Maxime Verner est né en 1989 à Lyon dans un milieu populaire, de parents d'origines italienne et arménienne. A 16 ans, il décroche son bac avec mention, et se passionne déjà pour le débat public. Il parcourt meetings et rassemblements pour sensibiliser des politiques à la cause des jeunes. En 2008, après un combat acharné, il est à l'origine de la loi ramenant l'éligibilité à 18 ans pour les législatives ou les présidentielles. Lui-même se présente à 18 ans aux municipales de sa commune ! Il fréquente d'abord les partis centristes, puis quitte le Nouveau Centre pour former l’association "Jeunes de France".
Aujourd’hui, c'est le mandat présidentiel qu'il brigue "pour porter la voix de la jeunesse", car Maxime "ne se pose pas de limite là où il n'y en a pas". Pourquoi cette démarche, et pour quoi faire ?
Maxime Verner, première partie :
Aujourd’hui, c'est le mandat présidentiel qu'il brigue "pour porter la voix de la jeunesse", car Maxime "ne se pose pas de limite là où il n'y en a pas". Pourquoi cette démarche, et pour quoi faire ?
Maxime Verner, première partie :
Les propositions de Maxime Verner
Son combat, c'est de réunir les jeunes en "UNE jeunesse". Cette jeunesse trop souvent perçue comme une menace, il veut la réveiller, l'encourager et la mettre à l'oeuvre. Par exemple en organisant un concours national d'engagement citoyen pour les jeunes, en repensant la journée défense et citoyenneté, en rendant le service civique obligatoire pour les moins de 25 ans. Il veut aussi les faire voyager, leur ouvrir les yeux au-delà même des frontières européennes, grâce à des stages à l'étranger, à des échanges.
Maxime Verner aimerait aussi recréer du lien entre les retraités et les jeunes, par des sytèmes de tutorat, du bénévolat et des échanges de savoirs.
Autre proposition pour favoriser la mobilité des jeunes : faire passer les épreuves du code de la route en milieu scolaire, et rendre gratuit l'obtention du permis de conduire !
Maxime Verner, deuxième partie :
Maxime Verner aimerait aussi recréer du lien entre les retraités et les jeunes, par des sytèmes de tutorat, du bénévolat et des échanges de savoirs.
Autre proposition pour favoriser la mobilité des jeunes : faire passer les épreuves du code de la route en milieu scolaire, et rendre gratuit l'obtention du permis de conduire !
Maxime Verner, deuxième partie :
Faire participer les entreprises
Si ses propositions sortent de "ses tripes", qu'elles sont souvent ingénieuse et même accrocheuses, elles pourront paraître parfois un peu naïves. Ce jeune politicien voudrait souvent aussi cadrer des initiatives qu'on aimerait spontanées, par exemple pour forcer les désirs culturels ou la curiosité historique des jeunes en difficulté, qui restent souvent, comme il le rappelle, hostiles à une autorité qu'ils ne considèrent pas comme légitime.
En revanche, on entend son souci de faire participer toute la Nation, et notamment les entreprises privées, aux initiatives pour favoriser l'intégration des jeunes, l'accès au premier emploi et leur mobilité géographique.
En revanche, on entend son souci de faire participer toute la Nation, et notamment les entreprises privées, aux initiatives pour favoriser l'intégration des jeunes, l'accès au premier emploi et leur mobilité géographique.
La vie, c'est le courage d'oser !
Maxime Verner, porte-voix de la jeunesse pour 2012
Comment la jeunesse pourra-t-elle se réapproprier ce débat politique ? C'est là tout l'intérêt de l'engagement zélé de ce jeune étudiant en communication qui veut convaincre les jeunes de se mettre en action et les moins jeunes de leur faire confiance !
Maxime tire derrière lui toute génération qu'il ne devra pas décevoir, il doit être crédible. Et pour cela, il garde pour l'instant la tête sur les épaules. Quand on lui demande où il se voit dans cinq ans, il ne répond pas : "A l'Elysée, naturellement !" mais sur le terrain, en action... Faut-il y voir un manque de motivation pour cette campagne? Probablement pas, mais son programme, comme il se plaît à le rappeler, n'est pas pour 2012 mais pour les générations à venir. Il voit en la jeunesse française une ressource inexploitée, sa candidature entend bien y remédier.
Maxime tire derrière lui toute génération qu'il ne devra pas décevoir, il doit être crédible. Et pour cela, il garde pour l'instant la tête sur les épaules. Quand on lui demande où il se voit dans cinq ans, il ne répond pas : "A l'Elysée, naturellement !" mais sur le terrain, en action... Faut-il y voir un manque de motivation pour cette campagne? Probablement pas, mais son programme, comme il se plaît à le rappeler, n'est pas pour 2012 mais pour les générations à venir. Il voit en la jeunesse française une ressource inexploitée, sa candidature entend bien y remédier.