nous avons perdu cette amitié !"
A se donner sans amour, les "sex friends" peuvent aussi perdre un peu de l'estime d'eux-mêmes : "après un échec amoureux, je ne me sentais plus capable d'être aimée pour moi", témoigne Anna.
Dommage, car si le sexe est bon, il est encore meilleur lorsqu'il vient épanouir une vraie relation amoureuse, comme la cerise sur le gâteau ! Alors le désir peut se saisir du corps, du coeur et de l'esprit et devenir magique.
Sauf que le désir investi dans une relation met toujours à nu notre vulnérabilité. Résultat : ce "non couple" finit par vivre ce qu'il voulait éviter, et ils tombent amoureux…
Dans la réalité les "sex friends" témoignent souvent d'expériences mitigées. L'amitié, caractérisée par l'absence de gestes sexuels entre deux êtres qui s'apprécient, y résiste rarement à long terme. Nathalie Loevenbruck se souvient d'un garçon de 16 ans lui disant, les larmes aux yeux :"J'avais une copine, une très bonne amie. Nous n'étions pas amoureux, mais à une fête où on avait bu, nous avons eu une relation sexuelle, et nous avons perdu cette amitié !"
A se donner sans amour, les "sex friends" peuvent aussi perdre un peu de l'estime d'eux-mêmes : "après un échec amoureux, je ne me sentais plus capable d'être aimée pour moi", témoigne Anna.
Dommage, car si le sexe est bon, il est encore meilleur lorsqu'il vient épanouir une vraie relation amoureuse, comme la cerise sur le gâteau ! Alors le désir peut se saisir du corps, du coeur et de l'esprit et devenir magique.
Pour aller plus loin
www.passamour.org/index.php/reperes/sexualite/beaucoup-plus-de-sexe
www.orroz.net/
www.covenanteyes.com propose un programme qui permet à toute personne sollicitée par des sites pornographiques de lutter contre cette tentation, en partageant toutes vos visites web à un ou des amis de confiance.
Le site http://stopporn.fr/ a été créé par un addict à la pornographie et à la masturbation qui explique comment et pourquoi s'en sortir : témoignages, précieux conseils techniques, blog...
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