L'Hémicycle du Parlement de Strasbourg avec les étudiants d'ESCP Europe.
Ils ont 22 ans en moyenne et proviennent de 35 pays différents. A la rentrée 2013, ces 830 étudiants intègrent le "master in management" d'ESCP Europe, l'une des plus grandes business schools françaises désormais implantée sur cinq campus à Paris, Londres, Berlin, Madrid et Turin.
Pourtant c'est à Strasbourg que ces chanceux font leur rentrée, du 2 au 4 septembre... au Parlement européen où ils ne se contenteront pas de visiter les locaux et d'assister aux débats mais où ils vont devoir élaborer des propositions législatives concrètes liées à l'un des grands problèmes du temps : la régulation financière et l'union bancaire !
"Il est essentiel que nos étudiants, en tant que futurs dirigeants d’entreprises appelés dans un avenir proche à jouer un rôle dans l’économie européenne et mondiale, connaissent les mécanismes des grandes institutions européennes et sachent décrypter ses enjeux et ses processus de décision", indique Edouard Husson, directeur général d’ESCP Europe.
Pourtant c'est à Strasbourg que ces chanceux font leur rentrée, du 2 au 4 septembre... au Parlement européen où ils ne se contenteront pas de visiter les locaux et d'assister aux débats mais où ils vont devoir élaborer des propositions législatives concrètes liées à l'un des grands problèmes du temps : la régulation financière et l'union bancaire !
"Il est essentiel que nos étudiants, en tant que futurs dirigeants d’entreprises appelés dans un avenir proche à jouer un rôle dans l’économie européenne et mondiale, connaissent les mécanismes des grandes institutions européennes et sachent décrypter ses enjeux et ses processus de décision", indique Edouard Husson, directeur général d’ESCP Europe.
Le séminaire d'intégration Start@Europe
Cet original séminaire d'intégration baptisé Start@Europe a été bâti par l'école de commerce en partenariat avec le Parlement européen et une autre grande école française, l'ENA (Ecole nationale d'administration), désormais basée à Strasbourg.
Ainsi des professeurs de l'ENA et d'ESCP Europe mais aussi le président de l'université Paris I Panthéon Sorbonne se succéderont-ils à la tribune du Parlement pour encadrer les étudiants dans leur travail d'élaboration de texte.
Des hommes politiques européens seront aussi à leurs côtés et non des moindres puisqu'ils bénéficieront notamment de la présence du ministre italien des Affaires européennes, de l'ancien président du Parlement européen Enrique Baron-Crespo, de Jean-Pierre Raffarin, ancien Premier ministre français, Catherine Trautmann, députée au Parlement européen, et bien d'autres personnalités responsables des autorités bancaires européennes.
Les étudiants doivent en effet plancher sur une proposition législative réelle. Le sujet est choisi parmi les textes inscrits à l'agenda politique européen : répartis en deux groupes (formation Conseil de l'Union européenne et commissions du Parlement européen) ils devront élaborer une proposition législative apte à permettre à l’Europe de sortir de la crise !
Une rentrée plutôt ardue mais dans la tonalité d'une école qui se veut de plus en plus européenne et internationale.
Ainsi des professeurs de l'ENA et d'ESCP Europe mais aussi le président de l'université Paris I Panthéon Sorbonne se succéderont-ils à la tribune du Parlement pour encadrer les étudiants dans leur travail d'élaboration de texte.
Des hommes politiques européens seront aussi à leurs côtés et non des moindres puisqu'ils bénéficieront notamment de la présence du ministre italien des Affaires européennes, de l'ancien président du Parlement européen Enrique Baron-Crespo, de Jean-Pierre Raffarin, ancien Premier ministre français, Catherine Trautmann, députée au Parlement européen, et bien d'autres personnalités responsables des autorités bancaires européennes.
Les étudiants doivent en effet plancher sur une proposition législative réelle. Le sujet est choisi parmi les textes inscrits à l'agenda politique européen : répartis en deux groupes (formation Conseil de l'Union européenne et commissions du Parlement européen) ils devront élaborer une proposition législative apte à permettre à l’Europe de sortir de la crise !
Une rentrée plutôt ardue mais dans la tonalité d'une école qui se veut de plus en plus européenne et internationale.