Au salon parisien du chocolat, les jeunes chocolatiers rivalisent de dextérité sur les podiums de démonstration. Mais au fait, comment devient-on chocolatier ? En mettant la main à la pâte... cacao, tout simplement.
Le CAP de chocolatier-confiseur (diplôme d'entrée dans le métier) peut en effet être préparé en apprentissage dans 42 lieux de formation (sur 47) en France : l'apprenti alterne le temps à l'école et le temps en entreprise. On peut le préparer soit en deux ans après la troisième, soit en un an après un autre diplôme : un BEP ou un bac pro cuisine, un CAP de pâtisserie...
Nous avons rencontré les membres d'une école de formation en région parisienne, Técomah, qui prépare ce diplôme. Reportage.
Le CAP de chocolatier-confiseur (diplôme d'entrée dans le métier) peut en effet être préparé en apprentissage dans 42 lieux de formation (sur 47) en France : l'apprenti alterne le temps à l'école et le temps en entreprise. On peut le préparer soit en deux ans après la troisième, soit en un an après un autre diplôme : un BEP ou un bac pro cuisine, un CAP de pâtisserie...
Nous avons rencontré les membres d'une école de formation en région parisienne, Técomah, qui prépare ce diplôme. Reportage.
This browser does not support the video element.
Il faut avoir du goût, être minutieux, soigné... et patient !
This browser does not support the video element.
Moins de chocolateries que de pâtisseries
C'est un peu le sujet qui coince, car si le travail du chocolat attire, les industries ou les boutiques artisanales sont bien sûr moins nombreuses que les pâtisseries ou les restaurants. Difficile donc de s'insérer, en particulier pour faire son apprentissage, surtout en zone rurale ou dans les petites villes. La région parisienne semble mieux lotie...
Jean-Michel Giraudeau, formateur à Técomah, évoque tout de même de nouveaux débouchés dans l'hôtellerie-restauration, les palaces, et à l'étranger. Mais mieux vaudra conjuguer le chocolat avec une spécialisation pâtisserie pour avoir plus de cordes à son arc.
Jean-Michel Giraudeau, formateur à Técomah, évoque tout de même de nouveaux débouchés dans l'hôtellerie-restauration, les palaces, et à l'étranger. Mais mieux vaudra conjuguer le chocolat avec une spécialisation pâtisserie pour avoir plus de cordes à son arc.
This browser does not support the video element.
Pour en savoir plus :
- Le CAP de chocolatier confiseur : lieux de formation, descriptif sur le site de l'Onisep
- Les formations culinaires de Técomah : cette école de la chambre de commerce et d'industrie proposent des formations dans divers secteurs notamment la cuisine et les arts de la table.
- Le CAP de chocolatier confiseur : lieux de formation, descriptif sur le site de l'Onisep
- Les formations culinaires de Técomah : cette école de la chambre de commerce et d'industrie proposent des formations dans divers secteurs notamment la cuisine et les arts de la table.