"J’ai pris la décision de partir à l’étranger et surtout en Australie parce que cette destination m’a toujours fait rêver et car je voulais enrichir mes connaissances et mon vocabulaire en anglais", raconte Camille. A 16 ans, elle est partie passer un an dans une famille et un lycée à Melbourne via l'organisme CEI !
Marc, lui, est parti en fin de première, sur une proposition de ses parents : "Mes résultats scolaires étaient moyens, ils m'ont proposé d'aller passer un an aux Etats-Unis. Je n'y avais jamais pensé mais ça m'a emballé et cela a changé ensuite mes projets d'orientation".
Vivre plusieurs mois, voire une année scolaire à l'étranger, c'est une expérience que l'on peut en effet vivre dès le lycée, en étant accueilli dans une famille et scolarisé sur place.
La formule - proposée aux lycéens français par une dizaine d'organismes - est moins connue que les séjours linguistiques de quelques semaine mais elle a d'autres avantages : "C'est l'expérience la plus forte que j'ai vécu de ma vie", résume Alice, partie un an en Finlande avec l'organisme YFU (Youth For Understanding France).
Le témoignage d'Alice : "C'est tellement plus que d'apprendre une langue !"
Marc, lui, est parti en fin de première, sur une proposition de ses parents : "Mes résultats scolaires étaient moyens, ils m'ont proposé d'aller passer un an aux Etats-Unis. Je n'y avais jamais pensé mais ça m'a emballé et cela a changé ensuite mes projets d'orientation".
Vivre plusieurs mois, voire une année scolaire à l'étranger, c'est une expérience que l'on peut en effet vivre dès le lycée, en étant accueilli dans une famille et scolarisé sur place.
La formule - proposée aux lycéens français par une dizaine d'organismes - est moins connue que les séjours linguistiques de quelques semaine mais elle a d'autres avantages : "C'est l'expérience la plus forte que j'ai vécu de ma vie", résume Alice, partie un an en Finlande avec l'organisme YFU (Youth For Understanding France).
Le témoignage d'Alice : "C'est tellement plus que d'apprendre une langue !"
D'abord, se décider à partir et affronter ses peurs
Vous vous dites que cela doit être super, mais que vous auriez un peu peur tout de même de partir ? En réalité, tous ceux qui ont tenté l'aventure ont ressenti la même chose. Partir, c'est quitter un univers connu - copains, copines, famille, activités - pour un ailleurs où tout est inconnu...
Manon, elle, était en larmes le jour de son départ... pour la Nouvelle-Zélande avec l'organisme PIE (Programmes internationaux d'échanges). "Une fois assise dans l’avion (un A380, s'il-vous-plaît), je ne savais plus vraiment quoi penser. Pour dire la vérité, je n'avais qu’une envie : partir en courant rejoindre ma petite maman que j'avais laissée en larmes!"
Manon, elle, était en larmes le jour de son départ... pour la Nouvelle-Zélande avec l'organisme PIE (Programmes internationaux d'échanges). "Une fois assise dans l’avion (un A380, s'il-vous-plaît), je ne savais plus vraiment quoi penser. Pour dire la vérité, je n'avais qu’une envie : partir en courant rejoindre ma petite maman que j'avais laissée en larmes!"
Comment préparer son départ ?
Voilà pourquoi un tel séjour ne s'improvise pas au dernier moment et demande une bonne préparation. Il est recommandé de commencer ses démarches un an quasiment avant la date du départ. Cela permet de mûrir votre projet, et aussi d'optimiser vos chances d'être accepté pour les destinations les plus demandées.
Il faut donc vous inscrire entre septembre et mars de l'année précédant le séjour auprès d'un organisme linguistique proposant cette formule. Adressez-vous de préférence à l'un des six organismes agréés par l'Union nationale des organisateurs de séjours longue durée à l'étranger (UNSE) : AFS Vivre sans Frontière, Calvin Thomas, CEI, PIE, Terre des langues et YFU France.
Serais-je prêt à vivre une telle expérience ? Pour vous aider à le savoir, l'organisme va vous demander :
- de remplir un dossier complet sur votre personnalité, vos goûts, vos activités de loisirs, vos motivations, votre santé, vos bulletins scolaires…,
- de passer un entretien durant lequel vous devrez exposer vos motivations et où on va évaluer votre maturité,
Il faut aussi, bien sûr, l'autorisation de vos deux parents. Mieux vaut ne pas partir pour fuir un conflit ou un mal-être personnel : le séjour ne le réglerait pas et votre malaise pourrait s'amplifier.
Il faut donc vous inscrire entre septembre et mars de l'année précédant le séjour auprès d'un organisme linguistique proposant cette formule. Adressez-vous de préférence à l'un des six organismes agréés par l'Union nationale des organisateurs de séjours longue durée à l'étranger (UNSE) : AFS Vivre sans Frontière, Calvin Thomas, CEI, PIE, Terre des langues et YFU France.
Serais-je prêt à vivre une telle expérience ? Pour vous aider à le savoir, l'organisme va vous demander :
- de remplir un dossier complet sur votre personnalité, vos goûts, vos activités de loisirs, vos motivations, votre santé, vos bulletins scolaires…,
- de passer un entretien durant lequel vous devrez exposer vos motivations et où on va évaluer votre maturité,
Il faut aussi, bien sûr, l'autorisation de vos deux parents. Mieux vaut ne pas partir pour fuir un conflit ou un mal-être personnel : le séjour ne le réglerait pas et votre malaise pourrait s'amplifier.
Le choc de l'arrivée : un temps d'adaptation pas toujours facile
Car à l'arrivée, même si les familles sont très accueillantes, le dépaysement est total et vous n'avez pas le choix : il faut s'adapter ! "Après deux jours de voyage, se souvient Manon, quatre avions et de longues heures d’attente, me voilà à Napier (Nouvelle-Zélande). Et bientôt, je découvre ma nouvelle maison et mon «immense-super-huge family»: quatre «host-sisters» (et leurs boy friends), deux «hostparents», deux «Exchange students», deux chiens et cinq chats! Rien que ça. Pour être honnête, la première semaine fut rude, très rude. Je me suis posée toutes les questions possibles et imaginables. Je n'avais qu'une idée en tête: rentrer!
"Et puis j’ai commencé le lycée, poursuit la jeune fille. Et j'ai oublié mon idée. En fait, elle s'est estompée assez rapidement et de plus en plus nettement. Et j'ai commencé alors à profiter vraiment de cette amazing adventure. Les trois premiers mois ont été une sacrée étape : devoir me concentrer sur mon anglais, prendre sur moi, devenir complètement autonome, gérer mes petits coup de blues, me faire des amis, prendre mes repères. Mais finalement, je me suis habituée assez vite".
C'est pour vous aider à réussir cet "atterrissage" que les organismes proposent en général avant le départ un "séminaire de préparation" de quelques jours. Plusieurs futurs participants sont rassemblés, avec leurs parents, pour une formation sur la culture et le système éducatif du pays d'accueil. D'anciens participants français, et des étrangers du pays de destination apportent aussi leurs témoignages. Des jeux de rôles aident même à se mettre "en situation" et à réaliser ce que représente un séjour de plusieurs mois loin de sa famille.
Les trois premiers mois ont été une sacrée étape
"Et puis j’ai commencé le lycée, poursuit la jeune fille. Et j'ai oublié mon idée. En fait, elle s'est estompée assez rapidement et de plus en plus nettement. Et j'ai commencé alors à profiter vraiment de cette amazing adventure. Les trois premiers mois ont été une sacrée étape : devoir me concentrer sur mon anglais, prendre sur moi, devenir complètement autonome, gérer mes petits coup de blues, me faire des amis, prendre mes repères. Mais finalement, je me suis habituée assez vite".
C'est pour vous aider à réussir cet "atterrissage" que les organismes proposent en général avant le départ un "séminaire de préparation" de quelques jours. Plusieurs futurs participants sont rassemblés, avec leurs parents, pour une formation sur la culture et le système éducatif du pays d'accueil. D'anciens participants français, et des étrangers du pays de destination apportent aussi leurs témoignages. Des jeux de rôles aident même à se mettre "en situation" et à réaliser ce que représente un séjour de plusieurs mois loin de sa famille.
Comment sont choisies les familles d'accueil
Un jeune Français et sa mère d'accueil américaine en 2012 (Photo : PIE)
Les familles, justement, sont sollicitées par le correspondant local de l'organisme, en fonction du dossier rempli par le participant. Il s'appuie normalement sur un réseau tissé auprès de familles "ayant fait leurs preuves". Sur place, ce correspondant reste en contact avec vous et en cas de problème, peut vous aider si nécessaire à changer de famille.
Sachez toutefois que c'est la famille qui choisit le participant qui devient membre à part entière de sa "tribu" pendant plusieurs mois. Vous n'avez donc pas à avoir peur de "décevoir" ou de déranger. Vous n'avez pas été imposé. Les familles s'engagent à s'occuper de vous comme si vous étiez un de leurs enfants. Précision importante : elles ne sont pas payées pour cet accueil. Quant à vous, vous vous engagez à participer à la vie familiale quotidienne.
Le séjour approchant, il est bon de commencer à nouer des liens avec votre famille d'accueil, par mail ou par Skype. Ainsi démarre souvent une belle aventure humaine. "J’ai trouvé une certaine routine, témoigne Manon, pris de petites habitudes, tissé des liens très forts avec ma famille d’accueil autant qu'avec mes amis. Maintenant, je me sens chez moi. J'ai ici, ma deuxième maison, ma deuxième famille".
Sachez toutefois que c'est la famille qui choisit le participant qui devient membre à part entière de sa "tribu" pendant plusieurs mois. Vous n'avez donc pas à avoir peur de "décevoir" ou de déranger. Vous n'avez pas été imposé. Les familles s'engagent à s'occuper de vous comme si vous étiez un de leurs enfants. Précision importante : elles ne sont pas payées pour cet accueil. Quant à vous, vous vous engagez à participer à la vie familiale quotidienne.
Le séjour approchant, il est bon de commencer à nouer des liens avec votre famille d'accueil, par mail ou par Skype. Ainsi démarre souvent une belle aventure humaine. "J’ai trouvé une certaine routine, témoigne Manon, pris de petites habitudes, tissé des liens très forts avec ma famille d’accueil autant qu'avec mes amis. Maintenant, je me sens chez moi. J'ai ici, ma deuxième maison, ma deuxième famille".
La découverte d'un autre système éducatif
Une salle de cours en Afrique du sud. Photo : CalvinThomas (www.calvin-thomas.com)
C'est aussi la famille qui se charge de vous inscrire dans un établissement scolaire près de son domicile. C'est le deuxième grand atout de ces séjours de "longue durée". Dans ce bain en lycée étranger, vous rencontrez d'autres jeunes, vous progressez énormément en langue, vous découvrez aussi un autre univers éducatif.
"L'école américaine, contrairement à l’école française, met en avant tes points forts, s'étonne Léonard, parti aux Etats-Unis. Elle appuie toujours sur tes compétences plutôt que sur tes incompétences. J'ai remarqué qu'au niveau de la sélection - pour entrer en université, par exemple - elle va mettre en avant les matières où tu es bon et ne pas tenir compte de celles où tu n'es pas bon. Au lycée en France, on entend souvent dire qu'on est «nul» ou qu’on est «dans la classe la plus mauvaise qui soit»… Ici, on n’entend jamais ça. L'école américaine ne te rabaisse pas. Il est plus facile à chacun de s'y faire une place".
"Ici l'école est vraiment différente de la nôtre en France, raconte Amaury, parti en Afrique du Sud. Le fait de porter un uniforme est un peu bizarre. Les élèves sont gentils; ils m'aident à comprendre les cours".
L'école américaine ne te rabaisse pas, chacun y trouve sa place
"L'école américaine, contrairement à l’école française, met en avant tes points forts, s'étonne Léonard, parti aux Etats-Unis. Elle appuie toujours sur tes compétences plutôt que sur tes incompétences. J'ai remarqué qu'au niveau de la sélection - pour entrer en université, par exemple - elle va mettre en avant les matières où tu es bon et ne pas tenir compte de celles où tu n'es pas bon. Au lycée en France, on entend souvent dire qu'on est «nul» ou qu’on est «dans la classe la plus mauvaise qui soit»… Ici, on n’entend jamais ça. L'école américaine ne te rabaisse pas. Il est plus facile à chacun de s'y faire une place".
"Ici l'école est vraiment différente de la nôtre en France, raconte Amaury, parti en Afrique du Sud. Le fait de porter un uniforme est un peu bizarre. Les élèves sont gentils; ils m'aident à comprendre les cours".
Difficultés et grands moments : des jeunes témoignent de leur expérience
Ces jeunes sont partis dans divers pays avec AFS, Vivre sans frontière.
Pas une année 'perdue' mais une année de "super bonus"
Le long séjour permet de découvrir tout une culture, ici en Argentine (photo : PIE)
Car vous êtes soumis aux mêmes obligations scolaires que les autres élèves durant votre séjour. Pas de panique cependant : on vous demande surtout de la bonne volonté et de l'assiduité.
Vous revenez bien dans votre lycée un an plus tard avec un bulletin indiquant vos résultats. Cependant dans le cas d'un séjour ayant duré une année scolaire, vous devrez reprendre votre scolarité en France là où vous l'avez laissée. Si vous êtes par exemple parti à la fin de la seconde, vous faites votre première à votre retour. Il n'y a hélas pas encore d'équivalence entre une année en lycée étranger et une année en France.
Alors, est-ce une année de perdue ? Non si l'on voit les progrès accomplis en langue et surtout en maturité ! Une année entière vécue à l'étranger est aussi un vrai "plus" à indiquer sur votre CV qui pourra vous aider à donner une orientation internationale à vos études ou à vos stages.
D'autre part il est aussi possible de partir seulement un trimestre ou un semestre. Dans ce cas, le départ se fait en hiver (et non en été comme pour une année complète) et l'on peut négocier éventuellement avec son proviseur une équivalence.
Au Canada, la formule "3 mois" devient automatiquement un échange. Le jeune français suit les cours pendant 3 mois en lycée au Canada avec un jeune de son âge, qui vient à son tour dans son établissement scolaire les 3 mois suivants.
Vous revenez bien dans votre lycée un an plus tard avec un bulletin indiquant vos résultats. Cependant dans le cas d'un séjour ayant duré une année scolaire, vous devrez reprendre votre scolarité en France là où vous l'avez laissée. Si vous êtes par exemple parti à la fin de la seconde, vous faites votre première à votre retour. Il n'y a hélas pas encore d'équivalence entre une année en lycée étranger et une année en France.
Alors, est-ce une année de perdue ? Non si l'on voit les progrès accomplis en langue et surtout en maturité ! Une année entière vécue à l'étranger est aussi un vrai "plus" à indiquer sur votre CV qui pourra vous aider à donner une orientation internationale à vos études ou à vos stages.
D'autre part il est aussi possible de partir seulement un trimestre ou un semestre. Dans ce cas, le départ se fait en hiver (et non en été comme pour une année complète) et l'on peut négocier éventuellement avec son proviseur une équivalence.
Au Canada, la formule "3 mois" devient automatiquement un échange. Le jeune français suit les cours pendant 3 mois en lycée au Canada avec un jeune de son âge, qui vient à son tour dans son établissement scolaire les 3 mois suivants.
Un bond énorme en langue et en maturité
Une chose est sûre : ces quelques mois passés au contact d’une autre culture sont extrêmement fructueux. En langues, les progrès effectués sont énormes : "Au niveau de l’anglais? Eh bien les deux premières semaines, ce n’était pas ça, raconte Syliane, partie au Nouveau Mexique. j’avais pourtant un bon niveau d’anglais avant de partir, mais arrivée là-bas, je me suis rendu compte que je ne savais rien!
Aujourd’hui, je me surprends: je regarde des films et séries en version originale non sous-titrée, et ça me plait; c’est un phénomène étrange, mais, maintenant, quand on me parle anglais, j’ai vraiment l’impression d’entendre du français!"
Et puis, il y a ce grand plaisir de goûter à tous les parfums d'une autre culture : "Il a d'abord fallu se résoudre à ne pas porter de ceinture en voiture; se résoudre à aller au lycée en pyjama; se résoudre à manger des pizzas à 9h du matin, raconte Claire, partie en Italie. Découvrir que les trois-quarts de la population circulent en scooter et que certains magasins ferment si tard. Je pourrais énumérer pas mal de choses comme ça. Mais tout cela aujourd’hui fait partie de mon quotidien.
Hier, nous sommes allés à un mariage. Un vrai, un grand mariage. Villa magnifique avec vue sur la mer, sept plats différents, Pecorino et Montepulcian, feu d'artifice, tout le monde sur son 31… la grande classe. On a trop mangé, bien rigolé et pas mal dansé.
Je vis une super complicité avec ma famille; je m'approprie la culture italienne avec grand plaisir; j'ai plein d’amis et mon langage est déjà plus fluide. C'est positif et ça devrait durer. Il ne me manque que le beurre salé !".
Aujourd’hui, je me surprends: je regarde des films et séries en version originale non sous-titrée, et ça me plait; c’est un phénomène étrange, mais, maintenant, quand on me parle anglais, j’ai vraiment l’impression d’entendre du français!"
Je vis une super complicité avec ma famille
Et puis, il y a ce grand plaisir de goûter à tous les parfums d'une autre culture : "Il a d'abord fallu se résoudre à ne pas porter de ceinture en voiture; se résoudre à aller au lycée en pyjama; se résoudre à manger des pizzas à 9h du matin, raconte Claire, partie en Italie. Découvrir que les trois-quarts de la population circulent en scooter et que certains magasins ferment si tard. Je pourrais énumérer pas mal de choses comme ça. Mais tout cela aujourd’hui fait partie de mon quotidien.
Hier, nous sommes allés à un mariage. Un vrai, un grand mariage. Villa magnifique avec vue sur la mer, sept plats différents, Pecorino et Montepulcian, feu d'artifice, tout le monde sur son 31… la grande classe. On a trop mangé, bien rigolé et pas mal dansé.
Je vis une super complicité avec ma famille; je m'approprie la culture italienne avec grand plaisir; j'ai plein d’amis et mon langage est déjà plus fluide. C'est positif et ça devrait durer. Il ne me manque que le beurre salé !".
Combien ça coûte ?
Le coût va environ de 4000 à 15 000 euros, les USA tournant autour de 10 000 euros. Ce prix comprend le voyage bien sûr. La somme paraît élevée mais elle ne l'est pas tant que ça en comparaison d'un séjour linguistique de trois semaines à 1500 ou 2000 euros.
D'autres part certains organismes peuvent proposer des bourses aux bons candidats qui auraient des difficultés financières, et l'on peut aussi solliciter une aide de ses collectivités locales (mairie, région ou département).
Quant aux destinations, elles font toutes rêver : USA, Australie, Nouvelle-Zélande, Brésil, Allemagne, Japon, Mexique, Canada, Afrique du sud, Suède et même la Chine avec certains organismes... De quoi mettre du piquant dans la vie d'un lycéen français.
D'autres part certains organismes peuvent proposer des bourses aux bons candidats qui auraient des difficultés financières, et l'on peut aussi solliciter une aide de ses collectivités locales (mairie, région ou département).
Quant aux destinations, elles font toutes rêver : USA, Australie, Nouvelle-Zélande, Brésil, Allemagne, Japon, Mexique, Canada, Afrique du sud, Suède et même la Chine avec certains organismes... De quoi mettre du piquant dans la vie d'un lycéen français.