Charlotte Stebel prépare un mastère de communication digitale à lIIM en alternance. ® Droits réservés
"Après mon bac, je cherchais une formation dans les arts graphiques plus spécialement dans l'univers du numérique, raconte Charlotte Stebel. J’ai donc entamé deux ans de licence «Etudes visuelles multimédia et arts numériques» à l’université de Marne-La-Vallée. Ces deux ans m’ont permis d’acquérir des compétences dans divers domaines : développement web, webdesign, dessin, photographie, histoire de l’art, animation 3D, philosophie, montage vidéo…"
"Mais étant passionnée de digital, blogs et réseaux sociaux, je cherchais une formation plus axée sur la communication dans ce domaine", explique-t-elle.
Elle fixe alors son choix sur le bachelor "Communication digitale et e-business" proposé par l'IIM (Institut de l'internet et du multimédia), une des écoles des métiers du web basée dans le quartier d'affaires de Paris La Défense.
"Mais étant passionnée de digital, blogs et réseaux sociaux, je cherchais une formation plus axée sur la communication dans ce domaine", explique-t-elle.
Elle fixe alors son choix sur le bachelor "Communication digitale et e-business" proposé par l'IIM (Institut de l'internet et du multimédia), une des écoles des métiers du web basée dans le quartier d'affaires de Paris La Défense.
Des cours par demi-journées, des classes à petits effectifs
"J'ai choisi ce bachelor surtout pour les matières proposées qui m'ont semblé vraiment en phase avec mon projet professionnel, poursuit Charlotte.
J’ai également apprécié le rythme des cours qui sont rassemblés sur des demi-journées, ce qui permet de travailler à côté mais aussi de développer d’autres projets professionnels en parallèle".
A l’IIM, nous travaillons dans des classes assez réduites, c’est très agréable car on ne se sent pas trop perdu et on peut nouer vite des liens avec d’autres étudiants. Les enseignants ont aussi le temps de travailler avec chacun et de nous apporter les réponses dont nous avons besoin".
J’ai également apprécié le rythme des cours qui sont rassemblés sur des demi-journées, ce qui permet de travailler à côté mais aussi de développer d’autres projets professionnels en parallèle".
A l’IIM, nous travaillons dans des classes assez réduites, c’est très agréable car on ne se sent pas trop perdu et on peut nouer vite des liens avec d’autres étudiants. Les enseignants ont aussi le temps de travailler avec chacun et de nous apporter les réponses dont nous avons besoin".
Travailler sur de vrais projets, c'est stimulant
Très vite, l'étudiante découvre cependant que dans ce type d'école, on n'apprend pas seulement en assistant à des cours mais en travaillant soi-même sur des projets d'entreprise :
"Au cours du bachelor, nous travaillons sur de nombreux projets et notamment sur la communication de plusieurs marques, ce qui fait que nous devons toujours repenser notre travail. Il faut sans cesse chercher de nouveaux concepts pour transmettre le bon message à la bonne cible et de manière la plus originale possible. La richesse et la variété des projets sont vraiment stimulantes.
"Au cours du bachelor, nous travaillons sur de nombreux projets et notamment sur la communication de plusieurs marques, ce qui fait que nous devons toujours repenser notre travail. Il faut sans cesse chercher de nouveaux concepts pour transmettre le bon message à la bonne cible et de manière la plus originale possible. La richesse et la variété des projets sont vraiment stimulantes.
Faire la com digitale de grandes marques
"L’un des projets les plus intéressant, explique Charlotte, a été tout d’abord de travailler sur un produit inexistant de la marque Michel Augustin (un fromage à tartiner). Pendant un mois, nous devions chaque semaine trouver différents concepts pour vendre ce produit. Nous sommes allés de l’étude de marché à la conception du packaging, jusqu'aux moyens pour promouvoir le produit sur les réseaux sociaux au moyen d’affiches, de vidéos ou d’événements.
Un autre projet sur les solutions multi-plateformes m'a beaucoup plu. Nous devions être présents sur Facebook, Twitter, sur un site web, Tumblr, Instagram, afin d’être le plus attractif, d'animer la communauté et de recruter de nouveaux fans.
Il fallait comprendre les spécificités de chaque plateforme pour bien les exploiter. avec mon groupe, nous avons eu l’occasion de travailler sur une refonte de site internet, de créer un nouveau design pour une application et de créer des bannières pour des pages Facebook et Twitter."
"L’un des projets les plus intéressant, explique Charlotte, a été tout d’abord de travailler sur un produit inexistant de la marque Michel Augustin (un fromage à tartiner). Pendant un mois, nous devions chaque semaine trouver différents concepts pour vendre ce produit. Nous sommes allés de l’étude de marché à la conception du packaging, jusqu'aux moyens pour promouvoir le produit sur les réseaux sociaux au moyen d’affiches, de vidéos ou d’événements.
Un autre projet sur les solutions multi-plateformes m'a beaucoup plu. Nous devions être présents sur Facebook, Twitter, sur un site web, Tumblr, Instagram, afin d’être le plus attractif, d'animer la communauté et de recruter de nouveaux fans.
Il fallait comprendre les spécificités de chaque plateforme pour bien les exploiter. avec mon groupe, nous avons eu l’occasion de travailler sur une refonte de site internet, de créer un nouveau design pour une application et de créer des bannières pour des pages Facebook et Twitter."
Une poursuite d'étude en alternance, idéal pour se professionaliser
Le bachelor en poche, Charlotte a poursuivi dans la même spécialité pour décrocher un bac+5 à l'IIM. Cette fois, elle a choisi de faire ces deux année en alternance.
"C'est vraiment le cursus idéal quand on souhaite continuer ses études tout en se professionnalisant, explique Charlotte. On acquiert de l'expérience avant d’être sur le marché du travail. Je pense que ce sera un grand atout pour trouver un emploi par la suite, car j'aurai déjà eu une réelle expérience de 2 ans au sein d'une entreprise".
"C'est vraiment le cursus idéal quand on souhaite continuer ses études tout en se professionnalisant, explique Charlotte. On acquiert de l'expérience avant d’être sur le marché du travail. Je pense que ce sera un grand atout pour trouver un emploi par la suite, car j'aurai déjà eu une réelle expérience de 2 ans au sein d'une entreprise".
En alternance chez Disneyland Paris
® Disneyland Paris
D'autant qu'elle a décroché un poste de chargée de projet social media à Disneyland Paris !
"Mon travail comporte trois missions, explique-t-elle. J'assure d'abord le community management sur les médias sociaux. Je dois produire du contenu, gérer les interactions avec la communauté et la mesurer. Ensuite, je fais de la gestion de projets en collaboration avec d'autres services. Enfin, je participe à l'élaboration de la stratégie sur les réseaux sociaux".
Plutôt pas mal pour une alternante... "Ce qui me plaît dans ce poste c'est que les missions sont très variées, avec beaucoup d'interlocuteurs de divers services : spectacle, communication interne, marketing international, marketing internet... Nous travaillons aussi avec d'autres pays européens, je gère personnellement l'Espagne, l'Italie, la Belgique, l'Allemagne et le Portugal et c'est très intéressant car leur marché a des attentes différente du marché français.
Souvent confrontée à des prises de décision importantes et rapides, Charlotte a beaucoup gagné en autonomie : "Pour résumer, on ne s'ennuie jamais, il y a toujours des posts à retravailler, des nouveaux partenariats, de nouvelles créations à publier, des projets à envisager pour de nouvelles saisons sur les parcs.."
(lire aussi : Disneyland Paris : des stages, jobs, alternances et CDI sur 500 métiers)
"Mon travail comporte trois missions, explique-t-elle. J'assure d'abord le community management sur les médias sociaux. Je dois produire du contenu, gérer les interactions avec la communauté et la mesurer. Ensuite, je fais de la gestion de projets en collaboration avec d'autres services. Enfin, je participe à l'élaboration de la stratégie sur les réseaux sociaux".
Plutôt pas mal pour une alternante... "Ce qui me plaît dans ce poste c'est que les missions sont très variées, avec beaucoup d'interlocuteurs de divers services : spectacle, communication interne, marketing international, marketing internet... Nous travaillons aussi avec d'autres pays européens, je gère personnellement l'Espagne, l'Italie, la Belgique, l'Allemagne et le Portugal et c'est très intéressant car leur marché a des attentes différente du marché français.
Souvent confrontée à des prises de décision importantes et rapides, Charlotte a beaucoup gagné en autonomie : "Pour résumer, on ne s'ennuie jamais, il y a toujours des posts à retravailler, des nouveaux partenariats, de nouvelles créations à publier, des projets à envisager pour de nouvelles saisons sur les parcs.."
(lire aussi : Disneyland Paris : des stages, jobs, alternances et CDI sur 500 métiers)
Et demain ?
Plutôt gâtée par cette expérience, Charlotte est plus que jamais décidée à poursuivre dans la communication digitale, un secteur en pleine expansion.
"Après mes études, dit-elle, je souhaite continuer ma vie professionnelle dans l’univers des Social Media, plus précisément en tant que Social Media Manager ou responsable e-réputation"
Souhaiterait-elle poursuivre à Disneyland Paris ? "J'aimerais beaucoup, mais pourquoi pas aussi travailler dans une autre grande entreprise soit dans le luxe ou la mode ou encore dans les cosmétiques." En effet, après avoir géré la e-réputation de Mickey, tout est possible...
"Après mes études, dit-elle, je souhaite continuer ma vie professionnelle dans l’univers des Social Media, plus précisément en tant que Social Media Manager ou responsable e-réputation"
Souhaiterait-elle poursuivre à Disneyland Paris ? "J'aimerais beaucoup, mais pourquoi pas aussi travailler dans une autre grande entreprise soit dans le luxe ou la mode ou encore dans les cosmétiques." En effet, après avoir géré la e-réputation de Mickey, tout est possible...
En savoir plus sur l'IIM
Créé en 1995, l'IIM (Institut de l'internet et du multimédia) forme à tous les métiers du digital : développement web, communication digitale, animation 3D, jeux vidéo... Les étudiants se voient proposer une orientation progressive qui débute par une première année postbac "préparatoire" commune à tous.
En deuxième année, ils font un choix entre cinq axes pour décrocher un bachelor (bac+3), et peuvent poursuivre en mastère (bac+5) où 12 spécialisations sont proposées (dont 5 nouvelles à la rentrée 2017). Tous les mastères peuvent être préparés en alternance. On peut aussi intégrer l'IIM directement à bac+3. Rens. : www.iim.fr/
Créé en 1995, l'IIM (Institut de l'internet et du multimédia) forme à tous les métiers du digital : développement web, communication digitale, animation 3D, jeux vidéo... Les étudiants se voient proposer une orientation progressive qui débute par une première année postbac "préparatoire" commune à tous.
En deuxième année, ils font un choix entre cinq axes pour décrocher un bachelor (bac+3), et peuvent poursuivre en mastère (bac+5) où 12 spécialisations sont proposées (dont 5 nouvelles à la rentrée 2017). Tous les mastères peuvent être préparés en alternance. On peut aussi intégrer l'IIM directement à bac+3. Rens. : www.iim.fr/