Créée en 2015, la Grande école du numérique (GEN) est d'abord un réseau de formations digitales destinées aux personnes éloignées de l'emploi : jeunes, femmes, chercheurs d'emploi, décrocheurs...
Mais cette mission inclusive n'est pas la seule. Depuis 2022, la GEN recense aussi sur son site la totalité de l’offre de formation aux métiers du numérique en France via un puissant moteur de recherche. Et un Observatoire (GEN_SCAN) a été créé pour suivre les besoins des entreprises dans ces métiers en transformation permanente, afin de mieux adapter la formation.
Certains métiers ou familles de métiers sont-ils plus dynamiques ? Les formations sont-elles adéquates et assez nombreuses ? Y a-t-il des différences par région ? Les premiers chiffres du GEN_SCAN publiés fin janvier 2023 ont commencé à répondre.
Mais cette mission inclusive n'est pas la seule. Depuis 2022, la GEN recense aussi sur son site la totalité de l’offre de formation aux métiers du numérique en France via un puissant moteur de recherche. Et un Observatoire (GEN_SCAN) a été créé pour suivre les besoins des entreprises dans ces métiers en transformation permanente, afin de mieux adapter la formation.
Certains métiers ou familles de métiers sont-ils plus dynamiques ? Les formations sont-elles adéquates et assez nombreuses ? Y a-t-il des différences par région ? Les premiers chiffres du GEN_SCAN publiés fin janvier 2023 ont commencé à répondre.
Toujours plus d'emplois dans tous les métiers du numérique
Globalement, le nombre d’offres d’emploi continue de croitre dans tous les métiers répertoriés. Les spécialistes de l'emploi consultés par la GEN invoquent deux raisons principales : d'abord, la transformation digitale de l’économie se poursuit à rythme rapide, la crise sanitaire ayant pérennisé le télétravail et accéléré la digitalisation de nombreux services.
Ensuite les professionnels de la tech sont très sollicités et changent très souvent de poste. Le turnover sur ces métiers peut être de 25% à 30% des effectifs par an (!) ce qui oblige les recruteurs à une chasse aux talents permanente.
Ensuite les professionnels de la tech sont très sollicités et changent très souvent de poste. Le turnover sur ces métiers peut être de 25% à 30% des effectifs par an (!) ce qui oblige les recruteurs à une chasse aux talents permanente.
Des emplois toujours majoritaires en Ile-de-France
En terme de région, l'Ile-de-France reste largement en tête pour le nombre d'offres d'emplois proposées, suivie de loin par Rhône-Alpes et l'Occitanie.
"La pénurie en Île-de-France est récurrente et difficile à contrer, car la France reste jacobine et les centres de décision ou sièges des entreprises sont à Paris et petite/grande couronne", explique Pierre Cannet, CEO du cabinet Blue Search qui perçoit cependant "une montée en puissance des besoins dans l'Ouest et le sillon rhodanien".
(Cliquez sur l'image pour l'afficher en grand format)
"La pénurie en Île-de-France est récurrente et difficile à contrer, car la France reste jacobine et les centres de décision ou sièges des entreprises sont à Paris et petite/grande couronne", explique Pierre Cannet, CEO du cabinet Blue Search qui perçoit cependant "une montée en puissance des besoins dans l'Ouest et le sillon rhodanien".
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Source : Rapport GEN_SCAN janvier 2023.
Six grandes familles de métiers sous l'oeil de GEN_SCAN
Mais quels sont les métiers les plus recherchés début 2023 ? De quelles compétences manquent le plus les entreprises ?
Pour obtenir des réponses pertinentes, il faut poser les bonnes questions. Et définir une méthode rigoureuse pour bien classer les offres d'emploi dans un univers en mutation permanente où les intitulés de poste varient d'une entreprise ou d'un secteur à l'autre.
Pour prendre de la hauteur, l'observatoire GEN_SCAN a constitué six grandes familles de métiers :
- Communication digitale, marketing et e-commerce
- Interface, Graphisme, Design
- Gestion, pilotage
- Développement
- IA, Data et ioT
- Sécurité, réseaux, cloud et télécoms.
And the winner is...
Pour obtenir des réponses pertinentes, il faut poser les bonnes questions. Et définir une méthode rigoureuse pour bien classer les offres d'emploi dans un univers en mutation permanente où les intitulés de poste varient d'une entreprise ou d'un secteur à l'autre.
Pour prendre de la hauteur, l'observatoire GEN_SCAN a constitué six grandes familles de métiers :
- Communication digitale, marketing et e-commerce
- Interface, Graphisme, Design
- Gestion, pilotage
- Développement
- IA, Data et ioT
- Sécurité, réseaux, cloud et télécoms.
And the winner is...
La gestion de projet et le chef de projet digital font la course en tête
La famille "Gestion, pilotage" est celle qui concentre le plus d’offres d’emploi dans le numérique (pratiquement le quart).
Alors qu'on a longtemps présenté les métiers du code et du développement comme les plus pénuriques, en 2023, les entreprises ont un besoin crucial de chefs de projet capables de piloter leur transition digitale. Et cela de la PME au grand groupe et dans tous les secteurs.
Avec 10 401 offres d'emploi au 1er janvier 2023, le métier de chef de projet digital arrive donc en tête de tous les métiers recherchés !
Véritable chef d'orchestre, ce professionnel doit faire le lien entre les équipes techniques, le marketing et la production. Il ou elle doit être agile, avoir de fortes compétences numériques mais aussi une bonne connaissance du secteur de l'entreprise, ce qu'on appelle les "compétences métier".
Or paradoxalement, il y a peu de formations au métier de chef de projet digital (seulement 366 qui représentent 2% de l’offre globale).
Alors qu'on a longtemps présenté les métiers du code et du développement comme les plus pénuriques, en 2023, les entreprises ont un besoin crucial de chefs de projet capables de piloter leur transition digitale. Et cela de la PME au grand groupe et dans tous les secteurs.
Avec 10 401 offres d'emploi au 1er janvier 2023, le métier de chef de projet digital arrive donc en tête de tous les métiers recherchés !
Il y a peu de formations au métier le plus recherché du numérique
Véritable chef d'orchestre, ce professionnel doit faire le lien entre les équipes techniques, le marketing et la production. Il ou elle doit être agile, avoir de fortes compétences numériques mais aussi une bonne connaissance du secteur de l'entreprise, ce qu'on appelle les "compétences métier".
Or paradoxalement, il y a peu de formations au métier de chef de projet digital (seulement 366 qui représentent 2% de l’offre globale).
Mais aussi les Product Managers, Scrum Masters, ou startuppers
On trouve aussi dans cette famille tous les métiers de la gestion de projet : directeur de projet, coordinateur de projet, chef de projet technique, chef de projet agile, scrum master…)
L'observatoire GEN_SCAN a aussi placé là les métiers de l’entrepreneuriat (entrepreneur digital, Startupper, créateur d’entreprise…), ceux du management Produit (Product Manager, Product Owner…) ou de la gestion de site web (webmaster, chef de projet web...).
C'est le "Product manager" qui arrive clairement en tête des métiers recherchés derrière le chef de projet digital : il/elle est chargé d'assurer le développement entier d'un produit (numérique), de sa conception avec ses fonctionnalités, à sa réalisation et livraison au client.
L'observatoire GEN_SCAN a aussi placé là les métiers de l’entrepreneuriat (entrepreneur digital, Startupper, créateur d’entreprise…), ceux du management Produit (Product Manager, Product Owner…) ou de la gestion de site web (webmaster, chef de projet web...).
C'est le "Product manager" qui arrive clairement en tête des métiers recherchés derrière le chef de projet digital : il/elle est chargé d'assurer le développement entier d'un produit (numérique), de sa conception avec ses fonctionnalités, à sa réalisation et livraison au client.
La famille sécurité, cloud, réseaux et télécom
Quasiment à égalité avec la famille "Pilotage, gestion", ces métiers représentent également le quart des offres d’emplois proposées dans le numérique. Ils ont pris de l’importance depuis la crise sanitaire et le recours généralisé au télétravail qui a fragilisé les systèmes d’information.
Les ingénieurs système sont très demandés car indispensables aux grandes entreprises. "Le déficit de candidats est particulièrement notable sur les métiers en ingénierie systèmes, architecture technique et Cloud ou Data, où l’on recense 2 à 4 fois plus d’offres que de candidats", confirme PageGroup Dans son "Étude de rémunérations 2023 " sur l'emploi et les métiers de l'IT.
Les entreprises recherchent aussi beaucoup d'experts en cybersécurité pour prévenir les attaques informatiques,
Les ingénieurs système sont très demandés car indispensables aux grandes entreprises. "Le déficit de candidats est particulièrement notable sur les métiers en ingénierie systèmes, architecture technique et Cloud ou Data, où l’on recense 2 à 4 fois plus d’offres que de candidats", confirme PageGroup Dans son "Étude de rémunérations 2023 " sur l'emploi et les métiers de l'IT.
Les entreprises recherchent aussi beaucoup d'experts en cybersécurité pour prévenir les attaques informatiques,
Des emplois aussi pour les bac+2 et dans la 5G
Bonne nouvelle pour les candidats qui ne souhaitent pas s'embarquer pour des études longues : on recherche aussi sur ces métiers beaucoup de techniciens (niveau bac+2/3) par exemple dans la maintenance des réseaux.
Et le déploiement de la 5G va faire croître la demande de profils ayant la double compétence télécom et technique (IT, cloud, cybersécurité, métier client, etc.) : 100 000 emplois sont attendus dans la 5G à l’horizon 2027 en France.
Et le déploiement de la 5G va faire croître la demande de profils ayant la double compétence télécom et technique (IT, cloud, cybersécurité, métier client, etc.) : 100 000 emplois sont attendus dans la 5G à l’horizon 2027 en France.
Des formations nombreuses, mais peu adaptées aux besoins réels des entreprises
Alors, quid des formations dans cette grande famille de métiers (Sécurité, cloud, réseaux) ? La situation est paradoxale :
C'est là que l’on dénombre le plus de formations (6 009). Mais d'après les experts consultés par GEN_SCAN, cette offre est peu en phase avec les besoins notamment dans la sécurité et le cloud, qui nécessitent de connaitre les toutes dernières évolutions technologiques et de s’auto-former en permanence.
"Par exemple dans le cloud, on ne trouve pas sur le marché de talents formés sur l’infrastructure AS-Code, pourtant la plus répandue dans les entreprises.", témoigne Jérôme Vu Than, associé et directeur Cloud Transformation chez Cloud Temple – Groupe Neurones et interrogé par GEn_SCAN.
Si vous souhaitez vous former dans ces domaines, prenez donc le temps de bien vous informer ou privilégiez les cursus en alternance ou en partenariat avec des entreprises.
C'est là que l’on dénombre le plus de formations (6 009). Mais d'après les experts consultés par GEN_SCAN, cette offre est peu en phase avec les besoins notamment dans la sécurité et le cloud, qui nécessitent de connaitre les toutes dernières évolutions technologiques et de s’auto-former en permanence.
"Par exemple dans le cloud, on ne trouve pas sur le marché de talents formés sur l’infrastructure AS-Code, pourtant la plus répandue dans les entreprises.", témoigne Jérôme Vu Than, associé et directeur Cloud Transformation chez Cloud Temple – Groupe Neurones et interrogé par GEn_SCAN.
Si vous souhaitez vous former dans ces domaines, prenez donc le temps de bien vous informer ou privilégiez les cursus en alternance ou en partenariat avec des entreprises.
Les métiers de la famille "Developpement, Tests et Ops"
C’est la 3ème famille de métiers par le nombre d'offres d'emploi (une offre dans le numérique sur cinq), celle des développeurs. Malgré le nombre important de formations (3 614, soit un quart de l’offre globale des formations au numérique), c’est toujours un métier en tension.
Dans ces métiers aussi, les besoins évoluent car les langages se multiplient et se complexifient : les entreprises cherchent des experts ou des profils un peu plus expérimentés (au "développeur web et mobile", niveau bac + 2, ils préfèrent par ewemple aujourd’hui le "développeur d’applications", niveau bac+3).
Une tendance à l'allongement des études courtes (!) que l'on observe d'ailleurs sur tout le marché de l'emploi, avec le passage des DUT en deux ans au BUT en trois ans et l'essor des bachelors hybrides, nouveaux bac+3 développés par les écoles d'ingénieurs.
Dans ces métiers aussi, les besoins évoluent car les langages se multiplient et se complexifient : les entreprises cherchent des experts ou des profils un peu plus expérimentés (au "développeur web et mobile", niveau bac + 2, ils préfèrent par ewemple aujourd’hui le "développeur d’applications", niveau bac+3).
Une tendance à l'allongement des études courtes (!) que l'on observe d'ailleurs sur tout le marché de l'emploi, avec le passage des DUT en deux ans au BUT en trois ans et l'essor des bachelors hybrides, nouveaux bac+3 développés par les écoles d'ingénieurs.
Des formations au code appelées à s'adapter
Cette montée en compétences est un challenge pour les nombreuses formations courtes au développement lancées ces dernières années, notamment celles qui portent le label de la Grande école du numérique, et qui promettent souvent une insertion professionnelle en moins de deux ans (comme chez WebForce3)
"Il y a un nombre croissant de “techno” à connaitre quand on apprend le code, ça n’est pas facile de former des généralistes ou des développeurs qui vont parfaitement coller aux besoins des entreprises", reconnaît Alain Assouline, président de WebForce3.
Le fondateur des écoles Simplon, Frédéric Bardeau, est plus nuancé : "On peut former encore des personnes au JavaScript qui seront à l’aise en Front et en Back office".
Mais pour les candidats à la formation, c'est une invitation à la formation permanente : tout en mettant le pied en entreprise, beaucoup de jeunes poursuivent d'ailleurs aujourd'hui leur formation notamment via des plateformes de e-learning comme OpenClassrooms.
"Il y a un nombre croissant de “techno” à connaitre quand on apprend le code, ça n’est pas facile de former des généralistes ou des développeurs qui vont parfaitement coller aux besoins des entreprises", reconnaît Alain Assouline, président de WebForce3.
Frédéric Bardeau, fondateur de Simplon : "On peut encore former des personnes au JavaScript"
Le fondateur des écoles Simplon, Frédéric Bardeau, est plus nuancé : "On peut former encore des personnes au JavaScript qui seront à l’aise en Front et en Back office".
Mais pour les candidats à la formation, c'est une invitation à la formation permanente : tout en mettant le pied en entreprise, beaucoup de jeunes poursuivent d'ailleurs aujourd'hui leur formation notamment via des plateformes de e-learning comme OpenClassrooms.
Data, Intelligence Artificielle, Internet des object (ioT)
C'est la famille de métiers qui arrive en 4ème position des besoins exprimés dans les offres d’emploi : les métiers de la data et du big data sont en tête suivis par ceux de l’IoT (objets connectés) et de la robotique.
L'observatoire GEN_SCAN souligne que les besoins en IA et machine learning sont peu présents pour l’instant dans les offres d’emploi, cela alors qu'il existe depuis 2014 beaucoup de formations dans le secteur du big data (1 438), souvent en ligne.
En revanche on ne répertorie que 235 formations dans l’IoT alors que les besoins sont amenés à augmenter fortement avec le déploiement de la 5G et les besoins liés à la "Green Tech", c'est-à-dire tous les objets ou services qui chercheront à verdir la société pour protéger la planète.
L'observatoire GEN_SCAN souligne que les besoins en IA et machine learning sont peu présents pour l’instant dans les offres d’emploi, cela alors qu'il existe depuis 2014 beaucoup de formations dans le secteur du big data (1 438), souvent en ligne.
En revanche on ne répertorie que 235 formations dans l’IoT alors que les besoins sont amenés à augmenter fortement avec le déploiement de la 5G et les besoins liés à la "Green Tech", c'est-à-dire tous les objets ou services qui chercheront à verdir la société pour protéger la planète.
E-commerce, marketing, communication digitale
En 5ème position par le nombre d'offres, cette famille regroupe des métiers qui se sont entièrement transformés avec la digitalisation de l'économie, comme par exemple le marketing (forcément digital). Ils représentent 15% des offres d’emploi répertoriées au 1er janvier 2023 et regroupent 30% de l’offre globale des formations au numérique.
Les métiers du e-commerce sont les plus recherchés dans ce secteur depuis la crise.
Autre métier pénurique, celui d’expert en référencement ou SEO, car les professionnels formés préfèrent souvent exercer en freelance ou en agence. D'autre part il existe peu de formations universitaires diplômantes alors que le marché du SEO, est en très forte croissance et en grande demande de profils expérimentés.
En janvier 2023, l'observatoire GEN_SCAN a compté 311 formations d’expert SEO disponibles en France pour 2570 offres d'emploi !
Un autre métier semble émerger : le "Growth hacker", très recherché par les startups, est un professionnel capable de faire croître très rapidement l'activité d'une entreprise avec des techniques de marketing digital.
Les métiers du e-commerce sont les plus recherchés dans ce secteur depuis la crise.
Autre métier pénurique, celui d’expert en référencement ou SEO, car les professionnels formés préfèrent souvent exercer en freelance ou en agence. D'autre part il existe peu de formations universitaires diplômantes alors que le marché du SEO, est en très forte croissance et en grande demande de profils expérimentés.
En janvier 2023, l'observatoire GEN_SCAN a compté 311 formations d’expert SEO disponibles en France pour 2570 offres d'emploi !
Un autre métier semble émerger : le "Growth hacker", très recherché par les startups, est un professionnel capable de faire croître très rapidement l'activité d'une entreprise avec des techniques de marketing digital.
Graphisme, Design, Interface
Cette famille présente globalement beaucoup moins d'offres. Elle regroupe des métiers assez divers de l'univers : du graphisme / Design (Motion Designer, Infographiste, UI Designer, UX Designer, Webdesigner, Animateur 3D…) de la création de vidéos (Chargé de production vidéos, Vidéaste…) de l’impression 3D (Fablab manager, Forgeur numérique…) des jeux vidéos (Game designer, Développeur de jeux vidéos, Réalisateur de jeux vidéos…) Dans cet ensemble, les métiers du graphisme et du design sont les plus recherchés par les entreprises : ils représentent 84% des offres d’emploi de la famille (1323 offres); Mais la demande est plutôt stable pour les profils d’infographiste réservés aux grandes entreprises et plutôt exercés en agence et par des freelances.
Par contre les métiers de l’UX (expérience utilisateur) et du design d'interface devraient beaucoup recruter en 2023 pour répondre aux besoins des entreprises qui souhaitent proposer une navigation optimale à l'utilisateur sur des sites vitrine efficaces.
L'industrie du jeu vidéo, elle, recrute peu malgré son dynamisme en France (et un grand nombre de formations) et uniquement dans les grandes métropoles, comme nous l'indiquions dans notre article sur les métiers du jeu vidéo.
Enfin l'observatoire GEN_SCAN va continuer à suivre de près l’évolution des besoins liés à l’impression 3D qui sont "inexistants" en 2023. Ils devraient cependant émerger car ils couvrent de nombreux champs d’applications (grâce notamment aux politiques de développement durable).
Par contre les métiers de l’UX (expérience utilisateur) et du design d'interface devraient beaucoup recruter en 2023 pour répondre aux besoins des entreprises qui souhaitent proposer une navigation optimale à l'utilisateur sur des sites vitrine efficaces.
L'industrie du jeu vidéo, elle, recrute peu malgré son dynamisme en France (et un grand nombre de formations) et uniquement dans les grandes métropoles, comme nous l'indiquions dans notre article sur les métiers du jeu vidéo.
Enfin l'observatoire GEN_SCAN va continuer à suivre de près l’évolution des besoins liés à l’impression 3D qui sont "inexistants" en 2023. Ils devraient cependant émerger car ils couvrent de nombreux champs d’applications (grâce notamment aux politiques de développement durable).
Le top 10 des métiers numériques les plus recherchés
Si l'on résume les "métiers les plus recherchés" à l'aune du nombre d'offres d'emploi en janvier 2023 sur toute la France, voici le top10 : Chef de projet digital (10 401) Ingénieur systèmes (5 825) Chargé e-commerce (4 621) Développeur Web (3 121) Product Manager (2 975) Technicien système et réseau (2 923) Développeur Full Stack (2 868) Développeur IoT (2 840) Product Owner (2 683) Expert SEO (2 570)
Pour en savoir plus
- Les chiffres clés de la Grande école du numérique : www.grandeecolenumerique.fr/gen_scan/chiffres-cles
- Le rapport détaillé de GEN_SCAN au format PDF : www.grandeecolenumerique.fr/