Crédit photo : Desertours.
Pour ce 18ème 4L Trophy, les 2400 étudiants inscrits avaient de la chance. Pour la première fois, ils ont en effet pu s'élancer à partir d'un unique village-départ basé en la belle ville de Biarritz.
Cela faisait donc 1200 4L rassemblées pour les derniers préparatifs toujours hauts en couleur et en émotion. Dès le 18 février, les premiers équipages avaient rallié la cité basque comme Etienne et Franck, étudiants géomètres partis de Bourg-en-Bresse mardi 17.
Après un arrêt pour la nuit à Bordeaux, ils sont arrivés en début de matinée à Biarritz. Puis se sont laissés guider par l'organisation à travers les formalités du village départ. Car avant de profiter d'un café entre futurs conquérants du désert, il faut satisfaire aux traditionnelles vérifications techniques, administratives et médicales.
Cela faisait donc 1200 4L rassemblées pour les derniers préparatifs toujours hauts en couleur et en émotion. Dès le 18 février, les premiers équipages avaient rallié la cité basque comme Etienne et Franck, étudiants géomètres partis de Bourg-en-Bresse mardi 17.
Après un arrêt pour la nuit à Bordeaux, ils sont arrivés en début de matinée à Biarritz. Puis se sont laissés guider par l'organisation à travers les formalités du village départ. Car avant de profiter d'un café entre futurs conquérants du désert, il faut satisfaire aux traditionnelles vérifications techniques, administratives et médicales.
Les 4L sont auscultées et vérifiées sous toutes les coutures
Crédit photos : Desertours.
Cela commence par l’installation d'un simple code barre, sorte de carte d’identité de la voiture. La suite ? Imaginez un hall immense empli de stands bien alignés. Sur le premier on vérifie le châssis, qui sera tant sollicité sur les pistes marocaines. L’opération, qui prend entre cinq et dix minutes, est suivie de la pose de stickers partenaires.
On avance ensuite de quelques mètres pour le second volet de l'auscultation technique. Cette fois, tous les équipements de sécurité sont contrôlés (sangles, pelles, plaques de désensablage). C'est bon pour la voiture. A chaque étape passée, bien sûr, on tamponne.
On avance ensuite de quelques mètres pour le second volet de l'auscultation technique. Cette fois, tous les équipements de sécurité sont contrôlés (sangles, pelles, plaques de désensablage). C'est bon pour la voiture. A chaque étape passée, bien sûr, on tamponne.
On a dû repartir chez le carrossier à 2 heures du départ !
Pour certains, ce sévère contrôle technique ne passe pas ! C'est le cas d'Anne-Claire et Elise, équipage 128 de l'Esdes Lyon dont nous avions suivi les préparatifs. "Notre châssis n'était pas assez solide, on nous a envoyées chez un carrossier", racontent-elles. Le jour du départ à 7 heures, nouveau contrôle... encore négatif hélas. "On est reparties chez le carrossier, à 2heures du départ, c'est chaud !".
Finalement les deux étudiantes se sont élancées peu après midi, mais devront refaire un contrôle technique à Algésiras, au sud de l'Espagne, avant de prendre le ferry. Elles croisent les doigts...
Dans le hall du village, les derniers contrôles ont aussi été administratifs. Tous les papiers (carte grise, permis, assurances) sont checkés. Et rien n’échappe au regard aiguisé des membres de l’organisation. Un peu plus loin, un espace dédié à l'association "Enfants du désert", qui fête ses dix ans cette année, accueille les participants et présente l’action de l’association.
Finalement les deux étudiantes se sont élancées peu après midi, mais devront refaire un contrôle technique à Algésiras, au sud de l'Espagne, avant de prendre le ferry. Elles croisent les doigts...
Dans le hall du village, les derniers contrôles ont aussi été administratifs. Tous les papiers (carte grise, permis, assurances) sont checkés. Et rien n’échappe au regard aiguisé des membres de l’organisation. Un peu plus loin, un espace dédié à l'association "Enfants du désert", qui fête ses dix ans cette année, accueille les participants et présente l’action de l’association.
Un bracelet rouge pour chaque participant, le sésame du raid
Les équipages filent ensuite au stand médical, autre passage obligatoire. Chaque participant y rencontre un médecin, et a ainsi la possibilité d’informer le staff médical d'un problème quelconque. On continue ? On y est presque, avec un dernier passage au stand Mutuaide, assurance qui organise d'éventuels rapatriements, présente sur toute la durée du raid.
Ne reste plus qu'à faire valider sa feuille au stand qui vérifie que toutes les formalités sont faites. Ouf ! C'est ici que l'on reçoit un bracelet rouge, sésame pour l'aventure et que les participants porteront jusqu'à l’arrivée à Marrakech.
A 12 heures ce 19 février, ils se sont donc élancés sur les routes du Pays Basque. Cap sur le sud et la frontière espagnole, puis plein sud jusqu'à la halte de Salamanque. Beau défilé de 4L colorées sur les autoroutes et aux péages. Bientôt ce sera la traversée en ferry et l'arrivée sur la terre marocaine. Le vrai début de l'aventure.
Ne reste plus qu'à faire valider sa feuille au stand qui vérifie que toutes les formalités sont faites. Ouf ! C'est ici que l'on reçoit un bracelet rouge, sésame pour l'aventure et que les participants porteront jusqu'à l’arrivée à Marrakech.
A 12 heures ce 19 février, ils se sont donc élancés sur les routes du Pays Basque. Cap sur le sud et la frontière espagnole, puis plein sud jusqu'à la halte de Salamanque. Beau défilé de 4L colorées sur les autoroutes et aux péages. Bientôt ce sera la traversée en ferry et l'arrivée sur la terre marocaine. Le vrai début de l'aventure.