Visuel du jeu Gourou de l'informatique, lancé en 2008 par le secteur
A la rentrée 2011, un nouveau BTS "Services informatiques aux organisations" (SIO) devrait prendre la suite du BTS Informatique de gestion.
Derrière ce changement de nom, la formation est profondément revue pour la faire mieux coller aux immenses besoins des entreprises en terme de services informatiques. Il ne s'agit plus uniquement de leur fournir des logiciels, mais de les aider à monter des "services d'information" qui correspondent à leurs besoins, d'en assurer la sécurité et l'efficacité.
Le nouveau BTS, conçu avec des professionnels, veut donc apporter d'excellentes bases techniques, mais également la maîtrise de la "relation de services", tournée vers le client. D'où la place nouvelle des enseignements de management, d'économie et de repères juridiques et un parcours de développement de l'autonomie (avec les projets personnalisés encadrés).
Deux spécialités au choix sont proposées en fonction des métiers visés à la sortie : solutions logicielles et applications métiers (SLAM) et solutions d'infrastructures, systèmes et réseaux (SISR ).
Derrière ce changement de nom, la formation est profondément revue pour la faire mieux coller aux immenses besoins des entreprises en terme de services informatiques. Il ne s'agit plus uniquement de leur fournir des logiciels, mais de les aider à monter des "services d'information" qui correspondent à leurs besoins, d'en assurer la sécurité et l'efficacité.
Le nouveau BTS, conçu avec des professionnels, veut donc apporter d'excellentes bases techniques, mais également la maîtrise de la "relation de services", tournée vers le client. D'où la place nouvelle des enseignements de management, d'économie et de repères juridiques et un parcours de développement de l'autonomie (avec les projets personnalisés encadrés).
Deux spécialités au choix sont proposées en fonction des métiers visés à la sortie : solutions logicielles et applications métiers (SLAM) et solutions d'infrastructures, systèmes et réseaux (SISR ).
BTS SIO : encore plus de possibilité de poursuites d'études
L'objectif est aussi de permettre à encore plus d'étudiants de poursuivre leurs études s'ils le veulent : en licence professionnelle, en master, en école d'ingénieur ou de commerce.
Le programme de maths (couplé avec l’algorithmique) est donc musclé, ainsi que l'anglais et la culture générale et une option facultative d’approfondissement sera proposée aux étudiants qui veulent continuer leurs études.
Signalons à ceux qui pourraient avoir peur de "ne pas avoir le niveau" que le mode d'évaluation change : l'examen final laisse la place au contrôle continu, plus sécurisant.
Le programme de maths (couplé avec l’algorithmique) est donc musclé, ainsi que l'anglais et la culture générale et une option facultative d’approfondissement sera proposée aux étudiants qui veulent continuer leurs études.
Signalons à ceux qui pourraient avoir peur de "ne pas avoir le niveau" que le mode d'évaluation change : l'examen final laisse la place au contrôle continu, plus sécurisant.
Deux nouvelles écoles des métiers de l'Internet
Autres formations nouvelles, deux écoles des métiers de l'Internet vont ouvrir en septembre 2011 :
- Sup'Internet, créée par le groupe privé Ionis (propriétaire d'écoles d'informatique comme Epitech, Epita, Etna, ISG, …)
- l'EEMI (Ecole Européenne des Métiers de l’Internet) créée par 3 acteurs majeurs du web - Meetic, Free et Vente-privée.com.
Elles proposeront des cursus postbac de 3 ans pour former aux nouveaux métiers de l'Internet, secteur en forte croissance dans lequel les entreprises peinent à trouver des compétences. Leur originalité sera de former aux trois grandes familles de métiers du web : le management et le marketing-commerce (métiers de community-manager, e-marketeur, traffic manager, responsable d’affiliation, …), les métiers techniques (développeur web, webmestre, responsable référencement, …) et les métiers liés à la création (infographiste, ergonome, rédacteur,..).
Elles devraient offrir d'excellentes possibilités d'emplois à la sortie, mais les frais de scolarité seront de 5000 à 9000 euros par an.
- Sup'Internet, créée par le groupe privé Ionis (propriétaire d'écoles d'informatique comme Epitech, Epita, Etna, ISG, …)
- l'EEMI (Ecole Européenne des Métiers de l’Internet) créée par 3 acteurs majeurs du web - Meetic, Free et Vente-privée.com.
Elles proposeront des cursus postbac de 3 ans pour former aux nouveaux métiers de l'Internet, secteur en forte croissance dans lequel les entreprises peinent à trouver des compétences. Leur originalité sera de former aux trois grandes familles de métiers du web : le management et le marketing-commerce (métiers de community-manager, e-marketeur, traffic manager, responsable d’affiliation, …), les métiers techniques (développeur web, webmestre, responsable référencement, …) et les métiers liés à la création (infographiste, ergonome, rédacteur,..).
Elles devraient offrir d'excellentes possibilités d'emplois à la sortie, mais les frais de scolarité seront de 5000 à 9000 euros par an.
Gook Geek / Bad Geek : une campagne sur Facebook
Une chose est sûre en tout cas : que ce soit dans l'Internet, les jeux vidéo, la téléphonie mobile, la sécurité des réseaux, les systèmes embarqués, les débouchés sont assurés et l'on annonce un nombre croissant de créations d'emplois.
Le seul problème est que les métiers dits "de l'informatique" continuent à rebuter pas mal de lycéens et d'étudiants, en particulier les étudiantes par leur image de technicité froide dénuée de relations humaines.
D'où la campagne "ludique et participative" lancée le 7 mars 2011 sur Facebook, " Good Geek / Bad Geek" pour sensibiliser les lycéens et étudiants aux métiers du numérique.
Le seul problème est que les métiers dits "de l'informatique" continuent à rebuter pas mal de lycéens et d'étudiants, en particulier les étudiantes par leur image de technicité froide dénuée de relations humaines.
D'où la campagne "ludique et participative" lancée le 7 mars 2011 sur Facebook, " Good Geek / Bad Geek" pour sensibiliser les lycéens et étudiants aux métiers du numérique.